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Pauvreté criante au bord du Nil

Publié le 16/03/2012

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Si l'extension de l'agriculture réussissait, on pourrait envisager d'y installer ultérieurement quelques usines. La Banque mondiale pourrait jouer un rôle considérable dans l'exécution de ces plans. Une telle contribution au rétablissement de l'économie d'un pays ne représente qu'une solution partielle à la question délicate de l'aide économique aux pays en difficulté, qui, au cours des siècles, ont pris un certain retard sur les autres. Une grande proportion des guerres, presque 90 %, ont été provoquées par des différends commerciaux

« nomique, on devrait leur donner la possibilité de fabri­ quer des marchandises qu'ils pourraient revendre avec bénéfices aux pays industrialisés.

Depuis la fin de la Se­ conde Guerre mondiale, de nombreux organismes inter­ nationaux ont été créés pour venir en aide aux pays du Tiers Monde, tant financièrement, que sur le plan de l'aide technique.

La Banque pour le Redressement et le Trois régimes totalitaires qui arrivèrent au pouvoir à cause du chaos économique et social qui régnait.

A gauche : Une parade du 1er mai sur la place Rouge à Mos­ cou.

Le communisme appor­ tait indubitablement aux Rus­ ses comme aux Chinois (en bas, à gauch~ Mao Tse Toung entouré par une foule joyeuse) une amélioration du sort des paysans.

Mais ils en payaient le prix : le pouvoir devait rester entre les mains d'un seul parti.

Ci-dessous: Hitler et quelques dirigeants nazis au cours d'un congrès du parti.

Comme le peuple allemand était déçu par la démocratie, il crut assez facilement qu'Hitler pouvait apporter le salut .

Développement, plus connue sous le nom de 'Banque mondiale', est l'un de ces organismes.

Huit mois après les émeutes dont il a été question au début de ce chapitre, on annonçait que la Banque mondiale avait établi d'impor­ tants programmes destinés à remettre d'aplomb l'écono­ mie de l'Egypte.

L'augmentation des prix des produits alimentaires s'est poursuivie dans le monde entier; on peut dire que la contribution annuelle des Etats-Unis en­ vers l'Egypte avec 250 millions de doHars de produits ali­ mentaires est relativement faible, comparée avec l'énor­ mité des besoins.

Pour éviter la nécessité d'importer des produits essentiels coftteux, des experts occidentaux ont proposé d'établir un système d'irrigation au sud de l'Egypte.

On pourrait alors y cultiver le thé, le café, le blé et la canne à sucre.

Si l'extension de l'agriculture réussissait, on pourrait en­ visager d'y installer ultérieurement quelques usines.

La Banque mondiale pourrait jouer un rôle considérable dans l'exécution de ces plans.

Une telle contribution au rétablissement de l'économie d'un pays ne représente qu'une solution partielle à la question délicate de l'aide économique aux pays en difficulté, qui, au cours des siè­ cles, ont pris un certain retard sur les autres.

Une grande proportion des guerres, presque 90 OJo, ont été provo­ quées par des différends commerciaux, ou par le désir d'agrandir la zone d'expansion économique, de protéger les voies commerciales ou de gêner le commerce d'un au­ tre pays.

De telles difficultés existeront toujours, mais, pour éviter de nouvelles catastrophes économiques dans l'avenir, il serait nécessaire de transformer, dans le mon­ de entier, nos intérêts immédiats en intérêts à long terme.. »

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