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Richard Francis Burton

Publié le 20/03/2012

Extrait du document

Deux ans plus tard, il entrait dans la ville éthiopienne de Harar, une autre ville sainte défendue aux Occidentaux. Son compagnon, lors de ce voyage difficile, était un lieutenant de l'armée, John Hanning Speke, qu'il invita également à participer à la recherche des sources du Nil. Speke accepta immédiatement cette invitation. En 1856, les deux hommes faisaient route vers l'Afrique orientale pour y organiser l'expédition. Peu de temps après leur arrivée, les deux hommes eurent une grave crise de paludisme, un véritable ...

« connu comme un saint homme par les musulmans, il visitait en 1853 La Mecque, ville interdite aux non-musulmans.

Deux ans plus tard, il entrait dans la ville éthio­ pienne de Harar, une autre ville sainte défendue aux Occidentaux.

Son compagnon, lors de ce voyage difficile, était un lieutenant de l 'armée, John Hanning Speke, qu'il invita également à participer à la recherche des sources du Nil.

Speke accepta immédiatement cette invitation.

En 1856, les deux hommes faisaient route vers l'Afrique orientale pour y organiser l'expédition.

Peu de temps après leur arrivée, les deux hommes eurent une grave crise de paludisme, un véritable A gauch e: Le mont K en ya, vu à partir d'une altitude de 5 000 mè­ tres.

Ci-dessous: John Hannin g Speke é tait officier dans l'âme, à l 'in­ ver se de Burt on, avec qui il voya­ gea en Afriqu e.

Il relatait tout dan s les moindr es détails.

De cet­ t e mani èr e, il put réu nir de très nombr euses informations sur l'Afriqu e.

A gauche: Chaque matin, la co­ lonn e se disposait en une longue file, dans laquell e chacun occu­ pait une place bien déterminée .

Celui qui la quittait risquait une amend e.

fléau pour tous les explorateurs de l'Afrique.

Le 16 juin 1857, ils quittaient Zanzibar et s'enfon ­ çaient dans l'arrière-pays.

Avec eux, ils emme­ naient environ cent trente porteurs, trente ânes et de nombreuses marchandises.

Ils pensaient que l'expédition durerait deux ans.

Le voyage prit la direction de l'ouest, le long de la route des esclaves, vers ce que les Arabes appe­ laient la "mer d'Ujiji" .

Le groupe parcourait en­ viron dix-sept kilomètres par jour.

Naturellement, il était confronté aux difficultés que rencontraient habituellement les expéditions de ce type.

Rivières sorties de leur lit, ânes épuisés, porteurs enfuis et manque de vivres furent également leur lot.

Au mois d'août, ils étaient presque sourds, par suite d'une inflammation des oreilles.

Trop faibles pour marcher., ils pouvaient à peine se tenir sur leurs ânes.

C'est seulement en novembre qu'ils atteignaient Kazé (aujourd'hui Tabora), à quelque 825 kilo­ mètres à l'intérieur des terres .

C'était une oasis de civilisation arabe et un maillon important du com­ merce des esclaves.

Une semaine pius tard, les deux explorateurs quit- 209. »

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