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UN INDIO

Publié le 16/09/2014

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UN INDIO

Era un indio sesentôn, de regular estatura, delgado, huesoso y aigu cargado de espaldas, lu que le hada aparecer cartijo y menudo. Su enmelenada cabellera mostrabase desiucida con los anus y las canas le brillaban sOlo entre los mechones que le cubrian las orejas. Su rostro cobrizo y lleno de arrugas acusaba una gravedad venerable, rasgo nada coin in en la raza. Era un rostro que imponia respeto, porque delataha corazén puro y serena conciencia.

De todo hacia Choquehuanka en la regiôn : era consejero, astr6nomo, mecanico y curandero. Parecia poseer los secretos del cielo y de la tierra. Era biblico v sentencioso.

Cornu curandero, hacia maravillas el viejo Choquehuanka. De mozo, y cuando pastor, habia aprendido a conocer en las bestias los males de los hombres, pereatandose que era corta la diferencia entre unas y otros. Diestro taliri s (masajista}, sabla en el primer guipe de vista, descubrir cl miembro roto o dislocado. La anatomia humana no guardaba secretos para él. En el color de los ojos, en el pliegue de los labios, conocia los males, y sabla si provenian de la carne o de 4( alla adentro

 

Cornu astrôlogo ya, se sabla : nadie podia aventajarle en su penetracién de los secretos del cielo. Rasta la forma y color de las nubes tenian para él su significaciOn inviolada. El sabla cuando traian agua y cuândo nieve ; cuando raya y cuando trueno.

« EJERCICIO GRAMATICAL Revenons à notre abri avant qu'il ne cotnmence à faire nuit.

Je ne veux pas que le récit de tes 1nauvais souvenirs attriste ces enfants.

Je ne séjourne pas plus longtemps dans ces lieux si inhospitaliers.

Il faut donc que je t'offre tout ce que je possède ! Qu'ils reconnaissent les bienfaits qu'ils ont reçu, c'est bien! J)es propos si austères produisirent en lui un profond bouleverse1nent.

Les maladies et la famine réduisirent la ville à capituler sans conditions.

Ne traduisez pas littéralement une langue étrangère, mais péné­ trez d'abord son esprit.

Le champ qui ne produira pas une bonne récolte recevra des engraù;.

TEMA Dans les églises de Huaras.

- 11 y a aussi, à Huaras, de vieilles églises aux murs bleus craquelés, aux portails de bois sculpté, aux escaliers de pierre rousse et poreuse.

Lorsqu'on y entre, on découvre leurs plafonds de roseaux: tressés, leurs autels polychromes, et les statues de leurs saints aux: yeux: de verre, aux cheveux naturels, vêtues de lainages et de soies éclatants.

Partout, dans l'ombre, ou à la lueur des cierges posés sur le sol, il y a des Indiens en prière, les femmes drapées dans leurs châles explosifs, les hommes dans leurs ponchos feuille morte.

Les uns et les autres sont découverts, car la coutume veut que les femmes retirent leurs panamas en entrant dans le sanctuaire.

De jeunes mères allaitent leur nourrisson au pied de l'autel où un prêtre dit la 1nesse, l)ehors, juste sur le seuil, un orchestre de cuivres et de tambours accompagne l'office au son de marches d'orphéon.

Des grappes d'indiens im1nobiles, absents, sont affalés sur les marches.

Et, tout de suite, dans la rue, ce sont les marchands ambulants, les vendeurs de chicha, qu'ils transportent sur le ventre dans des tonneaux de bois peint, la cacophonie des haut-parleurs broyant de vieilles et lancinantes 1nélopécs des Andes, et des n1usiques tropicales variées.

:\lichel l)ROI'f Visas pour l' .4 mérique du Sud 219 -. »

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