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Louis Caron: Canard de bois

Publié le 10/09/2012

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En conclusion, je vais vous parler de l’injustice à l’époque et aujourd’hui. Je vais débuter avec l’injustice de l’époque. Tout d’abord, il y a plusieurs années, l’injustice était plutôt entre peuple. C’est-à-dire, lorsqu’il y a des guerres ou des révolutions comme dans le roman Canard de bois. Il y a toujours un peuple entre deux ou plusieurs qui sera plus fort et plus dominant. Il y a donc une sorte d’injustice. À l’époque, nous pouvions souvent voir ce type d’injustice. Puis, de nos jours, l’injustice n’est pas envers des peuples, mais plutôt envers des croyances, des religions, des façons de penser, du sexe, de la beauté. La plupart des gens subissent de l’injustice en se faisant juger physiquement. Par exemple, un garçon qui est habillé plus classiquement et qu’il porte des lunettes va se faire plus juger qu’un garçon à la mode et qu’il a pleins d’amis. Aussi, plusieurs personnes portent des jugements lorsque quelqu’un aime une personne de son sexe. De nos jours, il y a beaucoup d’homophobes. C’est pourquoi, les homosexuels se font beaucoup juger et discriminer. Surtout, les jeunes se font taxer et intimider pour cela. Donc, comme vous pouvez le remarquer, il y a beaucoup d’injustice dans notre monde. Il y en avait et il y en a toujours sous d’autre forme.

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« * « Au presbytère, il y a du bois dehors.

»* p.253* L'institution que le curé représente.6.

PRODIGE* « … n'avait rien non plus qui tienne du prodige.»* p.219* Un phénomène surprenant, un exploit étonnait ou une prouesse exceptionnelle.7.

BOUGEOIR* « … d'une lampe ou d'une simple chandelle dans un bougeoir.»* p.

219* Un petit support de bougie, bas et à plateau, que l'on prend par une poignée ou un anneau fixé au plateau. 8.

ORNIÈRE* « Un chemin marqué d'ornière s'y perdait.

»* p.176* Des traces plus ou moins profondes creusées par les roues de voitures dans le sol. 9.

DÉBÂCLE* « … en formation comme des glaces à la débâcle sur le fleuve.* p.176* Une dislocation des glaces recouvrant un cours d'eau, qui sont emportées par le courant. 10.

CHARMILLE* « ...

sous la ramure des pins conduisaient à des charmilles inattendues ...

»* p.176* Un plant ou une pépinière de petits charmes.. »

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