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Louis XV le Bien-Aimé (HISTOIRE)

Publié le 22/02/2012

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histoire
C'est à sa majorité qu'après la régence de Philippe d'Orléans, Louis XV est pleinement roi. A la mort du duc de Bourbon qui marie le roi à Marie Leszczynska, Louis confie le pouvoir au cardinal de Fleury. Ce n'est donc qu'en 1743, lorsque le cardinal s'éteint que Louis assume seul le pouvoir. La popularité, qui est alors la sienne, lui vaut d'être appelé par le peuple"le Bien-Aimé". Le roi est d'autant plus aimé de ses sujets qu'il a le souci de tenir compte des finances d'un État pauvre dans une France riche. Il sait gouverner avec modération et efficacité. En 1744, l'aumônier du roi exige de lui pour son absolution une confession publique. Le roi se soumet, mais le peuple est stupéfait d'entendre ce qu'il entend. Les aveux que fait le roi lui coûtent son surnom. Le Parlement, auquel le régent avait laissé retrouver son droit de remontrance, passe à l'opposition. Madame de Pompadour, maîtresse du roi, est soupçonnée du pire. Les"poissonnades"ne cessent de l'insulter, au mieux de la brocarder.
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« BOURBONS Louis XV LA VIE DU ROI février 1725 Louis XV le Bien~Aimé Un poète surnomma un iour le roi Louis XV le Bien~Aimé, et le surnom lui resta.

Mais ce bien~aimé le fut surtout de ses maîtresses.

Au crépuscule de son règne, le peuple n'a plus que haine et mépris pour ce roi qui l'a plongé dans la misère.

C omme son arrière-grand­ père, Louis XIV, auquel il succède , Louis XV va mener une vie sentimentale mouve­ mentée.

Fiancé à onze ans à l'héritière d'Espagne, Louis XV est finalement marié à quinze ans à Marie Leczinska , fille de Stanislas, roi déchu de Pologne.

Comme le fut avant elle l'épouse du roi Soleil , Marie-Thérèse d'Autriche, la nouvelle reine, de sept ans l'aînée du roi , est restée effa­ cée aussi bien à la cour que dans la vie privée du roi.

Pourtant, les premières an­ nées de mariage paraissent heureuses et sages .

Le roi est fidèle à la reine qui met au monde dix enfants (dont huit filles).

Au point que la reine réclame l'abstinence, au moins les jours des fêtes de certains saints ! Mais après sept ans de mariage , le roi se détache de cette femme ni belle, ni particulièrement brillante .

Il prend successive­ ment comme maîtresses qua­ tre sœurs, qui étaient des intrigantes plutôt vives et amusantes.

En 1732, la pre- mière est Louise de Nesle , suivie de sa sœur Félicité quelques années plus tard.

La troisième est Adélaïde de Nesle, décrite comme grasse et laide, mais intelligente et spirituelle .

Une quatrième sœur résiste au roi, mais la cinquième, Marie-Anne de Nesle de La Tournelle,. »

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