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Le mal logement en France

Publié le 24/07/2010

Extrait du document

 

Partie1 : Etat du mal logement.

a)      Les aspects du mal-logement.

b)      Les catégories sociales les plus touchées.

Partie 2 : Evolution du mal-logement

a)      la crise.

b)      Les actions sociales pour faire face à la précarité.

Introduction

Le mal-logement et un nouveau mot francophone destiné à définir la situation d’insalubrité et/ou de grande précarité d’une partie des usagers ou aspirant au logement. Cette construction verbale a été dans un premier temps employée par certaines associations militantes, avant d’être reprise progressivement par un grand nombre de médias dans les années 2000.

54 ans après l’appel à de l’Abbé Pierre du 1er février 1954, la situation du logement en France reste une préoccupation majeure. (la fondation Abbé Pierre, reconnue d’utilité publique le 11 février 1992 agit pour que les plus défavorisés trouvent à se loger  dignement et durablement).

Comment peut-on caractérisé le mal-logement de nos jours ? Dans une première partie, nous aborderons l’état du mal-logement, puis dans une seconde partie son évolution

 

« Les difficultés d'accès au logement des ménages modestes ou pauvres, notamment immigrés,s'accroissent : Les structures d'hébergement sont saturées , faute de solution de relogement à la sortie. Les mesures pour écarter les sans-abri des centres se banalisent : persistance des arrêtés anti mendicité, pénalisation de la fraude transports en commun, renouvellement du mobilier urbain pour empêcher le stationnementprolongé, durcissement des services de sécurité… Les sans-abri décédé dans la rue sont en grand nombre : 100 en Ile-de-France, dont 60 à Paris chaque année selon les pompiers. La précarité du logement se traduit par le développement de l'errance urbaine familiale, marquant un nouveau pallier : hébergement institutionnels temporaires type aux hôtels et foyer, hébergement privéprécaire, squats, camping, installation irrégulière de caravanes, bidonville… Le saturnisme infantile est traité par des mesures palliatives à et des travaux, alors que le relogement demeure la solution la plus efficace. Les personnes vivant dans les logements insalubres peuvent désormais être expulsées sans relogement depuis l'adoption d'un amendement, un an après l'adoption de la loi exclusion.

Les situations d'insalubrité de périls'éternisent durant plusieurs années. Le surpeuplement accentué , et massif, négligé des politiques publiques. b) les catégories sociales les plus touchés. Se sont d'abord les ménages pauvres qui sont concernés car ils ne trouvent plus à se loger.

Leurs ressources, provenant partiellement du travail, mais aussi des prestations sociales, sont insuffisantes pour leur permettentd'accéder à un autre logement que dans le parc social, surtout s'ils vivent en milieu urbain. Les ménages de salariés modestes, et même ce qui disposent de revenus moyens, sont désormais écarté de l'accès au logement dans les zones d'habitat les plus tendues.

La fragilisation de leur situation professionnelle, lefaible le montant des revenus de leur travail les contraignent à « se rabattre » sur des solutions d'habitat inadapté àleur situation (centre d'hébergement…) Ensuite, il faut bien sûr ajouter les jeunes contraints à la cohabitation familiale, ainsi que les populations étrangèresou issues de l'immigration.

Ces dernières, du fait de leur moindre qualification professionnelle, sont globalementnettement plus pauvres que la moyenne. Le nombre de logements sans confort de base a heureusement considérablement diminué ces 30 dernières années.Cette évolution résulte la fois de l'élévation de du niveau de vie moyen, mais aussi de la part croissante desdépenses que les ménages consacrent se loger.

Cette amélioration est loin d'être aussi nette pour tout le monde,. »

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