la mondialisation

« mondialisation).

La Chine s’ouvre également aux investissements étrangers dans les années 80/90.  La mondialisation en tant que libéralisation économique faisant tomber les obstacles à la circulation de marchandises et de capitaux est un phénomène ancien et manifestement irréversible. B.

Processus de mise en relation des espaces 1.

Les réseaux de transports Les innovations ont accélérées cette mondialisation, d’abord au niveau des transports maritimes (80% du transport total mondial de marchandises (=matières premières ou manufacturées)), par exemple, les supertankers (bateaux) pour le pétrole et les porte-conteneurs.

Mais aussi au niveau du transport aérien (d’individus) qui s’est modernisé et/ou démocratisé.

La quasi-totalité des grands aéroports qui concentrent 80% du trafic mondial se situent aux USA ou en Europe.

Ils sont environ 25 aéroports, transformés en plateformes multimodales (c'est-à-dire qu’elles donnent accès à d’autres modes de transports : les routes, les chemins de fer et les voies maritimes), ce sont des « hubs » (par exemple Roissy en France). 2.

Les réseaux de la NTIC (Nouvelles Technologies de l’information et de la communication) La révolution des communications des années 90 qui augmente la quantité et la vitesse des échanges et dans les informations avec internet public (à l’origine c’était un intranet américain) dans les années 90.

Cette échange d’informations est associé à des échanges de capitaux la finance numérique.

C’est le trading haute fréquence (non plus des individus mais des ordinateurs).

Il s’associe avec ses nouveaux outils d’échange et de communication ainsi tous les espaces du monde ou presque peuvent avoir une connexion.

Même si il existe toujours une fracture numérique entre pays du sud et du nord. Il y a 8 ans, il y avait autant de connexion à Manhattan qu’en Afrique entière. C.

Un processus de mise en concurrence des espaces Au niveau de l’offre, les entreprises veulent améliorer le produit et diminuer le coût.

Au niveau de la demande : les consommations veulent les produits les moins chers possibles.

Grâce à cette modernisation des transports, ONMTIC, on assiste à la mise en place d’une nouvelle division internationale du travail (exemple de l’IPhone), la NDIT (répartition territoriale de certaines fonctions et entreprises, par exemple : concentration et design, recherche et développement,…), il s’agit donc de territoires des compositions ou matières premières, ceux qui assemblent et les espaces de ventes. On va généralement dans cet ordre des pays développés aux pays les moins développés.

Recherche et développement : pays du nord et BRICS ; production et assemblage : pays du sud mais volonté de la relocaliser dans les pays développé (reste faible) ; la vente : pays du nord + pays émergents et du sud (Asie et Afrique).

S’il y a bien une sélection des espaces dans le monde en fonction de leurs compétences et avantages, la mondialisation intègre désormais tous les territoires dans presque toutes les étapes.

Toutefois, chaque territoire ne tire pas le même avantage de la socialisation.

II.

Les acteurs majeurs de la mondialisation A.

Les firmes transnationales, un rôle d’impulsion Il y a environ 80 000 FTN sur la planète et elle réalise 2/3 du commerce mondial et leur chiffre d’affaire est souvent supérieur au PIB de plusieurs états, par exemple : GAFA > Danemark ; Wal-Mart > 158 pays dans le monde (ex : Argentine, Portugal, Grèce,…) ; Auchan > Soudan.

Les FTN appartiennent pour les ¾ aux pays du nord même si il y a une grande augmentation dans les pays du. »