TRISTAN.

gravité du mal. Spinell se fait un devoir de l’éclairer. Il lui reproche d’avoir, lui grossier paysan, cueilli cette créature délicate. L’opposition entre les deux types d’homme est le moment capital du livre. La dispute est interrompue par la nouvelle de l’agonie de la jeune femme. Le mari montre un réel désespoir, alors que l’esthète s’en va en chantonnant un air de Tristan. Ainsi l’auteur montre clairement vers qui, dans ce conflit entre un monde sain et normal et le caractère morbide de certains êtres raffinés nés de la décadence bourgeoise, vont ses préférences. - T.F. Éditions Kra, 1930.