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Horreurs franquistes espagnol

Publié le 05/03/2023

Extrait du document

« Répression / Guerre civile: La guerre civile (de 1936 à 1939) est marquée par des massacres et des exécutions dans les deux camps.

En zone nationaliste, les sympathisants et les militants de gauche sont traqués et exécutés.

Franco dès le début de la guerre obtient le soutient d’Hitler et de Mussolini, et une des horreurs plus connu de la guerre civil est le bombardement de la ville de Guernica en avril 1937 qui fut près de 2 000 victimes.

Dans les zones contrôlées par les républicains, la répression exercée par les milices syndicales frappe les politiciens de droite, les religieux, voire les familles aisées.

Des dizaines de milliers de personnes sont ainsi exécutées dans les deux camps. Sous l’Espagne Franquiste, il y avait des répressions politiques violentes.

En effet, c’est une caractéristique d’une dictature.

Les noms de Terreur blanche ou de répression franquiste désignent l'ensemble des répressions politiques exercées par le camp nationaliste puis par la dictature franquiste durant et après la guerre d'Espagne (1936 à 1939). Une Fois Franco ayant les pleins pouvoirs, pour asseoir sa domination, une dure répression contre « los rojos » (nom donné aux républicains) va être menée par le franquisme.

La répression des vaincus est impitoyable : il suffit d’être dénoncé comme « rojo », pour être emprisonné.

Dans les années 40, le régime est très conservateur et très proche de l’Église ; l’ordre moral est surveillé de très près par cette dernière, qui veut contrôler la vie quotidienne des citoyens, autant sur le comportement que sur les vêtements, les mœurs, etc., utilisant la répression pour se faire entendre. De plus, tout acte ou toute parole hostile au régime est considéré comme une rébellion militaire.

Ces opposants politiques, était emmené dans un centre de torture et de détention comme l’était le siège actuel du gouvernement régional de Madrid.

Et pouvait également se retrouver dans des camps de concentration, ils ont existé en Espagne de 1936 à 1947, d'abord dans le contexte de la guerre d'Espagne, puis comme instrument de répression de la dictature franquiste.

Environ un demi-million de prisonniers seraient passés parmi ces camps de concentration entre 1936 et 1942.

Jusqu'en 1944, la population des camps se chiffre en centaines de milliers.

Pendant la guerre, et durant plusieurs années après le conflit, environ 192 000 détenus auraient été fusillés.

La période de 1939-1940 aurait connu des pics de plusieurs centaines d'exécutions par jour.

Ces prisonniers participèrent à la construction de nombreux ouvrages : chemins de fer… En plus des camps de concentration espagnols, bon nombre de Républicains exilés en France furent envoyés dans les camps nazis.

Environ 10 000 d'entre eux furent déportés (sans que le ministre des Relations extérieures de l'époque, Ramón Serrano Súñer, fasse quoi que ce soit pour les sauver.).

Après la guerre, le petit nombre de survivants ne fut pas autorisé à rentrer en Espagne. Pour continuer, la terrible histoire des « bebés robados » débute en 1939, lorsque le psychologue militaire Antonio Vallejo Nágera, qui rentre d’Allemagne nazie a développé une théorie comme quoi les femmes républicaines seraient porteuses d’un gène marxiste.

Ses travaux rencontrent un fort écho chez Franco qui décrète qu’il faut “éradiquer” ce gène en éloignant les enfants de leur famille d’origine.

Entre 1940 et 1941, trois lois sont promulguées pour faciliter le changement d’identité des mineurs, leur mise sous tutelle de l’Etat et leur adoption par des familles phalangistes.

Des centres d’accueil pour les enfants sont créés où ils y reçoivent une stricte éducation religieuse.

Ils sont fermement pris en main par la dictature et élevés dans des internats et des orphelinats selon le modèle de « l’homme fort » ultra-catholique prôné par Franco.

Ricard Vinyes, historien à l’université de Barcelone, parle de 21 000 enfants retirés à des mères républicaines, pour les seules années 1942 et 1943.

Il est cependant difficile de donner des chiffres précis à cause de documents falsifiés. De plus, la vie culturelle n’est pas épargnée, puisqu'il y a une forte censure qui touche tous types d’arts.

Une grande partie des artistes ont été obligés de s’exiler dans d’autres pays, notamment en France et en Amérique Latine.

Nombreux se sont retrouvés dans des camps de concentration. Represión / Guerra Civil: La Guerra Civil (1936-1939) está marcada por masacres y ejecuciones en ambos bandos.

En la zona nacionalista, se persiguió y ejecutó a simpatizantes y activistas de izquierdas.

Franco obtuvo desde el principio de la guerra el.... »

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