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Acte 1 Le barbier de Séville

Publié le 16/09/2012

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Commentaire: le Barbier de Séville Acte I Résumé: A Séville, à l'aube, Figaro reconnaît son ancien maître, le Comte Almaviva, déguisé en étudiant. Amoureux de Rosine, pupille du vieux docteur Bartholo, il veut s'en faire aimer sous l'identité de Lindor. Mais Batholo, jaloux, la surveille. Figaro peut aider le Comte mais Bartholo s'apprête à épouser Rosine. Figaro propose au Comte de le déguiser en soldat pour le faire héberger chez Bartholo. Scènes I et II : Séville à l'aube. Un gentilhomme madrilène fait les cent pas sous la jalousie de Rosine, la jeune femme que, déguisé en étudiant, il a entrepris de séduire. Mais voici un importun...que le gentilhomme, caché, écoute composer gaiement , sur sa guitare, des couplets et se féliciter de ses trouvailles. Il reconnaît dans ce joyeux improvisateur « ce coquin de Figaro «, son ancien valet, et l'aborde. Avec volubilité, Figaro expose à son maître, le Comte Almaviva (qui se cache sous le nom de Lindor), les pittoresques étapes de son existence : garçon apothicaire, littérateur malchanceux...Après quelques considérations ironiques sur la prétendue supériorité des grands, il critique violemment « la république des Lettres «. Voyages, prison, louanges, blâmes, « l'auteur tombé « a tout supporté philosophiquement. Mais silence... Deux scènes d'exposition Ce début donne d'abord des informations sur le passé de Figaro et du Comte. Ces deux scènes exposent aussi la situation présente : le décor, les costumes et les didascalies indiquent que l'action se déroule « à Séville «, « à l'aube «. Les protagonistes nous sont présentés. Enfin l'enjeu est exposé : il s'agit pour le Comte « d'être aimé pour soi-même, ce qui explique son déguisement «. Cette exposition présente une situation en apparence dramatique. Mais elle comporte des éléments de détente, tels que le costume bariolé et la chanson fort gaie de Figaro. Des monologues originaux : Ces scènes comportent deux monologues mais de nature différente : celui du Comte (scène 1) retrace les réflexions d'un libertin sur ses conquêtes amoureuses ; le monologue de Figaro (scène 2) marque, lui, une pause dans l'action et constitue un faux monologue puisque Figaro y joue deux personnages : il est compositeur d'une chanson et en même temps critique de sa production. Figaro un nouveau type de valet : Figaro a les traits du valet de comédie traditionnel : son physique (« gros et gras «), sa déférence à l'égard du Comte, enfin son goût pour le « vin «, la « paresse « et l'amour. Mais la nouveauté consiste à le projeter au-devant de la scène et à faire de lui dès ce début un homme-orchestre et un philosophe : il est à la fois musicien, homme de Lettres, vétérinaire, barbier, voyageur au passé mouvementé. Beau parleur, il a le sens de la formule. Mais surtout, il renverse les rôles au théâtre traditionnel : alors qu'il devrait être le confident du Comte, c'est lui qui parle le plus et fait ainsi du Comte son faire-valoir. Enfin, il a avec son ancien maître une connivence toute nouvelle dans le théâtre. Mais Figaro ne se révolte pas et ne va pas jusqu'à remettre en cause l'ordre moral. Scènes III et IV : Voici qu'à sa fenêtre paraît Rosine, un papier à la main : des couplets, dit-elle, de La Précaution inutile, drame alors à la mode. Bartholo, un vieillard qui ne cesse de maugréer, la surveille. Mais, la chanson tombe dans la rue. Un signe de Rosine au Comte - pendant que le vieil homme descend -, et voilà le papier lestement ramassé ! Bartholo devine la ruse de Rosine et ferme à clé la jalousie. Le Comte lit fébrilement le papier ramassé : « c'est un billet « où Rosine déplore son infortune et demande à son mystérieux soupirant de se faire connaître. Figaro comprend alors les desseins d'Almaviva et lui offre ses services. Le Comte lui raconte la naissance de son amour pour cette beauté rencontré au Prado (promenade de Madrid) et enfin retrouvée après six mois de recherche. Il la croit mariée au vieux Bartholo, mais Figaro le détrompe : elle n'est que sa pupille. Le Comte jure de l'arracher à ce vieillard toujours aux aguets, mais aisé à duper, selon Figaro. Sus au vieux tuteur ! Figaro, locataire (peu scrupuleux), barbier et apothicaire de Bartholo, a ses entrées dans la demeure. Première phase du combat : Figaro mettra à mal, par quelque médication, tout la maisonnette ; deuxième phase : le Comte, déguisé en cavalier, se présentera chez Bartholo avec un billet de logement et jouera le soudard ivre afin d'endormir tout soupçon. Le Comte répète son rôle sous l'?il critique du barbier. Mais voici que sort Bartholo...

« malchanceux...Après quelques considérations ironiques sur la prétendue supériorité des grands, il critique violemment « la république des Lettres ».

Voyages, prison, louanges, blâmes, « l'auteur tombé » a tout supporté philosophiquement.

Mais silence... Deux scènes d'exposition Ce début donne d'abord des informations sur le passé de Figaro et du Comte.

Ces deux scènes exposent aussi la situation présente : le décor, les costumes et les didascalies indiquent que l'action se déroule « à Séville », « à l'aube ».

Les protagonistes nous sont présentés.

Enfin l'enjeu est exposé : il s'agit pour le Comte « d'être aimé pour soi-même, ce qui explique son déguisement ». Cette exposition présente une situation en apparence dramatique.

Mais elle comporte des éléments de détente, tels que le costume bariolé et la chanson fort gaie de Figaro. Des monologues originaux : Ces scènes comportent deux monologues mais de nature différente : celui du Comte (scène 1) retrace les réflexions d'un libertin sur ses conquêtes amoureuses ; le monologue de Figaro (scène 2) marque, lui, une pause dans l'action et constitue un faux monologue puisque Figaro y joue deux personnages : il est compositeur d'une chanson et en même temps critique de sa production.. »

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