Le protectorat français sur la Syrie et le Liban
Publié le 27/02/2008
Extrait du document
Le mandat accordé à la France par la Société des Nations sur la Syrie et le Liban, après la première guerre mondiale, heurtait les nationalistes arabes qui aspiraient à l'indépendance. Ce n'est qu'après la seconde guerre mondiale que la France, cédant aux pressions britanniques, quitta ces deux pays.
Le mandat français.
Au début du XXe siècle, la Syrie et le Liban taisaient partie de l'Empire ottoman. Les années précédant la première guerre mondiale furent marquées, en Syrie, par la naissance d'un nationalisme arabe. En 1918, les troupes britanniques chassèrent les Turcs; l'émir Fayçal établit un gouvernement à Damas et, en 1920, il fut désigné comme roi d'une "Grande Syrie". Au Liban, le patriarche maronite fut mandaté par la population pour réclamer de la conférence de paix la création d'un "Grand Liban"; la République libanaise vit le jour en été 1920.
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- Guerre d'Indochine Protectorat français depuis 1885, le Tonkin (Viêt-nam actuel), la Cochinchine, l'Annam et le Cambodge sont regroupés à la fin du XIXe siècle en une Union indochinoise sous l'autorité d'un gouverneur général français.
- Elle réunit les représentants d'Israël et de la Jordanie, la Syrie, le Liban, la Palestine.
- «Titre», Comme convenu entre nous au téléphone, vous trouverez ci-joint mon acte de mariage en arabe, provenant du Liban, à traduire en français.
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- Le protectorat français.