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anthologie poètique : l'amour

Publié le 27/05/2013

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amour
Anthologie La représentation poétique de l'amour au fil du temps «  Je vis, je meurs « poème du XVIème siècle écrit en 1555 par Louise Labé, poète de la Renaissance. « Et la mer et l'amour « poème du XVIIème siècle écrit en 1628 par Pierre de Marbeuf, poète baroque. « Elle était déchaussée, elle était décoiffée « poème du XIXème siècle écrit en 1853 par Victor Hugo, chef du romantisme. « La maison serait pleine de roses et de guêpes « poème de la fin du XIXème siècle écrit en 1898 par Francis Jammes. « Le Pont Mirabeau « poème du XXème siècle écrit en 1913 par Guillaume Apollinaire, précurseur du surréalisme. « La Courbe de tes yeux « poème du XXème siècle écrit en 1926 par Paul Eluard, poète du surréalisme Notre anthologie poétique portera sur l'évolution de la représentation de l'amour au travers des si&e...
amour

« SANVEE TYPHENN 1ES2 · « Le Pont Mirabeau » poème du XXème siècle écrit en 1913 par Guillaume Apollinaire, précurseur du surréalisme. · « La Courbe de tes yeux » poème du XXème siècle écrit en 1926 par Paul Eluard, poète du surréalisme Notre anthologie poétique portera sur l’évolution de la représentation de l’amour au travers des siècles grâce à six poèmes, traitant ce sujet, de différents mouvements et époques. Ces poèmes, malgré des différences d'époques et de mouvement littéraire, ont un thème commun, celui de l'amour qui a toujours été une source d’inspiration.

Celui-ci est représenté de différentes formes.

« Je vis je meurs » de Louise Labé est un sonnet en décasyllabes à rimes embrassées.

C’est un poème lyrique évoquant de multiples émotions variés ce qui le rend original.

J’ai beaucoup aimé l’utilisation d’antithèses tout au long du poème, cela exprime bien l’incohérence de l’amour, les sensations opposés qui traversent le corps et l’esprit à cause d’un unique sentiment.

A chaque actions et paroles de l’être aimé l’esprit perd toute logique et c’est alors le cœur qui prend le pouvoir, tantôt mourant tantôt vivant (v 1) l’on passe du rire aux larmes (v 5).

Ce poème montre aussi que l’amour apporte des peines et des craintes, rien n’est acquis en amour et lorsqu’on en prend conscience tout est remis en cause même si le bonheur était présent (v 13 et 14).

Dans ce poème l’amour est personnifié, c’est lui qui crée les réactions opposées, qui mène le cœur (v 9), il n’est pas maîtrisable.

« Et la mer et l’amour » de Pierre de Marbeuf est un sonnet en alexandrins à rimes embrassées.

Il a pour thème la mer et l’amour qui sont respectivement répétés six et huit fois.

Ce qui m’a plus dans ce poème, ce sont les sonorités et la musicalité.

Dès le 1 er vers et aussi dans la suite du quatrain les sons sont identiques, Marbeuf fait des rimes dans les vers notamment en faisant rimer « mer » avec « amer » et « amour » avec « pour » (v 1).

De plus il y a des parallélismes syntaxiques qui renforcent ces sonorités : le vers 5 et le vers 6 commencent tous les deux par les mêmes sons et aussi le 1 er vers du poème est très proche du 1 er vers du 1 er tercet sauf pour le dernier mot.

Les allitérations en « r » associées aux assonances en « ou » et « è » sont agréables à entendre et me font penser aux bruits des vagues et du vent.

L’amour enflammer (v 7) est plus fort que la mer, même déchainée, l’amour ne peut être vaincu. « Elle était déchaussée, elle était décoiffée » de Victor Hugo est formé de quatre quatrains d’alexandrins en rimes embrassées.

Ce que j’aime dans ce poème c’est la description de la jeune femme.

Dans le 1 er vers il dit qu’elle est déchaussée et décoiffée mais elle reste magnifique, il la compare à une fée (v 3).

Elle est donc d’une beauté naturelle qui lui trouble l’esprit.

Son regard est aussi d’une grande beauté il est même « suprême » (v 5).

Même s’il ne donne pas d’informations sur la. »

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