La Place des femmes dans la famille en France entre le XVIe et le XVIIIe siècle

« 1 sur 20 Chapitre 1: La Place des femmes dans la famille en France entre le XVIe et le XVIIIe siècle Société d’ancien régime: individu définit par son état cad sa position, état different pour H et F H: le nom est suivie par sa condition (titre de noblesse / membre du clergé / sa profession) F: situation ds famille, dans les sources définie par son père / Mari / fils, metier n’apparait jamais En quoi la place de la femme dans le cadre de sa famille est elle marquée par une situation de forte dépendance aux hommes dans la société d’Ancien Régime? a.

La Femme, une fille I.

La jeunesse des filles, un temps de formation au milieu des femmes Premieres années de vie: naissance à 7ans (age de raison), fils et garçon élevé ensemble par mere ou nourrice, allaité jusqu’à 3ans, et pre-formation assurer par femmes A.

L’époque moderne, un temps de débats sur l’éducation et l’instruction des filles 1.

A la renaissance l’apparition d’une nouvelle question CHRISTINE DE PISAN, L’EXCEPTION EN TEMPS QUE FEMME DE LETTRES Fin M.A / déb E.M: peu de femme savent lire / écrire et ont une bibliothèque m ds milieux favorisé Christine de Pizan XIV-XV: origine vénitienne, noble avec instruction soigné en Fr et en It Epouse un français et si installe, Veuve à 25ans elle doit financer sa vie, celle de ses enfances, de sa niece et de sa mere -> la premiere femme ayant réussi à vivre exclusivement de sa plume Oeuvre prolixe, les plus importante: La cité des Dames, plaide pour l’instruction des femmes en donnant des exemples de femmes antiques Le Livre des 3 vertus, vertu pédagogique pour les femmes de ts les milieux Les humanistes s’emparent de la question de l’instruction LE POINT DE VUE LAIC DES THÉORICIENS DE LA RENAISSANCE SUR L’INSTRUCTION DES FILLES La place des femmes importante dans la reflexion sur l’instruction, vue chez: -> Erasme: Études préservent jeunes filles: meilleure activité que l’oisiveté + accès à la morale, modèle, la preserve -> Vives: Institution de la femme chrétienne, exclusivement sur l’education de la femme Instruction: seulement pour les nobles, la capacité à lire et à écrire qui soutien elevation morale Loin de la mixité -> preserver les filles car elles sont des tentatrices (contre ex: abbaye de -> preserver les hommes de recevoir l’education, inférieur, des filles Thélème) Défendent capacité à lire et écrire => renvoie à son rang dans la société, donc education dépend du degré d’élévation sociale, instruction dépend du milieu, A.

d’Aubigné: éduqué selon nécessité du milieu sinon prétentieuse POUR LES ECCLÉSIASTIQUES L’INSTRUCTION DES FILLES UNE NÉCESSITÉ NOUVELLE Gens d’É (catholique / protestant) plaide pour l’instruction des filles ds préoccupation religieuse Instruction minimal pour assurer de bon chrétien Protestant: instruction des filles pour pv livre la bible nécessaire à la foi + permet d’exacerber lien conjugal (époux peut partager reflexion avec épouse) + assurer instruction religieuse des enfants des le plus jeune age, elle sont de bonne chrétienne et ses enfants aussi Catholique: suit le modele protestant, le concile de Trente 1545-63, concile en réaction à diffusion du protestantisme, origine de la contre-Réforme pour rétablir le dogme (culte saint et marial) Education des filles pour émécher les enfants de devenir de bon chrétien, devient un relai de la foi, enseignement qui doit être accès sur catéchisme et lecture. »