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L'Évolution de la consommation (TPE)

Publié le 18/08/2012

Extrait du document

Ainsi les préoccupations environnementales deviennent de plus en plus apparentes. La consommation de produits « low print « en est le meilleur exemple. Ces produits ont une empreinte écologique globale dans leur cycle de production-transport-utilisation-élimination. Celle-ci peut s’exprimer de différentes manières, certains préfèrent acheter des produits locaux tandis que d’autres tentent de consommer moins. Une part importante de Français privilégie les marques et enseignes qui font des efforts pour l’écologie. De plus, le retrait des sacs plastiques dans un grand nombre de magasins est une avancée dans la préservation de l’environnement. L’auteur Anna Sam y fait référence dans son roman Les Tribulations d’une caissière : « Pensez à demain et à tous les jolis paysages sans plastiques que vous allez découvrir. La mer sans sac qui flotte … «. Les produits bio et issus du commerce équitable* connaissent un intérêt croissant, ils témoignent alors non seulement d’une préoccupation de l’environnement mais aussi de la santé et d’un esprit de solidarité. Les changements de comportement sont très rapides. Tandis que la fidélité apportée aux autres marques diminue, celle apportée aux marques équitables est croissante. Il n’est alors plus nécessaire de consommer moins pour préserver l’environnement. Le consommateur est un acteur engagé dans la consommation durable.

« - Les magasins « hard discounts » Les « hard discounts» sont, face à cette crise, souvent une solution pour les consommateurs, car en effet les prix les plus bas possibles sont les armes des discounteurscomme Intermarché et Leaderprice . Par exemple Liddl a gagné la guerre des prix d'environ 19% par rapport aux vendeurs de grandes marques.

D'après le magazine Capital « on ne vient pas chez Liddlpar plaisir, mais uniquement pour dépenser moins ».

De plus ces nouveaux adversaires sont situés dans les centres villes, et donc plus près des clients qui font deséconomies de carburant.

De ce fait les consommateurs se dirigent plus vers les « hard discounts ». Nous avons réalisé un sondage auprès d'un échantillon de cinquante personnes adultes, hommes et femmes tout confondu (voir document annexe) qui a permis demontrer que les consommateurs ont un intérêt irrévocable pour les « hard discounts » car les prix sont plus bas et certains estiment que la qualité est la même quedans les grands magasins.

Mais une majorité de personne a plus confiance en des produits provenant de grandes surfaces car elle estime y trouver plus de choix et unemeilleure qualité. - Internet La montée du e-commerce se fait en 1980.

Internet détient une stratégie de multicanaux.

En effet cela permet d'être moins dépendant des grandes surfaces.

Denombreuses fonctions se rattachent à ce mode de distribution avec notamment la livraison à domicile, les réservations des produits à distance, la planification desachats et la production à la demande et sur mesure.

De plus, il met à disposition de manière gratuite et immédiate toutes les informations nécessaires sur n'importequel produit.Internet est réellement au cœur des nouveaux modes de consommation, car il permet aux consommateurs de comparer les prix sur des forums de discussion.

Parailleurs, les différents sites sont plus sensibles aux prix, à la qualité du produit et à la protection de l'environnement.

Ces sites marchands facilitent la vie duconsommateur en étant ouvert 24h/24, dimanche compris, ce qui crée un réel danger pour les autres modes de consommation.

Néanmoins, la part du marchéd'internet reste encore minuscule, inférieure à 5% mais progresse rapidement. II- ...

qui amène à de nouvelles préoccupations 1.

Le « low cost » Depuis le début de la crise, la course aux prix bas a été relancée.

Les produits « low cost » sont des produits caractérisés par des prix très bas, les « hard discounts »ont été les premiers à commercialiser ce type de produits, présents aujourd'hui dans toutes les enseignes.

Cependant il est important de distinguer la consommation« low cost » choisie par les consommateurs riches et celle contrainte des consommateurs plus en difficulté financièrement qui choisissent les produits « low cost »contre leur gré. Si le « low cost » se développe si vite, c'est que les comportements des consommateurs ont profondément évolué.

