Le XXe siècle
Publié le 06/11/2013
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«
ID É O L O GI E
G E N R ES
LI TT É R AI R ESAlexandra Dujardin, 7ºFR 25
novembre 2013
maisons d’édition.
Cette évolution affecte l’ensemble des pays industrialisés à l’échelle
européenne et mondiale.
L’industrie de l’édition s’oriente de plus en plus vers la production régulière de « best
sellers » parfois standardisés.
Cela favorise aussi la diffusion auprès du plus grand
nombre de textes du patrimoine, que les collections de poche mettent à la portée de
toutes les bourses.
Par ailleurs, certaines œuvres conçues au départ pour un public
restreint peuvent bénéficier d’une diffusion inespérée.
LA CONDITION DE L’ÉCRIVAIN
Une série d’accords internationaux, matérialisés par les conventions de Genève et de
Stockholm garantit les intérêts de l’écrivain dans l’ensemble de la planète.
Le paysage
littéraire de la fin du XX siècle est dominé par des auteurs qui accèdent pour des raisons
diverses au statut de « stars » reconnues par les médias de grande diffusion.
Cette catégorie d’auteurs fournit la matière d’articles et de reportages divers : leurs
personnages, leur mode de vie intéressent autant, voire davantage, que le contenu
littéraire de leurs ouvrages.
Au cours du XXe siècle, la situation de l’écrivain a considérablement évolué.
Marginal
ou révolté, il incarnait la mauvaise conscience d’une civilisation moderne dont il
dénonçait les travers.
Persécuté par des régimes autoritaires, il incarnait encore la
résistance à l’oppression, le désir de liberté et la promesse d’un avenir meilleur.
Une
logique économique de plus en plus forte l’affranchit de la tutelle politique, mais peut
faire de lui un simple argument de vente.
L’importance du passage à la télévision et
l’influence des prix littéraires déterminent désormais largement l’activité des auteurs et
de leurs éditeurs.
Le XXe siècle a connu un essor sans précédent de la connaissance scientifique.
L’homme a progressé dans le contrôle des phénomènes naturels.
Les deux grand
systèmes politiques qui ont dominé le XXe siècle, capitalisme et communisme.,
croyaient aux vertus émancipatrices de la science et de la technique.
Elles devaient
permettre de rationnaliser la production, de soumettre les éléments naturels aux besoins
humains.
L’homme du XXe siècle a pu par ailleurs, grâce à la psychanalyse freudienne,
développer des hypothèses saisissantes sur le fonctionnement du psychisme.
Il a pu
également rendre compte de la naissance de l’univers grâce à la théorie du big bang
formulée au début des années 30.
Einstein a par exemple remis en question les repères
les plus stables de l’expérience humane : les catégories de l’espace et du temps elles-
mêmes ont fait l’objet de redéfinitions.
Mais la science inspire également la
méfiance.
L’homme peut s’affranchir des
rythmes naturels, modifier sont
alimentation agir sur le climat..
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