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Les migrations des travailleurs dans le monde.

Publié le 18/10/2013

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Les dernières données démographiques font ressortir une autre tendance, qui s'est déjà traduite en termes sociologiques: avec un taux de croissance de 13 %, la minorité noire - la plus importante des États-Unis avec plus de trente millions de personnes appartenant pour moitié aux classes moyennes - s'accroît quatre fois moins vite que celle des Hispaniques, et huit fois moins rapidement que celle des Asiatiques. À ce rythme, la communauté noire (13 % de la population actuellement) sera supplantée, à l'aube de l'an 2000, par la communauté latino-américaine (9 % de la population aujourd' hui), puis par les Asiatiques.

« La nouvelle vague mexicaine ne comprend plus seulement de pauvres hères. Il s'agit maintenant aussi d'une classe moyenne d'hommes d'affaires, d'artisans. spécialisés, d' intellectuels, de jeunes diplômés des universités, qui représentent une grave hémorragie pour le Mexique. Nombre d'entre eux sont admis sur des visas "de préférence" réservés aux "personnalités qualifiées", jadis largement utilisés par les Européens. « J. Grappin, Pacifie America, Plon, 1988.

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• Document 3 « En partie grâce à l'afflux de nouveaux arrivants, les "minorités raciales" sont devenues majoritaires, au cours de la dernière décennie, dans 51 villes américaines de plus de 100 000 habitants .

C'est ce que révèle le dernier grand recensement effectué en 1990.

Parmi les métropoles où ces minorités - terme qui englobe aussi bien les Noirs de toutes origines, les Amérindiens , les Latino-Américains, les Asiatiques ou autres immigré s - représentent désormais plus de la moitié de la population figurent New York (57 %), Houston (59 %), Memphis (56 %), San Francisco (53 %) et Dallas (52 %).

Les dernières données démographiques font ressortir une autre tendance, qui s'est déjà traduite en termes sociologiques: avec un taux de croissance de 13 %, la minorité noire -la plus importante des États-Unis avec plus de trente millions de personnes appartenant pour moitié aux classes moyennes -s'accroît quatre fois moins vite que celle des Hispaniques , et huit fois moins rapidement que celle des Asiatique s.

À ce rythme, la com­ munauté noire (13 % de la population actuellement) sera supplantée, à l'aube de l'an 2000, par la communauté latino-américaine (9 % de la population aujourd'hui) , pui s par les Asiatiques .

"Les Noirs qui n'arrivent pas à se sortir de leur misère voient arriver dans leur quartier des Coréens qui reprennent le petit commerce, ne leur font pas crédit , les regardent de haut et réussissent à s'en sortir plus vite qu'eux .

Tout cela crée des tensions dont il faut s'occuper", disait en mars M.

Bernard Watson, un des responsables de la National Urban League, la plus vieille organisation de défense des Noirs .

» M.

Jacot , Le Monde, 6 novembre 1992.

• Document4 « Les Universités et l'industrie américaine ont longtemps fait main basse sur les chercheurs du monde entier.

Cette razzia a désormais son revers : une fois formés, les étudiants , notamment asiatiques, rentrent chez eux atti­ rés par une économie en plein boom.

Une chance que n'ont pas les Euro­ péens , sensibles aux sirènes. »

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