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Les morts durant la Seconde Guerre Mondiale

Publié le 13/02/2019

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$$$Sujet de dissertation : La mort durant la Grande guerre (La Première Guerre mondiale 1914-1918) Introduction : Depuis la fin du XIXème siècle, des rivalités exacerbent les tensions entre les pays européens. Face à ces tensions, les pays européens se regroupent en alliances militaires au début du XXème siècle. Tout d’abord la Triple A composée de l’Autriche-Hongrie, de l’All, et de l’Italie qui rejoindra finalement la Triple E en 1915. La Triple E est constituée de la FR, du Royaume U et de la Russie. La Première GM débute en 1914 suite à l’attentat de Sarajevo désignant l’assassinat de l’héritier de l’empire d’Autriche Hongrie, François Ferdinand, par un nationaliste serbe. Cet évènement déclenche alors des hostilités entre les alliances, les puissances européennes s’engagent dans le conflit ainsi que d’autres pays de tous les continents. Cette guerre demande une mobilisation massive par ailleurs, jamais une guerre n’avait mobilisé autant d’H : 70 millions de combattants sont incorporés de 1914 à 1918. On note alors des pertes inimaginables. Les Soldats au front survivent dans des conditions atroces et les civils à l’arrière n’épargnent pas de la violence et de la brutalisation de la guerre. On dit par ailleurs qu’il n’y a plus de distinction entre l’arrière et les civils. Dès lors, Le bilan humain et matériel effroyable, le résultat d’une guerre industrielle 1) Une guerre industrielle Le degré de violence atteint par les combats pendant la Première Guerre mondiale a des explications matérielles. Les guerres accélèrent l’innovation, en effet le climat de guerre impose une évolution de l’armement afin d’être plus performant. Les perfectionnements de l’artillerie moderne bouleversent la conduite de la guerre « des machines à tuer ». Cette violence est caractérisée par l’emploi d’armes d’une efficacité nouvelle avec le fusil à répétition (10 balles par minutes). Les grenades vont prendre une place grandissante dans l’équipement du soldat, les mitrailleuses ont jouées par ailleurs un rôle important et décisif, et sont typiques de la guerre industrielle. Les moyens défensifs l’emportent sur les capacités offensives comme le dit Pétain « restons dans notre trou ». En effet ce rôle de l’artillerie fut capital, elle infligea 3/4 des blessures de la guerre. De plus, il ne faut pas oublier les premiers sous-marins, les avions et les chars d’assaut. Les avions vont en effet se développer ils servent à la reconnaissance aérienne et les bombardements des civils. On pourra citer en fin 1914 et en août 1918 les bombardements de Paris. Les chars firent leurs apparitions dans l’armée britannique en août 1916 lors de la bataille de la Somme, ils seront par la suite modifiés rendus plus maniable et plus léger par Renault. La démultiplication de la puissance de feu transforme le champ de bataille en un véritable enfer. Les armes nouvelles ont dém...

« bombardements des civils.

On pourra citer en fin 1914 et en août 1918 les bombardements de Paris.

Les chars firent leurs apparitions dans l’armée britannique en août 1916 lors de la bataille de la Somme, ils seront par la suite modifiés rendus plus maniable et plus léger par Renault.

La démultiplication de la puissance de feu transforme le champ de bataille en un véritable enfer.

Les armes nouvelles ont démultiplié les traumatismes physiques, la balle moderne infligea des blessures d’une brutalité sans précédent, les éclats projetés au moment de l’explosion des obus transformèrent les victimes en « polyblessés » aux corps atrocement meurtries.

Le symbole de ces blessures d’un genre nouveau infligés par un armement bcp plus destructeurs qu’auparavant furent les fameuses « gueules cassées » 2) Des conditions de vie effroyables au front fasse à une artillerie lourde Durant cette guerre, de nombreuses victimes sont décomptées.

Au front, une gde partie de l’activité des soldats consiste à creuser et à entretenir le réseau des tranchées.

Elles sont aménagées sur plusieurs lignes disposées en profondeur et reliées entre elles par des boyaux. Au-delà s’étend le « No man’s land » qui mène à la tranchée adverse.

Soumis à un stress permanent, les combattants endurent de terribles conditions d’existences : les tranchées sont envahies par la mort et les rats, les soldats sont mal équipés pour résister au froid.

Par ailleurs les pb d’approvisionnements, le bruit des obus et l’omniprésence de la mort font de cet endroit un enfer pour les soldats.

Les soldats sont profondément démoralisés par les conditions de vie et la tension des combats, ils espèrent qu’elle sera décisive et qu’elle sera la dernière.

Comme nous l’avons vu précédemment, la violence des affrontement est inimaginable.

Gabriel Chevallier dans son ouvrage La Peur écrit en 1930 décrit le champ de bataille ravagé par la violence de masse (bof) : « Des hommes tombent, s’ouvrent, se divisent, s’éparpillent en morceaux », « Notre vie à pile ou face » Les expériences des bombardements étaient très traumatisant selon les témoignages des combattants eux-mêmes.

L’apparition des gaz de combat représenta l’innovation la plus impressionnante de la guerre , les gaz furent utilisés pour la première fois par les Allemands durant la Bataille Ypres en mai 1915.

La grande nouveauté des gaz de combat est d’introduire une rupture anthropologique dans la manière de massacrer à la guerre.

Si les pertes occasionnées par les gaz n’ont représenté qu’un faible pourcentage des pertes totales de la 1 ère Guerre mondiale entre 3 et 4 % leur emploi laissa un souvenir de terreur. II-Une guerre idéologique qui entraîne la généralisation de l’ultra violence. »

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