Il permet à tous les consommateurs de faire deséconomies dans la vie quotidienne.

De plus, il est capable de lutter contre la baisse du pouvoir d'achat. Les Français sont friands d'offres promotionnelles et effectuent la plupart de leurs achats dans des périodes de soldes.

Ils privilégient d'avantage les produits demarque distributeur et comparent ainsi de plus en plus les prix.

Par ailleurs ils se rendent compte que l'acquisition d'un objet nécessite souvent un coût d'entretien, deréparation ou d'assurance et les Français envisagent plus facilement la location.

En outre, le fait maison est un moyen de limiter ses dépenses.

On a tendance àpréférer se lancer dans la cuisine plutôt que d'acheter des plats préparés ou dans le bricolage plutôt que d'avoir recours à un professionnel.

Ce mouvement s'expliquepar la volonté d'économies mais il permet aussi de profiter de son « chez soi », endroit auquel les Français sont de plus en plus attachés.

C'est une façon depersonnaliser à son goût et d'être rassuré, d'un point de vue alimentaire, en sachant ce que l'on mange.

Ainsi de plus en plus de Français fabriquent leurs aliments àl'aide de machines prévus à cet effet. La société est alors devenue pour les Français les plus modestes, une société de consommation « low cost ». 2.

Le « low print » Aujourd'hui l'acte de consommation est indéniablement lié à l'environnement.

En effet, cela ne fait que peu de temps que les Français ont pris en compte les enjeuxenvironnementaux de la consommation.

Ce mouvement se traduit par des modifications du mode de vie (moins de déplacements, intérêt pour des produits locaux oubio).

Le « green living » est une tendance de vie qui tente de réduire la société et l'individu à des ressources naturelles, il est favorisé par le souci d'économie lié à lacrise.

Néanmoins, un problème se pose, de nombreux biens ne peuvent s'inscrire dans la « croissance verte ». Ainsi les préoccupations environnementales deviennent de plus en plus apparentes.

La consommation de produits « low print » en est le meilleur exemple.

Cesproduits ont une empreinte écologique globale dans leur cycle de production-transport-utilisation-élimination.

Celle-ci peut s'exprimer de différentes manières,certains préfèrent acheter des produits locaux tandis que d'autres tentent de consommer moins.

Une part importante de Français privilégie les marques et enseignesqui font des efforts pour l'écologie.

De plus, le retrait des sacs plastiques dans un grand nombre de magasins est une avancée dans la préservation de l'environnement.L'auteur Anna Sam y fait référence dans son roman Les Tribulations d'une caissière : « Pensez à demain et à tous les jolis paysages sans plastiques que vous allezdécouvrir.

La mer sans sac qui flotte … ».Les produits bio et issus du commerce équitable* connaissent un intérêt croissant, ils témoignent alors non seulement d'une préoccupation de l'environnement maisaussi de la santé et d'un esprit de solidarité.Les changements de comportement sont très rapides.

Tandis que la fidélité apportée aux autres marques diminue, celle apportée aux marques équitables estcroissante.

Il n'est alors plus nécessaire de consommer moins pour préserver l'environnement.

Le consommateur est un acteur engagé dans la consommation durable. Conclusion Du fait de l'évolution de la distribution, les consommateurs ont dû revoir leur comportement d'achat.

En effet, celui- ci est devenu plus raisonnable en raison de lacrise qui a indéniablement remis en cause les stratégies des magasins.

Les « hard discounts » ont été les premiers à développer les prix bas et ainsi à susciter l'intérêtdes consommateurs.

De plus, ces derniers s'intéressent d'avantage à l'écologie et traduisent cela en achetant bio par exemple.

Cependant, ces derniers privilégientencore les grands magasins qui leur inspirent toujours confiance.C'est ainsi que nous nous demandons si les consommateurs font ces démarches de leur propre gré ou si c'est une société en crise qui les amène à de telscomportements.. »

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