genese et evolution de la democratie
Publié le 24/01/2019
                            
                        
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                                                                                                                            Le Sénégal, du même nom qui le sépare du grand fleuve aux autres pays tels: la Mauritanie, le
Mali, la Guinée Bissau et la Guinée Conakry est une république laïque et indépendante.
                                                            
                                                                                
                                                                    Du 
point vu historique, l’Etat national du Sénégal est né de la fédération de deux grands empires: 
le Djolof et le Gaabou.
                                                            
                                                                                
                                                                    Malgré la multiplicité des langues et des ethnies, le Sénégal à travers 
sa population à pu mettre en place un ensemble de valeurs, de principes et de symboles.
I- Les valeurs   
Les valeurs sont un ensemble de vertus partagées par les différentes races et ethnies du 
Sénégal.
                                                            
                                                                                
                                                                    La démocratie sur laquelle reposent toutes les institutions du pays vise à promouvoir 
l’individualisme et même le collectivisme.
Dans le  préambule de la  constitution, le Sénégal se dit laïque avec le respect de toutes les 
croyances.
- La fraternité: elle se manifeste à travers l’ensemble difficultés et des crises que connaît
le pays depuis très longtemps.
       -     La téranga: le Sénégal est connu à travers le monde comme étant le pays de la 
Téranga.
                                                            
                                                                                
                                                                    Il est aussi très attaché à ses us et coutumes qui sont le fondement du savoir-vivre 
que tout Sénégalais doit adopter.
                                                            
                                                                                
                                                                    Sous d'autres cieux, des choses qui semblent être des détails 
ont une importance capitale chez nous.
                                                            
                                                                                
                                                                    On peut citer la salutation, la bonne humeur, etc.
                                                            
                                                                                
                                                                    Le 
Sénégal doit aussi sa beauté à l'harmonieuse coexistence entre gens de confessions différentes,
le cousinage à plaisanterie et la solidarité.
                                                            
                                                                                
                                                                    Le tableau serait inachevé si on ne parlait pas de 
l'élégance et de la beauté légendaire de ses femmes au sourire qui rassure plus d'un étranger 
déboussolé.
                                                            
                                                                                
                                                                    Tout un art pour être Sénégalais.
                                                            
                                                                                
                                                                    Un adage bien de chez nous dit qu'il est facile de
supporter un hôte (gann yomb na mounieul).
                                                            
                                                                                
                                                                    Cette assertion renferme toute la chaleur de 
l'hospitalité des Sénégalais connue à travers le monde.
                                                            
                                                                                
                                                                    D'ailleurs, le mot Téranga (hospitalité) 
colle au Sénégal comme l'Hexagone à la France.
                                                            
                                                                        
                                                                    C'est que le concept est une réalité.
                                                            
                                                                                
                                                                    
Souleymane Dicko, un Nigérien n'a pas hésité à faire l'apologie de cette coutume locale 
depuis qu'il est venu dans notre pays il y a trois ans.
                                                            
                                                                                
                                                                    "Je me sens vraiment comme chez moi, 
ou bien mieux que chez moi", confesse-t-il.
                                                            
                                                                                
                                                                    Cet étudiant qui croyait aller vers l'inconnu a été 
vite adopté par ses camarades qui, pour le mettre dans le bain des réalités sénégalaises, 
l'invitent souvent à des cérémonies familiales ou des fêtes comme la Tabaski ou la Korité.
                                                            
                                                                                
                                                                    Il 
se rappelle très bien le " bon couscous " mangé lors de la dernière fête de Tamkharit.
                                                            
                                                                                
                                                                    Sans 
oublier la disposition de ses amis de lui apprendre quelques mots de la langue wolof pour 
mieux faciliter son adaptation.
                                                            
                                                                                
                                                                    Aujourd'hui, dit-il, il se débrouille bien, "je sais marchander 
avec les commerçants, exprimer certains besoins, demander un arrêt à l'apprenti du car rapide 
", se réjouit-il.
                                                            
                                                                                
                                                                    Quid des femmes sénégalaises ? " Elles sont toutes belles comme le dit 
l'émission d'une télé.
                                                            
                                                                                
                                                                    Elles sont très accueillantes, même si je m'offusque parfois du mot " 
niak " que l'on utilisait envers moi au début.
                                                            
                                                                                
                                                                    Mais maintenant, je crois que je me suis bien 
intégré ", pense-t-il.
La jeune camerounaise Agathe Benoa supporte aujourd'hui bien l'éloignement du pays.
Pour cause.
                                                            
                                                                                
                                                                    Ses amies, dit-elle, l'ont adopté et montré les petites ficelles des Sénégalaises.
                                                            
                                                                                
                                                                    Elle
connaît déjà une partie du secret des petits pagnes, l'encens et dit adorer prendre du thé.
- Le cousinage à plaisanterie:  La tradition orale raconte que cette coutume a été instaurée 
par   Soundiata Keïta   lors de la fondation de l' Empire du Mali .
                                                            
                                                                                
                                                                    Il est néanmoins très probable 
qu'elle soit plus ancienne, et qu'elle n'ait été que confirmée à cette occasion.
Selon les historiens, l'origine de ce système de cousinage remonterait à l'antiquité africaine 
dans la vallée du   Nil .
                                                            
                                                                                
                                                                    Il serait un héritage du totémisme pratiqué durant cette époque, ou.
                                                                                                                    »
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