RIEN DE TEL QUE LE SILENCE
Publié le 01/11/2015
Extrait du document
RIEN DE TEL QUE LE SILENCE
Comédie espagnole en vers, en trois journées, de Pedro Calderon de la Barca (1600-1681), publiée pour la première fois en 1639. Don Juan, un jeune libertin obligé d’aller à la guerre, abandonne sa fiancée Marcela et interrompt la cour qu’il faisait à une autre femme, Léonor. Mais, s’étant avisé en cours de route qu’il avait laissé chez lui certains papiers, il retourne en secret à la maison où son père, dans l’intervalle, a donné l’hospitalité à Léonor, qui vient d’être victime d’un incendie. Dans l’obscurité, le jeune homme abuse d’elle, puis repart, non sans laisser, toutefois, un médaillon contenant le portrait de Marcela. Léonor décide de se taire, mais avec l’aide du médaillon, elle identifie sans peine son oublieux amant. Don Juan, à son retour, courtise de nouveau Marcela ;
Liens utiles
- INVERSION DE L’ARBRE ET DU SILENCE de Salah Stétié (résumé & analyse)
- FABIEN CLAVEL Les Aventures du chevalier Silence
- Le Silence de Sarraute
- Voix DU SILENCE (les), d'André Malraux
- SILENCE DE LA MER (Le) Vercors : Fiche de lecture