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La pauvreté dans le monde

Publié le 07/05/2011

Extrait du document

La pauvreté est un fléau dont tout le monde souffre a travers la planète entière dans certains pays la majorité des peuples sont pauvres et dans d’autres Il n’ya   qu’une minorité mais qui compte un très grand nombre de personnes

Ces individus souffrent d’un manque fondamental de  besoins nécessaires  et on trouve ce problème surtout dans les pays démunis comme l’Afrique  (Leona serra, Tanzanie, Ethiopie, somalie…) ou dans des pays en phase de développement... 

« la pauvreté est une réalité aux multiples aspects , partagée par toutes les époques et toutes les parties du monde, des pays riches aux pays en développement et toujours d'actualité .

Elle n'est toutefois pas uniforme , mais relative au niveau de vie d'ensemble des sociétés concernées.

En cela, elle est un phénomène complexe à cerner et à mesurer -qui plus est à combattre- si l'on considère la multiplicité des dispositifs d'aide et d'outils qui se sont efforcés d'enrayer ce fléau sans que les résultats soient à la mesure de l'espérance ni à la hauteur de la situation.

UNE DUINmON • • Pauvreté • vient du latin poupertos , qui qualifie l'état d 'une personne manquant de moyens matériels .

Pauvreté est ainsi synonyme de besoin, de dénuement, de gêne, d'Indigence, de nécess~é .

de privation.

• Outre sa dimension humaine, la pauvreté présente un rapport étroit avec le domaine économique .

Si on la rapporte à ce domaine , on peut donner une définition simple de la pauvreté comme l'absence ou l'Insuffisance des moyens convenables à la satisfaction des besoins , considérés comme essentiels, d'un agent économique.

• Pour un individu , il s'ag~ de l'absence ou de l'Insuffisance de ressources , de biens ou de droits, qui ne lui permet pas de satisfaire ses besoins ___________ _, élémentaires :emploi stable, santé, • On oppose communément la pauvreté à la richesse .

la frontière entre ces deux notions est toutefois difficile à établir.

On peut le faire en recourant à des critères économiques, mais aussi sociologiques, voire psychologiques .

• Au-delà du problème de définition, il if11porte de s'Interroger sur les formes , la mesure, la localisation, les conséquences, les facteurs de la pauvreté ainsi que sur l'efficacité des polit iques de lutte contre ce phénomène .

alimentation, logement vêtement moyens de déplacement épargne de précaution , considération ...

• Pour une collectivité , la pauvreté se définit aussi comme une insuffisance ou une absence de ressources, qui ne permet pas le fonctionnement satisfaisant de ladite collectivité .

lu SEUilS DE PAuvant • la pauvreté présente divers degrés.

la pauvreté absolue correspond à l ' absence totale ou à l'Insuffisance très marquée, dans la durée , des moyens de satisfaction des besoins les plus fondamentaux : c'est celle que l'on rencontre dos les ,-ys les .ohis n•IICH.

la pauvreté relative n'est qu'une insuffisance limitée , momentanée , locale de ses moyen s : c'est de cette pauvreté dont on parle d•ns lts /Hirs illllustrltii/Us.

• la détermination de degrés de pauvreté permet de définir des seuils de pauvreté et de dénombrer les personnes concernées.

LES DIFFÉRENTS SEUILS LE SEUIL DE PAuvant .USOLUE DE LA BANQUE MONDIAU • les seuils de pauvreté varient d'un pays à l 'autre .

On distingue un seuil de pauvreté absolue et un seuil de pauvreté relative.

• la Banque mondiale évalue le seuil -----------..1...-----------1 de pauvreté absolue à 1 dollar US par • Chaque époque a eu sa propre façon de prendre en compte la pa!Mtté.

Quatre périodes se dislinquent dans l'histoire de la patMtté en Franœ.

• À l'éprd des pauwes.la société médiévale a~ des alliludes éllllbigues.

EBe fait le tri enlie les •bons• palMeS vais 1 pauwes comme les vagabonds.

Par ailleurs, certains pauwes pouvaient bénélkier de l'aide des seiJ1neurs ou d'une forte solidarité famiale et vilageoise.

De son dllé,ltglise présente la charité comme tm devoir : il faut venir au secuurs des pauwes.

• À partir du xv• siècle, la paiM'eté commenœ • inquiéter l'Bal On continue de distinguer • bons • et.

mauvais 1 piiiM'I!S, mais la tenclanœ à la répression s'in\ensilie : les vagabonds sont poursuivis.

certains pendus.

d'autres envoyés aux galères.

• Au lMU' siède, Jean-Jacques Rousseau éait clans son Contrat SDCial (1762) : • Les secours publics sont une delle sacrée .

la société doit la subsistance aux dluyens malhelnux.

soit en leur prowrant du travail, soit en assurant les moyens d'exister • ceux qui sont hors d'état de travailler •.

la Révolution française proclame la liberté du travail et donne des droils aux pauwes.

Mais si l'Bat cherdle des solutions pour COIIIrer la pa!M'eté, il continue d'établir des dislindions dlez les plus démunis.

Les palMes sont de plus en plus nombreux et la Révolution peine • apporter des solutions conc:ri!les et ellicaœs.

• À partir du XIX' siècle, de Yérùbles politiques sociales voient le jour et des lois d'assistance sont wtées : en 1893, raide sociale et l'assistance médicale gratuite ; en 1905, l'assistance aux vieilards et aux infirmes ...

Mais les politiques sociales sont insullisantes en l'absence de aoissanœ économique et d'élévation globale du niveau de vie.

personne et par jour.

En 1980, environ 1,5 milliard d'individus se trouvaient en dessous de ce seuil ; en 2005, ce chiffre a diminué d'un tiers .

• Si l'on retient le seuil de 2 dollars US par jour et par personne , souvent employé par les économistes, on estime que 2,7 milliards de personnes vivent encore en dessous de ce seuil.

• Ce progrés significatif incite à penser que l'objectif de réduire de moitié la pauvreté en vingt-. »

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