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L'Église à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle.

Publié le 22/02/2012

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Le progrès des idées libérales n'est pas accepté d'emblée par la papauté : le libéralisme — alors révolutionnaire et souvent anticlérical — n'est pas un vain danger pour le patrimoine spirituel de l'Église, et l'unité italienne menace ses intérêts temporels. Cette attitude n'est pas nouvelle : déjà, en 1832 et 1834, Grégoire XVI avait condamné Lamennais. Entre 1848 et 1914, trois papes restent fidèles à la grande tradition conservatrice, mais leur politique, ferme ou souple, s'accorde avec leur temps.

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