La Guerre israélo-arabe

« 'dens vers is Transjordanle.

Apres une deuxleme breve, d'aoUt a octobre, les troupes israeliennes repoussent les Egyptiens dans le *limey et s'y installent, et mettent en deroute lesSyriens qui evacuent IaGalilee.

Un cessez-le-feu est impose par l'ONU le 7 janvier 1949, et Israel signe des accords d'armistice separes, a Rhodes et des le 13 janvier, successivement avec l'Egypte, le Liban, la Transjordanie et la Syrie.

L'Irak refuse de parti- ciper aux pourparlers. 4 L'Egypte obtient un mandat sur la plains de Gaza, qu'elle occupe.

Israel conserve le territoire qui lui avait ete officiellement imparti, mais avec un Otroit couloir vers Jerusalem-Guest II conserve egalement la Galilee, mais les collines qui surplombent le lac Kinneret restent syriennes.

L'ONU attribue egalement a Israel la majeure partie du Neguev avec, a Oat, une ouverture de 7 km sur Ia mer Rouge.

La Transjordanie occupe Ia Samarie et une grande partie de Ia Judee, ainsi que la vieille ville de Jerusalem et ses quartiere orientaux.

Un certain nom- bre de territoires tampons sont demilitarises en attendant les accords definitifs qui doivent still/re ('armistice. 5 Ces frontieres, au trace complique et artificiel, fai- saient d'Israel un Etat de 2070© km2.

II obtenait, par Ia fortune des armes, 6 000 km2 de plus que ce qui lui avait ete devolu par le plan de partage (en comprenant, it est vrai, le desert du Neguev).

Les armees arabes etaient severement battues.

Mais un nouveau et grave probleme resultalt do Ia guerre d'Independance : celui des Muffles, tent julfs qu'arabes. niens vers la Transjordanie.

Après une deuxième trêve, d'aoOt à octobre, les ·troupes israéliennes repoussent les Égyptiens dans le Néguev et s'y installent, et mettent en déroute les Syriens qui évacuent la Galilée.

Un cessez-le-feu est imposé par l'ONU le 7 janvier 1949, et Israël signe des accords d'armistice séparés, à Rhodes et dès le 13 janvier, successivement avec l'Égypte, le Liban, la Transjordanie et la Syrie.

L'Irak refuse de parti­ ciper aux pourparlers.

4 L'Égypte obtient un mandat sur la plaine de Gaza, qu'elle occupe.

Israël conserve le territoire qui lui avait été officiellement imparti, mais avec un étroit couloir vers Jérusalem-Ouest.

Il conserve également la Galilée, mais les collines qui surplombent le lac Kinneret restent syriennes.

L'ONU attribue également à Israël la majeure partie du Néguev avec, à Eilat, une ouverture de 7 km sur la mer Rouge.

La Transjordanie occupe la Samarie et une grande partie de la Judée, ainsi que la vieille ville de Jérusalem et ses quartiers orientaux.

Un certain nom­ bre de territoires tampons sont démilitarisés en attendant les accords définitifs qui doivent suivre l'armistice.

5 Ces frontières, au tracé compliqué et artificiel, fai­ saient d'Israël un État de 20 700 km 2 • Il obtenait, par la fortune des armes, 6 000 km2 de plus que ce qui lui avait été dévolu par le plan de partage (en comprenant, il est vrai, le désert du Néguev).

Les armées arabes étaient sévèrement battues.

Mais un nouveau et grave problème résultait da la guerre d'Indépendance : celui des réfugiés, tant juifs 1:1\U'arabes.. »