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La belle et la bête compte rendu (film début 20éme siècle + livre) [Lycée 1ére]

Publié le 04/01/2013

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Ce livre s'appelle « La belle et la bête «, c'est un conte qui a été écrit par Madame Leprince de Beaumont en 1757 où il parut dans « son magasin des enfants «. La 1ére apparition de la belle et la bête est au 11eme siècle qui parut dans « Amour et Psyché « d'Apulée. En voyant ce titre je vois deux grandes oppositions qui m'inspire une grande barrière entre les deux futurs protagonistes qui sont complètement opposés physiquement, je pense que cette opposition laisse entendre que le jugement physique sera une grande partie de l'histoire. Cependant cette barrière peut se briser en s'intéressant plus au niveau moral des héros, ce qui va surement se passer... Ce film raconte comment « la belle&n...

« Ce conte apprend aux enfants à distinguer la laideur morale de la laideur   physique,  à favoriser le rayonnement d’une intelligence, d’un cœur, d’une  âme que   rend timide un ext érieur ingrat. Camus l’a dit   : «   on n’est pas justifi é par n’importe quel   amour   ». Ce conte est un r ésum é tir é de la lecture d’un recueil de Mme de Villeneuve,   l’amie de Cr ébillon p ère, intitul é les Contes Marins ou la Jeune Am éricaine. Les deux   sœurs de la Belle ont  épous é deux gentilshommes dont l’un symbolise la beaut é et   l’autre l’intelligence   ; ce n’est pas l à le vrai fondement d’un amour solide, mais la bont é.

  Ainsi la Belle ne peut se d éfendre d’aimer la B ête  à cause des attentions inlassables   dont celle­ci l’entoure. Le don de soi est justifi é par l’estime des bonnes qualit és de la   personne  à laquelle on veut unir sa vie   ; ainsi les jeunes filles apprennent l’usage du   v éritable amour. La Belle, voyant  à quelle extr émit é elle r éduit par ses refus la pauvre   B ête, passe sous l’impulsion de la compassion unie  à l’estime, de l’amiti é à l’amour.

  Des sentiments purs, estime, d élicatesse,  élégance morale, reconnaissance en sont   les motifs. On trouve ici la justification des mariages fr équents  à cette  époque, entre   hommes murs, souvent veufs, et filles tr ès jeunes. Il ne restait  à ces maris  âgés qu’ à   entourer leur jeune  épouse de tous les  égards, et aux jeunes femmes  à respecter la   situation mondaine … et la valeur des hommes plus  âgés  . »

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