PRI

« donne valontiers Ia balance pour symboie.

Ses chefs sont generalement issus de la classe moyenne (Lopez Mateos, fils de dentiste ; Diaz Ordaz, fils de comptable ; Luis Echeveria, fils de caissier).

Son ideologist veut etre celle de la a revolution en mouvement at en ordre d'o0 ie nom du part! (revolutionnaire institutionnel).

Elle se carac- Wise en fait par le pragmatism.

et le sons du compromis entre domaine public et propriete privee.

5 Les realisations du PRI en matieres economique et soclale sont loin d'être negligeables.

II a men6 s bien Ia distribution de quelque cent millions &hectares (sans cependant resoudre la question agraire), la nationalisation de l'electricite, des industries petrolieres et metailurglques, en m6me temps que de grands travaux d'infrastruchire (routes, construction, etc.).

Ma's le niveau de vie de Ia population mexicaine reste bas, et surtout inegal : 2 p.

100 se partagent 40 p.

100 du revenu.

6 Le president Echeveria, de 1970 a 1976, a entrepris de relancer et de rajeunir l'action du PRI, dont l'appellation de a revolutionnaire p avait ate compromise par les fusil- lades d'octobre 1968 a Mexico.

II a lutte contre Ia a bureau- cratisation » du part, taxe les gros revenus et tente de favoriser le secteur agraire.

II s'est fait ainsi hair par Ia bourgeoisie possedante.

Son successeur, Jose Lopez Por- tillo (candidat elu en juillet 1976), poursuivra sa politique et rceuvre de renovation d'un parti qui reste l'un des plus stables et des plus puissants de tout le continent, malgre les quelques groupes guerilleros apparus recemment pres d'Acapulco.

L'avenir dire si le PRI saura resoudre les problemes chroniques dont souffre le pays : misere pay- sanne, analphabetisme, demographic galopante, depen- dance vis-à-vis des Etats-Unis.

donne volontiers la balance pour symbole.

Ses chefs sont généralement issus de la classe moyenne (Lopez Mateos, fils de dentiste ; Diaz Ordaz, fils de comptable ; Luis Echeveria, fils de caissier).

Son idéologie veut être celle de la « révolution en mouvement et en ordre », d'où le nom du parti (révolutionnaire Institutionnel).

Elle se carac- térise en fait par le pragmatisme et le sens du compromis entre domaine public et propriété privée.

5 Les réalisations du PRI en matières économique et sociale sont loin d'être négligeables.

Il a mené à bien la distribution de quelque cent millions d'hectares (sans cependant résoudre la question agraire), la nationalisation de l'électricité, des industries pétrolières et métallurg\ iques, en même temps que de grands travaux d'Infrastructure (routes, construction, etc.).

Mais le niveau de vie de la population mexicaine reste bas, et surtout inégal : 2 p.

100 se partagent 40 p.

100 du revenu.

6 Le président Echeveria, de 1970 à 1976, a entrepris de relancer et de rajeunir l'action du PRI, dont l'appellation de « révolutionnaire » avait été compromise par les fusil\ - lades d'octobre 1968 à Mexico.

Il a lutté contre la « bureau- cratisation » du parti, taxé les gros revenus et tenté de favoriser le secteur agraire.

Il s'est fait ainsi haïr par la bourgeoisie possédante.

Son successeur, José Lopez Por- tillo (candidat élu en juillet 1976), poursuivra sa politique et l'oeuvre de rénovation d'un parti qui reste l'un des plus stables et des plus puissants de tout le continent, malgré les quelques groupes guérilleros apparus récemment près d'Acapulco.

L'avenir dira si le PRI saura résoudre les problèmes chroniques dont souffre le pays : misère pay- sanne, analphabétisme, démographie galopante, dépen- dance vis-à-vis des États-Unis.. »