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Premières fouilles à Coptos

Publié le 30/11/2014

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certain nombre d'inscriptions en grec et en égyptien. Plu­sieurs stèles exhumées sont expédiées au musée du Caire. En 1883, Maspero fait déga­ger la porte sud de l'enceinte datant de l'empereur Cali­gula. En revanche, il ne dé­couvre pas l'emplacement des temples de Min et d'Isis, les dieux tutélaires de la ville. Il faut avouer que la méthode n'est pas assortie d'une vo­lonté de fouille systémati­que, et les rares objets mis au jour ne donnent pas un aper­çu global du site.

L'antique Coptos était, par sa situation straté­gique et sa puissance économique, une ville importante de l'Égypte ancienne. A l'époque moderne, elle a long­temps pâti de sa situa­tion au nord de Thèbes, les voyageurs ne s'y attardant guère. C'est le jésuite Claude Sicard qui, en 1718, s'intéresse le premier aux vestiges de l'actuelle Qift.

« certain nombre d'inscriptions en grec et en égyptien.

Plu­ sieurs stèles exhumées sont expédiées au musée du Caire.

En 1883, Maspero fait déga­ ger la porte sud de l'enceinte datant de l'empereur Cali­ gula .

En revanche, il ne dé­ couvre pas l'emplacement des temples de Min et d'Isis, les dieux tutélaires de la ville.

Il faut avouer que la méthode n'est pas assortie d'une vo­ lonté de fouille systémati­ que, et les rares objets mis au jour ne donnent pas un aper­ çu global du site.

C'est un autre grand égypto­ logue, le Britannique Flinders Petrie, qui s'y attelle dix ans plus tard.

Petrie, qui a déjà derrière lui plusieurs publica­ tions de fouilles, dont celles d' Amarna, de Meïdoum et de Naucratis, décide d'explo­ rer intensivement l'antique Captas.

En creusant dans cet amas de pierres, il espère dé­ couvrir d'autres construc­ tions et, en remontant le temps, reconstituer le glo­ rieux passé de la ville.

Il passe. »

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