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La guerre de Cent ans

Publié le 09/11/2011

Extrait du document

 

Le roi d’Angleterre et le roi de France se battent depuis des décennies, et ils vont se battre pendant des décennies encore pour ceindre la couronne de France. Une guerre qui aura duré cent ans, et qui ne prendra fin qu’après le retour de Charles VII dans Paris, le 12 novembre 1437.

Lorsque Jean le Bon, roi de France, est prisonnier d’Édouard III, roi d’Angleterre, les bourgeois de Paris, conscients du rôle qui est le leur (ils financent les guerres du roi), veulent pouvoir contrôler le pouvoir royal. Étienne Marcel est l’un de ces bourgeois.

 

« transm et p as par l es f e mm e; et s urt o ut en v e rtu gu fa it qu e Philipp e VI occupait la pla ce.

Edo uard Ill en éta it s i consc ie nt q u'il ne compt ait se préva lo ir de l'a rg um ent que comm e m o nnaie d ' échan ge.

Cep endant, méco ntents de le ur so u­ vera in , certains sujets d e Philip pe VI, e n particu­ lier le s Flam a nds , y trouvèr ent une bo nne raison de ch an ger d 'allégea nce.

Et, de fa it , le s succès des A ngla is furent s i g ra nds que la préte ntio n d 'ɭ doua rd Ill jo ua un rô le e sse nti el au cour s d es étapes suivantes d e la guerre.

Sur t erre, les pr e­ m iers comb ats ne furent pas décis ifs.

Sui vant une t rad iti on d éjà b ien établi e, Édo ua rd III dr e ssa, ' La victoire .....

des Anglais à Crécy , en août 1346 , résulta de l'adoption d 'une position défensive tenue par des troupes disciplinées , dotées d 'un armement supérieur, l'arc à longue portée , qui décima les Français lancés à l'assaut.

CHCY1346 et chevaliers combattant à pied Wadlcourt • ! Les territoires A aux mains de l'Angleterre et de ses alliés à différentes étapes de la guerre.

' Gisant du Prince Noir (cathédrale de Canterbury, Angleterre).

m a is sans ré ussit e notabl e , une coa li ti on antil ran­ çaise de prin ces flam a nd s et all em a nds.

Ses propr es p er cée s, pour de stru ctrices qu'ell_es fus­ sent, n ' avai ent pas de r éel impa ct militair e.

A diff é­ r entes é p o ques, ch acune d es parties, à so n to u r, proposa de me ttre fin à la g ue rre par un comb at sin g uli er, se lo n l es lois d e la c h eva lerie, pui s, r éflexio n f a ite, re tira sa propositi o n.

La première v ic to ire a ngl aise ne dut ri~ n à ces lois.

En 1 346, l'arm ée d'Edou ard Ill , cernée en t e rritoir e hostil e, inf éri eur e e n n ombr e, fut contr aint e de liv re r bat a ill e à Crécy Par d~t plut ôt que par h abil eté , l es An gla is s 'e n r e mir ent à la tactiqu e peu o rthodoxe qui leur ava it ré u ssi ~iliiÎ ;;iiii~iiiiiiiiiiiii!iii;iiiiii! ;J 7J contr e l es Écossais .

Au lieu d ' affront er à ch eva l l a 1;!;;~~1!! tX ch a rge des Fran çais , ils mir ent P'~~ ~ ~"R.. »

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