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Résumé Du Manifeste du Parti Communiste de MARX & ENGELS

Publié le 22/02/2012

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Le manifeste débute en rapportant que les grandes puissances s'unissent pour combattre le communisme et que cela permet de conclure deux éléments particuliers; que le communisme est alors reconnu par toutes les puissances d'Europe comme une menace, et qu'il est grand temps que les communistes sortent de l'ombre et exposent au monde entier leurs buts et manières de voir à travers un manifeste qui s'opposera au spectre du communisme que les grandes puissances font planer sur l'Europe. Pour Marx, l'histoire de toutes les sociétés ayant existées n'a été que lutte de classes; il y a toujours eu des oppresseurs et des opprimés et ce, même si les sociétés ont évoluées sous des régimes politiques différents. Ce qui distingue la société dans laquelle Marx évolue est que les classes sont désormais plus simplifiées. En effet, nous pourrions dire qu'elles se distinguent principalement en deux camps : les bourgeois et les prolétaires. La bourgeoisie à accrue son pouvoir à l'aide de l'accroissement du commerce des différents pays puissants.
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« une société où le travail ne servirait qu'à embellir l'existence et non la contrôler.

Pour lui, le communiste contribueraà l'épanouissement collectif étant donné que le mode de production actuel enraye toute individualité puisque lesgens ne font que survivre du mieux qu'ils peuvent.

Il demeure aussi essentiel d'abolir la propriété privé et à ceux quis'y opposent, il répond alors que si nous sommes pourvus de cette propriété privé, le neuf dixième de la populationen est dépourvus et que c'est grâce à cela que nous pouvons garder la notre; Marx démontre alors à quel point ceprocessus est injuste et nécessite son abolition.

Celui-ci mentionne alors une phrase qui explique bien sa pensée;«Le communisme n'enlève à personne le pouvoir de s'approprier sa part des produits sociaux; il n'ôte que le pouvoird'assujettir, à l'aide de cette appropriation, le travail d'autrui».

Par la suite, Marx réfute d'autres arguments endéfaveur du communisme.

Premièrement, il répond qu'il est tout faux de croire que l'abolition de la propriété privépourrait causer une paresse collective, car les bourgeois ne le sont pas devenus et ce, même s'ils s'enrichissent enne travaillant pas (alors que ceux qui travaillent ne gagnent rien).

Ensuite, il réfute la pensée selon laquelle lecommunisme porterait atteinte à la liberté intellectuelle; au contraire, Marx croit qu'au contraire la libertéintellectuelle serait valorisée et que c'est l'endoctrinement intellectuel à devenir machine qui serait abolit.

Il défendaussi les communistes de vouloir abolir la famille; dans la société de production la famille n'existe déjà plus, elle nesert qu'à gagner plus de capital et ce, en faisant travailler les enfants.

Ainsi, la pensée de Marx chercher àempêcher les parents d'exploiter leurs enfants.

Il défends aussi le communisme contre les accusations de vouloircouper les liens et l'éducation la plus sacrée (familiale) pour les substituer à une éducation sociale.

L'éducation subiepar les gens n'est elle déjà pas déterminée par la société? En éduquant les enfants à l'aide d'institutions socialestelle l'école, c'est encore la société qui décide.

Cependant, le communisme permettrait une éducation sociale quin'est pas teintée et corrompue par la classe régnante.

Par la suite, Marx s'attaque au accusations bourgeoises devouloir introduire la communauté de femmes.

Pour les communistes, cette accusation est totalement risible, car poureux, ces communautés ont toujours existés; cependant, le communisme vise à faire de ces communautés defemmes autre choses que de simples instruments de production.

Il enchaîne aussitôt avec l'accusation de vouloirmettre un terme à la patrie.

Cette accusation est tout aussi risible étant donné que la bourgeoisie contribue déjà àabolir la patrie et la nationalité en uniformisant la production industrielle et les conditions de vie des prolétaires detous les pays; les ouvriers n'ont pas de patrie.

Le communisme servira à abolir ce qui est déjà commencé par labourgeoisie et servira d'émancipation pour tout les prolétaires; «Abolissez l'exploitation de l'homme par l'homme, etvous abolissez l'exploitation d'une nation par une autre nation.

Lorsque l'antagonisme des classes à l'intérieur desnations aura disparu, l'hostilité de nation à nation disparaîtra».

Puis, il fait référence aux accusations portées contrele communisme au nom de la religion, la philosophie et l'idéologie en général et mentionne que ces réactions neméritent pas de grandes réflexions.

En effet, Marx explique que ces prises de vue (ou bien, la conscience del'homme) changent constamment à travers tout changements sociaux.

L'histoire démontre que la productionintellectuelle change en corrélation avec la production matérielle; en conséquence, «les idées dominantes d'uneépoque n'ont jamais été que les idées de la classe dominante», elles sont donc biaisées.

Par la suite, Marx laisse lesobjections bourgeoises de côté et concocte un résumé de ce qu'il a expliqué jusqu'à présent.

La première étape dela révolution sera de placer le prolétariat au pouvoir; ce qui lui permettre d'arracher le capital aux bourgeois et deplacer toute force de production entre les mains de l'État.

Cela devra cependant obligatoirement s'accomplir par uneviolation des droits de propriété pour satisfaire la cause de la révolution.

Les mesures à prendre varierons entre lapays, mai les pays les plus avancés devront se plier à une dizaine de mesures bien précises .

À l'aide de toutes cesmesures, le pouvoir public perdre son caractère politique et les anciens rapports de production seront abolis,détruisant ainsi tout concept de classe; surgira alors une association où «le libre développement de chacun est lacondition du libre développement pour tous».

Par la suite, dans la troisième partie du manifeste, Marx explique lesdifférentes formes de doctrines à travers la littérature et l'histoire qui se proclament socialiste ou communistes aumême sens que Marx et Engels le proclament; se sont en quelque sortes des doctrines rivales .

Il divise ces typesde doctrines en trois catégories; premièrement, le socialisme réactionnaire (qui comprend le socialisme féodal, lesocialisme petit-bourgeois et le socialisme allemand ou bien le «vrai» socialisme), ensuite le socialisme conservateurou bourgeois et finalement, la catégorie socialisme et communiste critico-utopiques.

Le point central de cette partieconcerne la place de la classe ouvrière, tant dans l'histoire que sur le plan politique.

À travers les différentes partiesde ce chapitre, nous constatons que la classe ouvrières à toujours été exploitée et qu'elle n'a jamais vraimentacquis de pouvoir.

Puis, que les différentes sortes de supposés socialisme et communisme n'en était pas du tout auvrai sens du terme qu'utilisent Marx et Engels; tantôt le dit socialisme à des idées bourgeoises, tantôt on proposed'éliminer la classe du prolétariat pour créer une seule classe de bourgeois, tantôt on tente d'écarter toute actionrévolutionnaire et toute action politique de la classe ouvrière, etc.

Finalement, la dernière partie s'intitule : Positiondes communistes envers les différents partis d'opposition.

Bref, on énumère l'avancement du mouvement dansdifférents pays.

Il termine ensuite en annonçant que l'Allemagne se trouve à la veille d'un révolution bourgeoise etqu'elle ne sera que le court prélude immédiat d'une révolution prolétarienne à plus grande échelle.

D'ailleurs lescommunistes appuient tous les autres mouvements sociaux contre l'ordre existant et ce, dans chaque pays.

«Queles classes régnantes tremblent à l'idée d'une révolution communiste.

Les prolétaires n'ont rien à y perdre, hors leurschaînes.

Ils ont un monde à gagner.

Prolétaires de tous les pays unissez-vous!». »

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