Christiaan Huygens

« les caractéristiques de son système annulaire et le relief de la surface de Mars.

A la même époque, il s'était intéressé à d'autres sujets.

C'est ainsi qu'on eut, pour la première fois, une idée précise du calcul de la circonférence et de la surface d'un cercle, en fonction du rayon.

Il perfectionna la pompe à air et le baromètre.

Il construisit égale- ÉirteliZet.' 'nen" 1:4 e9 I 664 ?Leo , e / L I • 2-5.- ter.rie- e l0 f n alex.ex e sya etatiè eefeur•-scr• ue./ ilee; Le y- r f ) ~on- etesseii-- ealf; q , narval f•are m n - rzae • fdei ' e Lek.elf , ' rd" ize »let , j f ter • Ince eq ce-CP ,".r.‘ " Ci-dessus: La maison où Huygens habita durant son jeune âge.

A droite: Une pendule hollandai- se, conçue spécialement pour permettre de concrétiser les perfectionnements apportés par Huygens au balancier.

Ci-dessous: Saturne et ses anneaux.

Physique ment un micromètre de précision pour mesurer les angles.

Sa renommée était devenue internationa- le.

En 1655, il était déjà docteur honoris causa à Angers et, en 1663, il fut élu membre de la Royal Society.

Huygens séjourna en France de 1665 à 1681 et fut le collaborateur actif de la récente Académie des Sciences (fondée par Colbert en 1666).

Il y travailla à la réaction des corps élastiques et à sa théorie sur la nature de la lumière.

Son Traité de la lumière parut en 1690: il y attaquait Newton - que, pourtant, il estimait beaucoup - pour sa conception de la lumière, constituée par un cou- rant de particules lumineuses.

Il démontra que la lumière pouvait être considérée comme un phéno- mène ondulatoire, vibrant dans la direction du mouvement.

Malgré la démonstration ultérieure que la lumière vibre perpendiculairement à la direction de son mouvement, Huygens établit le principe du mouvement ondulatoire de la lumière.

Son ouvrage contenait aussi la base mathémati- que de sa théorie, qui est toujours valable actuel- lement, de même que les explications de nom- breux autres phénomènes et caractéristiques de la lumière.

Parmi ses nombreux ouvrages, on peut citer, ses traités sur le calcul des probabilités, le moteur à poudre et certains phénomènes météoro- logiques.

Malheureusement, au cours de ses cinq dernières années, l'état de santé de Huygens empi- ra, et il mourut le 8 juillet 1695 danssa ville natale.

43 Physique 1 1 les caracteristiques de son systeme annulaire et le relief de la surface de Mars.

A la meme epoque, it s'etait interesse a d'autres sujets.

C'est ainsi qu'on eut, pour la premiere fois, une idee precise du calcul de Ia circonference et de la surface d'un cercle, en fonction du rayon.

Il perfectionna la pompe a air et le barometre.

II construisit &gale- Ci-dessus: La maison oa Huygens habita durant son jeune age.

A droite: Une pendule hollandai- se, concue specialement pour permettre de concretiser les perfectionnements apportes par Huygens au balancier. Ci-dessous: Saturne et ses anneaux. F.

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Sa renommee etait devenue internationa- le.

En 1655, il etait déjà docteur honoris causa a Angers et, en 1663, il fut Elu membre de la Royal Society.

Huygens sejourna en France de 1665 a 1681 et fut le collaborateur actif de la recente Academie des Sciences (fond& par Colbert en 1666). 11 y travailla a la reaction des corps elastiques et a sa theorie sur la nature de la lumiere.

Son Traite de la lumiere parut en 1690: il y attaquait Newton - que, pourtant, it estimait beaucoup - pour sa conception de la lumiere, constituee par un cou- rant de particules lumineuses.

Il demontra que la lumiere pouvait etre consideree comme un pheno- mene ondulatoire, vibrant dans la direction du mouvement.

Malgre la demonstration ulterieure que la lumiere vibre perpendiculairement a la direction de son mouvement, Huygens etablit le principe du mouvement ondulatoire de Ia lumiere. Son ouvrage contenait aussi la base mathemati- que de sa theorie, qui est toujours valable actuel- lement, de meme que les explications de nom- breux autres phenomenes et caracteristiques de la lumiere.

Parmi ses nombreux ouvrages, on peut citer, ses traites sur le calcul des probabilites, le moteur a poudre et certains phenomenes meteoro- logiques.

Malheureusement, au cours de ses cinq dernieres annees, l'etat de sante de Huygens empi- ra, et il mourut le 8 juillet 1695 dans sa ville natale. 43. »