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La France : une puissance agricole .

Publié le 28/09/2013

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Parallèlement, le nombre des exploitations agricoles a diminué. Il y a deux fois moins d'exploitations que dans les années 1960. Cette diminution est accompagnée d'un mouvement de concentration des terres. Les petites exploitations ont diminué de moitié, tandis que les grandes (plus de 50 ha) ont doublé. La taille moyenne des exploitations a donc augmenté et est d'environ 30 ha. Cette forte diminution de la population agricole et des exploitations tient à l'amélioration des techniques qui a permis une très forte hausse des rendements et de la productivité. Un agriculteur nourrit aujourd'hui 40 personnes contre 7 en 1950. On parle de «seconde révolution agricole «. Celle-ci a considérablement modifié la vie des agriculteurs.

« 0 La France est une puissance agricole La France possède moins de 1 % des terres agricoles mondiales.

Elle se place pourtant parmi les grandes puissances agricoles.

Elle est la première puissance agricole de l'Union européenne, d'où son rôle déterminant dans la mise en place de la Politique agricole commune (PAC).

Premier pays producteur de céréales, de sucre, de viande de bœuf de l'Union européenne, la France est le premier producteur au monde de vin, en concurrence avec l'Italie et l'Espagne, troisième producteur de lait et cinquième producteur de céréales.

Elle est le deuxième exportateur mondial de produits agro-alimen­ taires, juste derrière les États-Unis.

Elle exporte les deux tiers de sa production de blé.

0 La France a une grande capacité de production La France bénéficie de conditions naturelles remarquables.

Située dans le milieu tempéré, elle a un climat favorable aux activités agricoles, des sols fertiles et la diversité des terroirs lui permet d'avoir des productions très variées.

L'agriculture française a considérablement changé depuis quarante ans.

Les agriculteurs ne représentent plus que 4 % de la population active, contre 38 % en 1946.

Aujourd'hui ils doivent avoir un niveau de formation de plus en plus élevé, car l'agriculture est devenue une activité scientifique et spécialisée.

Pour accéder à la modernisation de leur entreprise, ils sont aidés par les coopératives, les chambres d'agriculture et les syndicats.

L'État, en favorisant les crédits octroyés par le Crédit agricole, en suscitant les remembrements, a aussi contribué à cette modernisation.

Parallèlement, le nombre des exploitations agricoles a diminué.

Il y a deux fois moins d'exploitations que dans les années 1960.

Cette diminution est accompagnée d'un mouvement de concentration des terres.

Les petites exploitations ont diminué de moitié, tandis que les grandes (plus de 50 ha) ont doublé.

La taille moyenne des exploitations a donc augmenté et est d'environ 30 ha.

Cette forte diminution de la population agricole et des exploitations tient à l'amélioration des techniques qui a permis une très forte hausse des rendements et de la productivité.

Un agriculteur nourrit aujourd'hui 40 personnes contre 7 en 1950.

On parle de «seconde révolution agri­ cole».

Celle-ci a considérablement modifié la vie des agriculteurs.

La mécanisation s'est généralisée.

L'utilisation de machines spécialisées comme les machines à vendanger, à arracher les betteraves, à traire ...

, le développement de techniques nouvelles (ensilage, élevage. »

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