Deir el-Balah, une garnison égyptienne au Levant
Publié le 14/09/2014
Extrait du document
«
drique de taille humaine fer
mée dans
sa partie supérieu
re par un plastron de
forme
ovale sur lequel sont modelés
un visage et des bras.
Certains visages aux traits
dé
licats coiffés
d'une perruque
longue sont
de style égyp
tien .
D'autres sont de facture
plus grossière : le visage n'a
pas de contours, seuls ses élé
ments principaux, comme
le
nez, les yeux, la bouche et les
oreilles, sont en relief.
Un
bandeau orné d'une fleur de
lotus
retient quelquefois la
coiffure au niveau du front .
Les bras sont simplement
pliés ou croisés sur la poitri
ne.
Les mains sont soigneuse
ment modelées, des bracelets
aux poignets, le poing fermé,
le pouce
relevé ou au contrai
re la main ouverte ,
les cinq
doigts
nettement délimités .
Lorsque les sarcophages ont
un aspect plus grossier , c'est
aussi le cas pour les mains.
Des pieds sont figurés au bas
de certains cercueils.
Les cuves ont été façonnées
selon la technique des colom- bins
: après avoir
fait une ba
se plate arrondie, le potier en
a
monté les parois en col lant
petit à petit des boud ins d'ar
gile les uns sur les autres.
La
cuve s'élargit au niveau des
épaules et se rétrécit ensuite
pour former une sorte de
dôme
fermé au-dessus de la
tête .
Le plastron, qui s'ouvre
au niveau
du buste du dé
funt, a été découpé à l'aide
d '
un outil tranchant dans une
pâte suffisamment
sèche pour
éviter toute déformat ion.
Dé
taché
du sarcophage , il était.
»
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