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mOYEN oRIENT

Publié le 13/04/2014

Extrait du document

Il s'agit d'un extrait d'une adaptation de Charles Enderlin du livre Le rêve brisé , Histoire du processus de paix au Proche-Orient publié à Paris par la maison d'édition le Fayard en 2002. Le document relate les négociations de Camp David faite en juillet 2000 dans le but de concerter une paix futur entre Israéliens et Palestiniens. En effet , Le Proche & Moyen Orient , appelé aussi «la poudrière» est l'une des régions du monde où les tensions et les conflits sont les plus nombreux . Au coeur des confrontations, souvent liés à des enjeux locaux d'appartenance ethnique ou politique différente ; la région se trouve au centre d'informations mondiales tout particulièrement à travers le conflit israélo-palestinien. L'origine de cette hostilité commence au vingtième siècle, causé essentiellement par l'antisémitisme du génocide provoqué par les nazis en Europe durant la seconde guerre mondial . Les juifs considéraient que la meilleure manière de lutter contre ce racisme était de se réfugier sur les terres de leurs ancêtres en «Palestine». Ils aspiraient déjà à la création d'un État au sein d'un mouvement sioniste. Sachant que la cohabitation entre les Juifs et les Arabes étaient difficile , l'ONU ( Organisation des Nations Unis ) instaura en 1947 un plan de partage afin de découper la Palestine en deux États : l'un Juifs , l'autre Arabe dans l'intention d'offrir à la ville sainte , Jérusalem , un statut internationale. Bien évidemment,ce fut un échec total. Une fois les britanniques retirés du mandat le 14 mai 1948 , les juifs proclamèrent à Tel-Aviv la naissance de l'État d'Israël. Dès le lendemain , la guerre éclata entre le nouvel État et les pays voisins: L'Égypte , Syrie , Liban , Jordanie ..La défaite des armées arabes , mal équipés permet à l'état d'Israël d'occuper et de contrôl...

« reconnaissance mutuelle D’Israël et de l'OLP font naître de grand espoir au niveau internationale mais ce fut un échec encore une fois , suite à l'attitude intransigeante des Juifs et Palestiniens avec la multiplication d'Attentat comme par exemple celle du Hamas à Jérusalem qui hostile au processus de paix accroît les attentat suicide ou l'assassinat de Yitzhak Rabin , le 4 novembre 1995 par un extrémiste juif.

Par ailleurs le parti politique sioniste « le Likoud » relance le processus de colonisation des territoires occupés et relancent à nouveau d'innombrables tensions et conflits. Cependant , en juillet 2000, une ultime tentative pour réactiver le processus eu lieu a C amp D avid menée par le président d'Amérique Bill Clinton.

Surnommé les négociations de Camp David II ( il s'agit plus précisément de poursuivre les négociation faite la toute première fois à Camp David en 1982).

Mais les désaccord semble encore une fois rester en suspend .

Clinton propos a tout de même le partage et le statue final de l'esplanade des Mosquée en deux parties: l'un sous la souveraineté Israélienne, l'autre sous souveraineté Palestinienne .

Mais dès les première négociations Yasser Arafat ( représentant des Palestiniens ) refusa d'entrée : « Je préfère la mort plutôt que d'accepter la souveraineté israélienne sur le Haram al Charif » .

Celà pouvait se traduire déjà par un futur nouvelle échec du processus de paix ..

De plus savoir que Israël pourrait avoir accès au Mur des Lamentions est inen visageable pour les Palestiniens .

Très symbolique pour les Musulmans de Palestine , le mur sert de soutènement à l'esplanade où sont construits le dômes du rocher et la la mosquée Al Asqua mais représente également un lieu saint pour les Juifs .

Malgré les propositions du président à partager le Lieu Saint en plusieurs quartiers , l'Autorité Palestinienne refuse.

Dès lors le président Clinton fait part de son mécontentement «Vous avez manqué une occasion en 1948 , vous en avez ratez une en 1978 , lors du premier sommet de Camp David et voilà que vous recommencez» ..Les suites des négociations n'auront aucun impact sur la décision des Autorités Palestinienne et ce fut encore un échec pour ce nouvelle accord .

, Toutefois le « printemps arabe » de 2011, qui réclame la fin des dictatures et l'instauration de la démocratie, pourrait modifier la géopolitique de la région et désamorcer les sources de conflits... Aujourd'hui, le conflit israélo-palestinien implique encore de nombreux enjeux dont la reconnaissance des deux peuples : leur territoire respectif ,le statut de la ville sainte de Jérusalem , la situation des millions de Palestiniens exilés en raison des conf lits ainsi que la question de sécurité des États .

En janvier 2014 , John Kerry , secrétaire d’État des États Unis de Barack Obama se donne pour objectif de relanc er le processus de paix israélo-palestinien et s e promet de faire de ce dossier sa pr iorité .

En mai 2013 , lors du Forum économique mondial réuni ssant le Quartet pour le Proche Orient (États-Unis, Nations Unies, Union Européenne et Russie).

J ohn Kerry a joué la carte économique de son plan de bataille et a propos é l a mise en place d'un véritable «Plan Marshall» de 4 milliards de dollars pour la Palestine délégué à l’ancien ministre britannique Tony Blair.

Cela semble impossible mais s û r de lui, le secrétaire assure en seulement trois ans la possibilité d'une hausse de 50% du PIB ( Produit Intérieur Brut ) , une réduction du chômage de 21 % à 8 % et une progression de 40 % du salaire moyen.

Kerry insiste tout de même sur le fait d'obtenir en retour des avancées politique s dans le cadre des négociations israélo-palestinienne .Après autant d’années d’échec s des négociations , un accord de paix serai t-il plus envisageable aujourd’hui que par le passé? Q uelques mois après la relance de ces négociations, la Palestine a fait des propositions mais Israël n’a pas montré de signes de bonne volonté.

En effet, Les Israéliens ont très peu apprécié les déclarations de John Kerry lors de la conférence sur la sécurité tenu e à Munich .

Ce dernier avait laissé entendre que les États-Unis ne seraient pas hostiles à un boycott d’Israël en cas d’échec des négociations en cours.

Youval Steinitz, ministre chargé des Renseignements a notamment qualifié les propos de John Kerry « d’offensants, injustes et intolérables ».

De plus , Nentanyu considérait comme le porte parole ajoute de lui même « Il n'est pas possible de forcer l’État d'Israël à négocier avec un revolver sur la tempe alors que nous discutons de nos intérêts de sécurité nationale les plus cruciaux » L es négociations proposé par le secrétaire d’État d ' Amérique semble nt tombé à l'eau , le désaccord des Israéliens prédir ait-il une paix futur e impossible? Ce conflit d’intérêt ne serait il pas. »

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