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Analyse linéaire la promesse de l'aube chap 42 Romain Gary

Publié le 21/06/2023

Extrait du document

« Introduction La promesse de l’aube est un roman d’inspiration biographique écrit en 1960 par Romain Gary.

Romain Gary est un célèbre romancier français d’origine russe.

Tout au long de sa vie, Romain Gary a montré de multiples facettes.

Il a exercé la profession d’écrivain bien évidemment, mais aussi celui de soldat et de diplomate.

Il a écrit une trentaine de livre sous différents pseudonymes.

Le récit se veut autobiographique, bien que certains passages tiennent plus de la fiction que du vécu, le véritable objet du livre n’est pas de retracer la vie de l’écrivain, le sujet central est celui qui rapporte toute l’ambigüité dans les sentiments très forts d’une mère pour son enfant Nous allons analyser le dernier chapitre (chapitre 42) Dans le but d'étudier ce passage nous répondrons a la question……, dans un premier temps, nous allons étudier comment l'écrivain reconstitue l'atmosphère à ce moment, puis en second lieu, la façon dont Romain Gary participe à la joie du retour à la maison, enfin, nous ferons un bilan du travail autobiographique. I la reconstitution d’une atmosphère -La première phrase nous informe sur le contexte d’après-guerre « victorieuse » la guerre est terminer -cependant, la notion de dégâts est bien présente, le champ lexical de la destruction « Renversé » « carcasse » « abattu » « brisé » « écroulé » montre un paysage qui retrace les ravages des combats guerriers, les dégâts sont partout, humain mais surtout sur le paysage, les éléments sont détruits Malgré un champ lexical de dévastation, il nous informe sur la fin de la guerre, la phrase « chaque tank renversé ressemblait a la carcasse d’un dieux abattu » fait alors une allusion a dieux exprimant la paix La comparaison de l’avions a une « l'épée brisée » débarrasse l'objet de tout caractère menaçant ou dangereux, car il est dénudé du toute utilité il en va de même pour le « canon mort » qui est vaincu Les hommes sont dépouillés, ils sont à présent loin de la guerre, chacun fait ressortir son soulagement et sa convivialité avec l’habitude. Le paysage destructeur n’est pourtant pas refrayant est parait rassurant, apaisant ayant une certaine poéticité comme le dit le narrateur, le paysage semble l’accueillir. Les mots sont symboliques et positifs il sonne comme un oxymore face à la guerre est suggère un paradis éclairé par « la clarté » qui reflète un paysage serein La joie des combattants est traduite par les exclamations et les répétitions.

« Enfin » exprime de soulagement, « nous » se rapporte au narrateur et à tous ses camarades.

Nous avons également une joie civile, l'image de la foule, « mains et visages » qui dégage un sentiment collectif de bonheur et de soulagement intense.

L’atmosphère n'est plus guerrière. C'est la fin de la guerre, une véritable libération pour le peuple tout entier. II Romain Gary évoque une attente et en effet une attente de revoir sa mère Nous pouvons observer une prédominance du « je » qui marque l'expérience personnelle de l'écrivain, « je cessai… quartier ».

L'effet de concentration (sur lui) amène une sorte d'isolement par rapport au reste du monde.

(Ce qui n’étais bien évidement pas le cas avant puisque on décrivait un sentiment collectif) Cela transparaît grâce aux verbes de perception aux connotations négatives.

« Je demeurai… » reflète une attitude indécise pleine de tensions, il définit le trajet à parcourir ce fait en gradation de la ville a sa mère. L'expression « vers la ville » suggère le mouvement comme si l'auteur voyait les choses arriver vers lui et laissait voir son impatience.

L'adverbe « vers » met en avant l'impression d'accélération, cette gradation se.... »

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