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La vie dans une garnison égyptienne

Publié le 08/09/2014

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Au pied des murailles, après un glacis, un rempart en pierre faisant le tour de la forteresse et sur lequel court un chemin de ronde sur­plombe un fossé sans eau de prés de 10 m de largeur et 7 m de profondeur. Depuis les meurtrières percées dans les bastions, les archers sont prêts à décocher leurs flè­ches pour couvrir les soldats qui se trouvent sur les rem­parts. La grande porte d'en­trée de la forteresse s'ouvre, majestueuse, au centre du mur ouest, face au désert, surveillant la route des cara­vanes. Les deux lourds bat­tants de cette porte donnent sur un pont-levis en bois. Du côté du Nil, deux autres portes permettent d'accéder au port qui assure l'approvi­sionnement du fort. De grandes tours, se dressant à intervalles réguliers autour de la forteresse, consolident le système de défense contre les agressions extérieures. Entre ces tours, le chemin de ronde est protégé par des créneaux.

« Une garnison abritée par des ouvrages impressionnants A près de 500 km au sud d'Assouan, en territoire nubien, la citadelle de Semna - un des bastions les plus mé ­ ridionaux de la colonisation égyptienne -barre la rive droite du fleuve.

Son mur d'enceinte mesure 230 m du nord au sud et 180 m d'est en ouest.

Du rocher escarpé où elle est juchée.

les guetteurs peuvent voir très loin et prévenir rapi­ dement d'une éventuelle at­ taque .

Ses hautes murailles, jalonnées de bastions en saillie, s'élèvent d'abord obli­ quement depuis le sol, puis verticalement pour interdire toute utilisation des échelles d'assaut.

La forteresse est un véri­ table châ­ teau fort dont les vent à plus 10 m de hauteur sur une épaisseur de 5 m .

Au pied des murailles, après un glacis, un rempart en pierre faisant le tour de la forteresse et sur lequel court un chemin de ronde sur­ plombe un fossé sans eau de près de 10 m de largeur et 7 m de profondeur.

Depuis les meurtrières percées dans les bastions, les archers sont prêts à décocher leurs flè ­ ches pour couvrir les soldats qui se trouvent sur les rem­ parts .

La grande porte d'en­ trée de la forteresse s'ouvre, majestueuse, au centre du mur ouest, face au désert, surveillant la route des cara­ vanes.

Les deux lourds bat­ tants de cette porte donnent sur un pont-levis en bois.

Du côté du Nil, deux autres portes permettent d'accéder au port qui assure l'approvi­ sionnement du fort.

Oe grandes tours, se dressant à intervalles réguliers autour de la forteresse, consolident le système de défense contre les agressions extérieures.

Entre ces tours, le chemin de ronde est protégé par des créneaux .

Les soldats : toujours sur le qui-vive C es garnisons lointaines sont peuplées de soldats recrutés et encadrés par l'ar­ mée de métier.

Si les officiers et les militaires assurant l'en­ cadrement sont le plus sou­ vent égyptiens, les soldats sont pour la plupart des Nu­ biens soumis à l'autorité égyptienne et qui se mon ­ trent d'excellentes recrues.

principalement dans le corps des archers.

Quand au com­ mandant de la garnison, il. »

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