POÈMES de Périer (résumé)
Publié le 13/09/2015
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POÈMES de Périer. Ouvrage posthume du poète belge Odilon-Jean Périer (1901-1928), publié à Paris en 1952 par la Librairie Gallimard. Il rassemble quatre plaquettes publiées du vivant de l’auteur : la Vertu par le Chant (1921), Notre Mère la Ville (1922), le Citadin (1924) et le Promeneur (1925). Ces poèmes sont au nombre de quatre-vingt-dix environ. (Le Citadin ou éloge de Bruxelles étant le plus long : près de deux cent cinquante alexandrins à rimes plates). Dans tout le recueil, Périer demeure égal à lui-même. Du commencement à la fin, il chante le cours des saisons, les éléments, les fruits de la terre, et diverses créatures. Bien entendu, il n’en retient que la nuance la plus propre à féconder sa vie intérieure ; tant le commerce de l’amitié que les plaisirs de l’étude. Tout ce que suppose, en un mot, la chasse au bonheur, sous l’égide d’une certaine sagesse : « Je tente d’acquérir la sagesse du feu » ; ailleurs : « Je remue un trésor plus fuyant que le sable » ; ailleurs encore : « Je crois à la beauté des travaux patients ».
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