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les Populares à la fin de la République Romaine

Publié le 30/11/2013

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Adrien Rimbert Les Populares dans la vie politique romaine (-133,-44) Tout au long des bornes chronoligiques définies (133-44), la politique à Rome se dévellope, par le biais des idées grecques et de la réthorique. Le peuple prend part au débat, veut intervenir dans la vie politique. La politique traditionnel garant de la république romaine fait face de nouvelle revendicitation venant du peuple etp porté par de grands orateur. Par cela Rome va sombrer dans une crise qui mettera fin à la République. Avant même la fin de la res publica, les imperators tels Marius ou César vont s'acapparer les idées des populares. les populares constituent un parti, mais pas au sens moderne du terme: il n'y a ni appareil, ni structure permanente, on parle plus de clan ou de faction où un homme politique regroupe autour de lui des citoyens. Les chefs issus de la nobilitas pour la plupart, sont seuls à être appelés populares, parcequ'ils pronent un programme favorable au peuple ( aux intérets du peuple). Les grandes idées des populares sont des réformes agraires, conjointement mélées avec des distributions de blé, moratoire de dettes. Mais plus généralement c'est une recherche de la souveraineté populaire qui est en jeu. Les différents entre italiens, citoyens pauvres et l'institution romaine engendrent des conflits qui mettent en exergue les difficultés sturcturels lié à l'ager publicus. . Tous ces éléments nous ammène à se poser cette intérrogation comment les populares grace à l'appuie du peule ont su renverser les instutions ancrés dans la république. Deux axes majeur se dégarerons de la dissertation. Premierement nous arboderons l'idée des aristocrates au service des revendications du peuple et dont les satisfactions devient un véritable enjeux politique. Dans un second temps nous verrons que les imperatores sont eux aussi attirés par l'appel démagogique. I: Des aristrocrates ambitieux au service des revendications du peuple dont les satisfactions devient un veritable enjeu politique a) Les acquis de populares: les réformes agraires au coeur du processus des populares. Durant la fin du IIe siecle deux frères issus de la nobiltas plébienne i...

« frère ain é est  élu tribun de la pl èbe en ­133, et tenta, d ès le d ébut de son mandat de faire   voter une loi  pour redistribuer des terres a des citoyens pauvres. Ce sont des terres de   500  jug ères  (  unit é de  mesure  romaine)  par  individu.  Il   mis  en  place  aussi  un  triumvirat   sp écial qui devait se charger de cette redistrubtion  équitable et par cela la cr éation d'une   commission agraire. Mais cela ne se passa pas exactement comme Tiberius l'aurait voulu   puisque un autre tribun de la pl èbe, M.Octavius, soudoy é par le s énat, opposa son veto  à   la loi propos ée. Mais Tiberius fort de son art oratoire, fit destitu é Octavius, pouvant ainsi   avoir les mains libres pour ex écuter son projet. Son projet fut voter mais le s énat ne lui   accorda qu'une somme d érisoire. Au­del à de la mise en place de se projet populaire, on   voit ici les diff érents entre les assembl és du peuple ( la pl èbe) et l'aristocratie s énatoriale.

  L'ann ée   ­132   arriva   et   Tiberius   Graccus   se   devait   de   se   faire   r éelire   pour   un   second   mandat.

  Indispensable   pour   mener   a   bien   l'application   de   sa   loi.

  Mais   le   s énat   cria   au   scandal,   en   effet   les   membres   de   l' émicycle   firent   fuirent   des   rumeurs   d'ambition   personnelle. Tib érius fit encore appel au peuple lors d'une manisfestation au Capitol. Par   peur de coup de force des partisans de TIb érius Gracchus; les s énateur d écid èrent de le   tuer ansi que 300 de ses partisans. Mais le s énat ne peut pas emp écher le mise en place   des   proc édures.

  Ainsi   la   commission   agraire.

  Son   travail   est   gigantesque,   l'abus   des   occupations  exessesives  de  l'ager  publicus, demande de  nouveaux calculs du  terrain  et   determin é  le  statut  des  terres.

 Malgr é  une  tr ès  faible  contribution  du  s énat  la  comission   tente   une   refonte   agraire.

  En   effet   il   y   a   une   certaine   rancoeur   des   Italiens   envers   les   citoyens.

  Pour   eux   ils   ont   grandement   particip é  aux   guerres   romaines   et   ne   sont   pas   r écompens és. On voit ici une remise en cause de l'ager publicus que le fr ère cadet des   gracques va tenter d'inscrire dans la continuit é. Caius Gracchus est  élue 10 ans apr ès son   fr ère tribun de la pl èbe. En ­123 av J.­C. puis en ­122 av J.­C. Il tente lui aussi par le biais   de lois agraires mais aussi frumentaire, et judiciaires d'inscrire les voies du peuple dans   les lois romaines.Il propose aussi, et cela fera son succ ès de cr éer une colonie de 6000   citoyens   outre­mer   à  Carthage,   choisi   parmis   les   citoyens   pauvres   d épourvu   de   terre   .

  Mais comme pour son fr ère il fut contrer par le s énat et le v éto de certain tribuns comme   Drusus.

  Son   grand   projet   était   sans   doute,   l'extension   de   la   citoyent é  aux   italiens,   qui   auraient permis de gr éffé les autres ville  à Rome, pour en augmenter son emprise. Mais   en ­121 av J.­C. il n'a plus aucune charges et doit se retirer sur le l'Aventin(une des sept   collines de Rome) symbole de la resistance plebienne face au patriciat. Caius et 3000 de   ses  partisans  sont  comme  sont  fr ères  10  ans  plus  tot  executer  sur  ordre  du  S énat.

 Les   fr ères   gracques   ont   donc   tent é  un   refondement   de   republique.

  Mais   le   s énat   defandant  . »

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