Devoir de Philosophie

L'Europe de 1830 à 1848 - Les révolutions de 1830 en Europe

Publié le 28/06/2012

Extrait du document

europe

Les Espérances de l'Italie (1844) par le comte Balbo. Gioberti proposait de mettre le pape à la tête de l'Italie. et Balbo le roi de Sardaigne. Mais tol!s deux étaient d'accord pour reconnaître que le succès du mouvemt:nt national dépendait de la maison de Savoie. L'avènement. en 1846. après la mort de Grégoire XVI. du pape Pie IX. qui accorda une amnistie et quelques réformes, puis les velléités libérales du grand-duc de Toscane, enfin les sentiments antiautrichiens du roi de Sardaigne Charles-Albert (1831-1849) éveillèrent chez les Italiens d'immenses espérances.

europe

« L'Europe de 1830 à 1848 1 291 jusqu'à leur départ.

Beaucoup plus graves furent les révoltes de Belgique et de Pologne.

La révolution belge Depuis 1815.

la Belgique se trouvant unie à la Hollande dans le royaume des Pays-Bas, dont le roi était Guillaume Ier, de la maison d'Orange.

Pendant ces quinze années, elle avait joui d'une grande prospérité économique.

Mais les libéraux repro­ chaient à Guillaume 1er de gouverner de façon autoritaire, le clergé se plaignait de voir les fonctionnaires hollandais protes­ tants surveiller l'enseignement catholique: tous les Belges enfin jugeaient insuffisante la place qui leur était laissée dans le gouvernement.

l'administration et l'armée.

En 1828 catholi­ ques et libéraux belges, longtemps ennemis, s'unirent pour une action commune.

Un mois après les Trois Glorieuses.

l'insurrection éclata à Bruxelles (25 août 1830).

Les notables belges ne demandaient que la séparation des deux pays sous un même roi.

Sur le refus de Guillaume l"r.

un Gouvernement provisoire se constitua, proclama l'indépendance de la Belgique (4 octobre) et convo­ qua un Congrès national.

Le roi des Pays-Bas se tourna vers les trois Puissances absolu­ tistes.

Peut-être auraient-elles répondu à son appel, mais le gouvernement français affirma catégoriquement le principe de non-intervention .

"Si les Prussiens entrent en Belgique, dé­ clara Louis-Philippe.

c'est la guerre, car nous ne Je permettrons pas.».

D'autre part.

la révolution de Pologne empêcha le tsar d'intervenir.

Indépendance et neutralité de la Belgique Une Conférence.

comprenant des délégués des cinq Puis­ sances.

se réunit à Londres.

reconnut l'indépendance de la Belg1que.

proclama sa neutralité.

fixa ses limites.

Le Congrès national chms1t pour rm un pnnce allemand, Léopold de Saxe­ Cobourg lliŒI-lX31 ).. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles