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La mondialisation est-elle une chance ou une menace pour le citoyen ?

Publié le 17/01/2022

Extrait du document

I. LA MONDIALISATION : UNE CHANCE POUR LE CITOYEN

 

L'adhésion des pays aux organisations transnationales (issues de la mondialisation) implique l'implantation d'institutions juridiques et politiques démocratiques et l'ouverture de leurs marchés intérieurs mais aussi leur résolution de tout conflit nationalitaire leur respect des minorités et leur signature de traités de bonne entente avec leurs voisins (ceci favorisant les rapports entre les citoyens du monde). Ces rapports se voient aussi stimulés par l'explosion de TIC. En effet, les technologies de l'information et de la communication entraînent une communication plus ouverte, des débats multinationaux.
  

« négocier leurs conditions de vie.

L'appropriation de ces outils conceptuels produit des effetssociaux qui renforcent la capacité citoyenne, faisant de la culture une valeur stratégique quipermet à la démocratie de fonctionner et qui améliore la cohésion et intégration sociales.

Dansson étude Recondita armonia [5] Dick Stanley dresse l'inventaire des données tirées d'une vastelittérature afin de voir dans quelle mesure les effets sociaux de la culture sont reconnus etvérifiés.

Les formes traditionnelles de la politique culturelle sont soumises à une évaluationrigoureuse pour vérifier l'impact possible de ces nouvelles conceptions des effets sociaux de laculture, notamment dans la perspective d'une amélioration concrète de la capacité citoyenne etde la cohésion et de l'inclusion sociales.

L'ouvrage explore les effets de la culture sur la sociétéet explique comment la participation à la vie culturelle contribue à construire la citoyenneté dessociétés démocratiques modernes.

L'étude avance l'idée que la politique culturelle nationale, sielle est correctement structurée, peut et devrait être utilisée pour renforcer la capacité citoyenne. II.

LA MONDIALISATION : UNE MENACE POUR LE CITOYEN Le citoyen se retrouve soumis à une concurrence mal ou non encadrée, nous pouvons citer l\'exemple du lait auKenya.

Le Kenya, avec une production annuelle moyenne de plus de 2,9 millions de tonnes de lait, est largementauto-suffisante; 80% de la production est assurée par des petits élévateurs et l\'industrie laitière kenyane est unedes plus développées d\'Afrique.

Voire Document n°1 de L\'Annexe.

« Lait au Kenya » Ce succès s\'explique par une importante politique nationale de soutien à la filière lait.

Mais les Pays de la Triade ontvu une grande opportunité de produire encore plus d\'argent en amenant sur le marche Kenyan du lait en poudreavec un prix beaucoup moins élevées ce qui permettrait a tous les citoyens du Sud d\'acheter et de consommer duLait.

Les citoyens très pauvres, qui doivent nourrir leur famille, ne sont pas toujours ou mêmes seulement trèsrarement conscient de ce que ce geste signifie pour tous les petits paysans.

Si un ancien produit mais moins cherarrive sur le marche, tout le monde le choisira en fonction du prix.

Donc ici nous avons un exemple ou les citoyenssont divisées en deux, les uns y gagnent, d\'autres y perdent.

Les uns peuvent consommer du lait et donc mieuxnourrir leur famille, et les autres ont plus de sources de revenues.

De même avec le Café, le café est la secondemarchandise échangée dans le monde, derrière le pétrole.

On estime a 125 millions le nombre de personnes vivant dela caféiculture, incluant 25 millions de petits producteurs. 400 milliards de tasses de café sont bues par an, soit environ 12 000 tasses par seconde! Mais le problème se poselors de la récolte des bénéfices, car le café pousse au Sud, les bénéfices au Nord.

Les citoyens produisent du cafépour le Nord pour gagner très t peu d\'argent, alors que sans mondialisations peut-être que sur un marche interne,les conditions de Travail et de prix seront respectées.

La question a se poser est, qui en gagne le plus? La réponseest les Européens et en général les pays de la Triade, la tête du Commerce international.

Nous pouvons doncqualifier cet exemple de perdant pour les citoyens Kenyan et autres, car ils ne connaissent pas l\'enjeu de laMondialisation.

Voir Documents n°2 et n° 3 de l\'Annexe. La mondialisation réduit donc aussi le pouvoir économique et social de l'État – nation avec la levée desbarrières commerciales et la déréglementation, le citoyen peut trouver les mêmes produits mais beaucoup moinscher.

Le poids des firmes internationales peut être ainsi se renforcé.

L'affaiblissement de l'État – nationmenace la citoyenneté choix et contrôle des citoyens pays européens ou non il n'existe pas de protection sociale etil n'y a pas de charges donc la main d'½uvre est moins chère.

La mondialisation tend à gommer les particularitéssocioculturelles puisque les effets de domination et de standardisation heurtent valeurs et modes de vie.

Il s\'agits\'exercent dans le cadre de l'État nation.

La déréglementation met à mal les droits puisque l'encadrement par la loiprotège le citoyen. Par exemple, le modèle américain (où règnent la liberté de chacun, le capitalisme libéral, et le fait de pouvoir toutréaliser, une société construite sur l\'individualisme, chacun décide donc de son avenir) est un grand modèle pour tellement de personnes dans les pays moins avancéeset en retard économique.

Ce n\'est pas pour rien que dans ces pays environ 70 % de la jeunesse rêvent de quitterleur pays, pour un avenir meilleur, notamment en Europe ou aux États Unis.

Avec ceci nous constatons donc unedisparition du niveau Culturel, avec la Mondialisation, car avec la jeunesse le plus important n\'est plus de soutenirson pays et de ne jamais abandonner sa Culture, mais d\'avoir un meilleur avenir que peut-être l\'avaient les famillede nos jours la majorité des jeunes cherchent a se réaliser eux mêmes et leurs vie avant de penser a leur pays De plus nous constatons l\'abandon d\'énormément de langues.

Environ 6000 langues existent dans le monde maisseulement 4 % des langues sont utilisés par 96 % de la population mondiale.

De surcroît, 50% de ces 6000 languessont en voie d'extinction! Nous voyons donc un besoin d\'adaptations important de la population, nous avons parfoisl\'impression que sans parler Anglais, ou Espagnol, les deux langues les plus parlées au monde, nous ne sommes rien.Nous n'avons aucun pouvoir et personne ne nous prend en compte.

Aujourd\'hui il n\'est plus possible de parlerseulement par exemple le Vasque ou autre Mais vu le fait que cette Mondialisation existe, le Sud se retrouve énormément perdant et donc en particulier lescitoyens car ils n\'ont pas le pouvoir de décision, ils acceptent cette mondialisation mais à la fin se sont les simplescitoyens qui se retrouvent perdant car se qui ont le pouvoir de décision se trouvent jamais perdant, même au Sud.Tout est a leur avantage.. »

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