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Pacte andin

Publié le 18/02/2012

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La politique du Pacte andin a survécu aux chutes des gouvernements progressistes chilien et bolivien. Mais l'infiltration constante des Américains et des Brésiliens (les uns au Chili, les autres surtout en Bolivie) peut porter des coups sévères aux objectifs initiaux qu'il s'était fixés. Les cinq ont refusé l'entrée de l'Argentine, en pleine crise économique, et celle-ci y a vu aussitôt le résultat de l'influence prépondérante du Brésil....

« commun du capital stranger a ete adopt& II prevoit une reduction progressive, a 49 p.

100 maximum, de la part Otrangere dans les entreprises, dans un delai de dix a quinze ans.

Pour les banques, la part devait etre reduite a 20 p.

100 en trois ans.

Benefices et dividendes exportes se trouvent limites a 14 p.

100 (moyenne latino-ameri- caine : 20 p.

100).

Enfin, certains secteurs sont totalement interdits aux capitaux strangers : services publics, assu- rances, banques commerciales, transports interieurs, radio, TV, presse et publicite.

5 En 1970, une large Menthe de vues se manifestait entre les regimes progressistes militaires du Perou et de la Bolivie, celui plus modere de la Colombie et le nouveau regime du Chili, ou Salvador Allende avait pris le pouvoir.

Le retour du peronismo en Argentine laissait esperer une amplification du Pacte.

Le dynamisme de ('organisation contrastait alors avec les echecs des autres tentatives d'integration latino-americaines, et l'oubli ou avait sombre le projet de Marche commun patronne en 1967 par les Etats-Unis.

En decembre 1970, a Lima (00 est installs son siege), le Pacte andin prenait diverses mesures pour eviter que I'elargissement du marche ne soit le signal d'une penetration etrangere -accrue.

6 La politique du Pacte andin a survecu aux chutes des gouvernements progressistes chilien et bolivien.

Mais filtration constante des Americeins et des Bresillene (les uns au Chili, les autres surtout en Bolivie) peut porter des coups severes aux objectifs initiaux qu'il s'etait fixes.

Les cinq ont refuse ('entree de ('Argentine, on pleine crise economique, et celle-ci y a vu aussitat le resultat de ('influence preponderante du Bresil.

commun du capital étranger » a été adopté.

Il prévoit \ une réduction progressive, à 49 p.

100 maximum, de la part étrangère dans les entreprises, dans un délai de dix à quinze ans.

Pour les banques, la part devait être réduite à 20 p.

100 en trois ans.

Bénéfices et dividendes exportés se trouvent limités à 14 p.

100 (moyenne latino-améri- caine : 20 p.

100).

Enfin, certains secteurs sont totalement interdits aux capitaux étrangers : services publics, assu- rances, banques commerciales, transports intérieurs, radio, TV, presse et publicité.

5 En 1970, une large identité de vues se manifestait entre les régimes progressistes militaires du Pérou et de la Bolivie, celui plus modéré de la Colombie et le nouveau régime du Chili, où Salvador Allende avait pris le pouvoir.

Le retour du péronisme en Argentine laissait espérer une amplification du Pacte.

Le dynamisme de l'organisation contrastait alors avec les échecs des autres tentatives d'intégration latino-américaines, et l'oubli où avait sombré le projet de Marché commun patronné en 1967 par les États-Unis.

En décembre 1970, à Lima (où est installé son siège), le Pacte andin prenait diverses mesures pour éviter que l'élargissement du marché ne soit le signal d'une pénétration étrangère - accrue.

6 La politique du Pacte andin a survécu aux chutes des gouvernements progressistes chilien et bolivien.

Mais l'in- filtration constante des Américains et des Brésiliens (les uns au Chili, les autres surtout en Bolivie) peut porter des coups sévères aux objectifs initiaux qu'il s'était fixés\ .

Les cinq ont refusé l'entrée de l'Argentine, en pleine crise économique, et celle-ci y a vu aussitôt le résultat de l'influence prépondérante du Brésil.. »

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