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anthologie les fleurs du mal de baudelaire

Publié le 15/06/2023

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« Les Fleurs du Mal, Charles Baudelaire ANTHOLOGIE J’ai choisi d’écrire mon anthologie sur le recueil de poème de Baudelaire sur aucun thème car pour moi les poèmes des Les Fleurs du Mal parlent de trop XLIII.

– Le flambeau vivant Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumières, Qu’un Ange très savant a sans doute aimantés ; Ils marchent, ces divins frères qui sont mes frères, Secouant dans mes yeux leurs feux diamantés. Me sauvant de tout piège et de tout péché grave, Ils conduisent mes pas dans la route du Beau ; Ils sont mes serviteurs et je suis leur esclave ; Tout mon être obéit à ce vivant flambeau. Charmants Yeux, vous brillez de la clarté mystique Qu’ont les cierges brûlant en plein jour ; le soleil Rougit, mais n’éteint pas leur flamme fantastique ; Ils célèbrent la Mort, vous chantez le Réveil ; Vous marchez en chantant le réveil de mon âme, Astres dont nul soleil ne peut flétrir la flamme ! Ce poème parle de l’amour.

Mais une vision idéalisée de l’amour par Baudelaire.

Dans ce sonnet il magnifie le rôle de la femme qui est aimée et qui aime.

Cette même femme qui avec son regard aimant est la seule a pouvoir sauver le poème de sa tristesse et sa morosité perpetuelle. Personnellement j’aime ce poème car il me rappelle combien le regard de son être aimé peut être salvateur au coeur et au morale , pouvant nous sortir de la plus grande des tristesses.

En effet quand nous sommes au plus bas et que même nos amis ne peuvent pas nous rassuret et nous comprendre , on s’isole , on a plus confiance et parfois seul voir le regard de la personne qu’on aime , qu’on chérit nous aide à surmonter ce moment de pronfonde tristesse.

Les yeux de cette personne sont alors salvatrice et divine. de choses pour les résumer en des thèmes spécifique, chaque poème à sa facon de s’exprimer sur la vie et le monde , même si des thématiques reviennent souvent. La Jeune Fille à la perle, Johannes Vermeer J’ai choisit ce tableau pour représenter le poème car le regard de La Jeune Fille à la perle représente pour moi un regard salvateur , c’est le genre de regard dont nous avons besoin pour surmonter une tristesse , un regard doux , harmonieux et compatissant. XXVIII.

– Le serpent qui danse Que j’aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde Aux âcres parfums, Mer odorante et vagabonde Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s’éveille Au vent du matin, Mon âme rêveuse appareille Pour un ciel lointain. Tes yeux, où rien ne se révèle De doux ni d’amer, Sont deux bijoux froids où se mêle L’or avec le fer. À te voir marcher en cadence, Belle d’abandon, On dirait un serpent qui danse Au bout d’un bâton. Sous le fardeau de ta paresse Ta tête d’enfant Se balance avec la mollesse D’un jeune éléphant, Et ton corps se penche et s’allonge Comme un fin vaisseau Qui roule bord sur bord et plonge Ses vergues dans l’eau. Comme un flot grossi par la fonte Des glaciers grondants, Quand l’eau de ta bouche remonte Au bord de tes dents, Je crois boire un vin de Bohême, Amer et vainqueur, Un ciel liquide qui parsème D’étoiles mon cœur ! Dans ce poème Beaudelaire idéalise et fantasme sur le corps de Jeanne Duval son amante.

Il évoque l’amour charnelle qu’il y a entre les deux et fantasme sur son corps , l’idéale pour lui, elle qui est métisse le fait voyager.

Dans ce portrait de Jeanne Duval par Baudelaire il en fait une femme dangereuse mais douce , qui apporte le plaisir et le danger.

Une fleur du mal. J’ai apprécié le poème tout d’abord par sa longueur, ses 9 strophes nous transportent à la place de Baudelaire et nous fait voyager dans son intimité et son amour envers Jeanne.

EN lisant le poème nous lecteur , nous sommes obligés de fantasmer sur Jeanne et de comprendre le sentiment d’amour qu’a Baudelaire envers elle.

De plus malgrès sa longueur le poème est tres bien rythmé et agréable à lire. Hygeia, détail de La Médecine.

1901.

Gustav Klimt J’ai choisi cette oeuvre pour représenter le poème car la femme représenté sur le tableau représente à la perfection Jeann Duval.

Une femme mystérieuse , séduisante , charmante , proche et distante. XXIX.

– Une charogne Rappelez-vous l’objet que nous vîmes, mon âme, Ce beau matin d’été si doux : Au détour d’un sentier une charogne infâme Sur un lit semé de cailloux, Les jambes en l’air, comme une femme lubrique, XXXVI.

– Le balcon Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses, Ô toi, tous mes plaisirs ! ô toi, tous mes devoirs ! Tu te rappelleras la beauté des caresses, La douceur du foyer et le charme des soirs, Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses ! Les soirs illuminés par l’ardeur du charbon, Et les soirs au balcon, voilés de vapeurs roses. Que ton sein m’était doux ! que ton cœur m’était bon ! Nous avons dit souvent d’impérissables choses Les soirs illuminés par l’ardeur du charbon. Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées ! Que l’espace est profond ! que le cœur est puissant ! En me penchant vers toi, reine des adorées, Je croyais respirer le parfum de ton sang. Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées ! La nuit s’épaississait ainsi qu’une cloison, Et mes yeux dans.... »

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