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Bataille de la Somme

Publié le 27/02/2008

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«Pour l'honneur de la France». Le 29 mai 1940, la contre-attaque française partie du sud de la Somme se solda par un échec. Installés au nord, les Allemands étaient parvenus à séparer les Alliés qui, désormais, tentaient de s'échapper par bateaux ou envisageaient de capituler. Le général Weygand informa le premier ministre Reynaud qu'il espérait défendre Paris et le coeur de la France le long d'une ligne allant de la Somme à l'Aisne. En réalité, il entendait déposer les armes au terme d'une ultime bataille qu'il engagerait seulement «pour l'honneur de la France».

« - Une offensive franco-anglaise massive pour rompre le front lB févr.

1916 Avril 24 JUin 1916 1~ juill.

1916 Nov .

1916 Fixation des grandes lignes de l'offensive de la Somme 1916 : LA GUERRE D'USURE Au moment où s'ouvre l'année 1916, les Alliés, forts de l'expérience acquise au cours des dix-huit premiers mois de la guerre , sont convaincus qu"ll convient désormais d 'adopter le prindpe d 'une offensive menée sur tous les fronts avec le maximum de moyens.

C'est la • guerre d'usure », dont le général Fodest un adepte farouche: •Il ne s'agit plus d'une ruée à travers les lignes ennemies, mais d'un combat organisé , conduit d'objectif en objectif , toujours avec une préparation d 'artillerie exacte et par conséquent efficace .

• Bien que l'offensive alliée sur la Somme n'ait pas réussi à enfoncer le front allemand , elle aura permis aux Franco-Britanniques de prendre l'Initiative des opérations, de soulager les combats devant Verdun et surtout de contraindre l'adversaire à engager toutes ses réserves, soulignant ainsi l'échec du plan de guerre allemand .

W IAPPOirr5 ..

UTAIIES fiANCO.IIIJANNIQUES • En janvier 1916.

sir Wiliam Robertson, Je chef de l'état-major impérial, éait au général Haig, commandant en chef des deux armées britanniques qui seront engagées 511" la Somme : • Je suis trés heureux que vous me disiez aimer Jo11re_ Penonnellement.

je me suis toujoln bien entendu avec lui H n'est pas brillant.

mais sOr et honnête .

Dans l'ensemble, ces chefs et ces étals-majors français constiluent un lot trés par1iculier .

Souvent.

ils se montrent exœlenls.

mais.

en certaines occasions, trés primitifs et inabonlabJes_ En traitant avec eux.

il faut se rappeler avant tout que ce sont des Français, pas des Anglais.

et qu'ds ne verront jamais les choses de la même façon que nous.

Eux-mêmes nous trouvent bizarres, je présume .

S'entendre et agir avec des Alliés n'est pas chose facile ; il faut un c:ontrGJe permanent sur soi-même et manifester beaucoup de tolérance • 4-15 sept.

1916 Début des préparatifs de l 'offensive Début des bombardements des positions allemandes par les Alliés Engagement de l'Infanterie Lancement de la seconde offensive générale Dernières opérations militaires Ll CHOIX DE LA SoiiiiE • Alors que le général Falkenhayn , chef de l'état-major allemand , prépare son offensive contre Verdun, les Alliés prennent leurs dispositions de combat pour 1916 .

Réunis en décembre 1915à !"Initiative du général Joffre, généralis-sime des armées françaises , au QG de Chantilly, ceux-. »

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