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Arts et Culture GABRIEL GARCIA MÂRQUEZ

Publié le 10/02/2019

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culture

La ville de Bogota, où Garcia Marquez entra à l'université pour y étudier le droit, avant de lui préférer la carrière journalistique.

 

week-end. Selon les estimations, le livre se serait vendu à plus de 10 millions d’exemplaires dans les pays hispanophones.

 

Un fabuleux monde de fiction

 

Bien que Cent ans de solitude soit sans aucun doute l’œuvre la plus aboutie et la plus ambitieuse de Gabriel Garcia Marquez, ses autres créations ne sont pas à négliger pour autant: L’amour au temps du choléra (1985) raconte une intrigue étalée sur plus d’un demi-siècle. Ce livre lui a valu la réputation d’être l’un des plus grands créateurs de romans d’amour de notre siècle.

 

Sa verve inégalable se retrouve également dans L’automne du patriarche (1975), où un despote est dépeint de façon baroque et lucide: détenir le pouvoir absolu conduit à une solitude irrémédiable. Une autre grande figure inspire Le général dans son labyrinthe (1989), roman historique sur la vie de Simon Bolivar. Homme d’État vénézuélien, ce dernier a dirigé la révolte des diverses colonies d’Amérique du Sud contre l’autorité espagnole.

 

Dans Chronique d’une mort annoncée (1991), il décrit l’univers étouffant d’un village où une rumeur conduit à un meurtre. En 1997, dans Journal d’un enlèvement, il narre le déroulement d’une prise d’otages en Colombie, mêlant étude psychologique et suspense digne d’un thriller.

 

Récits épiques, style lyrique et univers à la fois enchanteurs et horribles sont la marque d’un imaginaire sans limites.

 

Tel, autrefois, un conteur de village, mais avec un sens de la démesure encore plus poussé, Garcia Marquez nous entraîne dans ses romans à la suite de destins allégoriques et de personnages inoubliables (L’aventure de Miguel Littîn, clandestin au Chili publié en France en 1986). L’ensemble de son œuvre lui a valu le prix Nobel de littérature en 1982.

 

▼ Chronique d’une mort annoncée est l’un des rares romans de Garcia Marquez qui fut adapté au cinéma. Il est effectivement difficile de traduire exactement l'atmosphère à la fois réelle et onirique qui imprègne l’ensemble de son œuvre.

ŒUVRES PRINCIPALES

 

. La hojarasca (1955)

 

. Pas de lettre pour le colonel (1961)

 

• Les funérailles de la Grande Même (1962)

 

. La Mala-Hora (1962)

 

. Cent Ans de solitude (1967)

 

. Récit d’un naufragé (1970)

 

. L'incroyable et triste histoire de la candide Erendira et de sa grand-mère diabolique (1972)

 

. L’automne du patriarche (1975)

 

. Chronique d’une mort annoncée (1981)

 

. L’amour au temps du choléra (1985)

 

. L’aventure de Miguel Littîn, clandestin au Chili (1986)

 

. Le général dans son labyrinthe (1989)

 

. Journal d’un enlèvement (1997)

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« Gabriel Garcia Marquez Passionné par son métier , Garcia Marquez y consacre tout son temps et son énergie.

Il en souffrira dès 1949: une pneumonie l'affaiblit pen­ dant plusieurs mois.

Mais il ne perd pas son temps au cours de ce repos forcé, il s'attelle à la lecture de nombreux auteurs qui influenceront son œuvre future: entre autres, les tragédiens grecs, Rabelais, William Faulkner, Ernest Heming­ way, James Joyce, Virginia Woolf, Albert Camus et, bien sûr, Franz Kafka.

La horajasca, le premier d'une série de romans à succès En 1955, sa renommée de journaliste est établie dans sa Colombie natale.

Cette année-là, il part en voyage et ne reviendra au pays que deux ans plus tard.

Il séjourne plus ou moins longtemps en Suisse, en Italie, en Pologne, en Hongrie, en Espagne, en France et en Angleterre.

Le premier roman de Garcia Marquez, La hojarasca, est publié en 1955.

Il nous décrit dans ce livre le déclin et la ruine d'une colonie.

Le drame se situe dans le petit village de Macondo, le même Macondo qui figure dans bon nombre des œuvres de l'écrivain, notam­ ment dans la plus célèbre, Cent ans de solitude, parue en 1967.

ŒUVRES PRINCIPALES • La hojarasca (1955) • Pas de lettre pour le colonel (1961) • Les funérailles de la Grande Mémé (1962) • La Mala-Hora (1962) • Cent Ans de solitude (1967) • Récit d'un naufragé (1970) • L'incroyable et triste histoire de la candide Erendira et de sa grand-mère diabolique (1972) • L'automne du patriarche (1975) • Chronique d'une mort annoncée (1981) , L'amour au temps du choléra (1985) • L'aventure de Miguellittîn, dandestin au Chili (1986) • Le général dans son labyrinthe (1989) • Journal d'un enlèvement (1997) Cent ans de solitude Cent ans de solitude raconte la gloire et le déclin du village de Macondo, à travers sept générations d'une famille, les Buendia, célèbre par ses relations incestueuses et ses mariages consanguins, et dont le patriarche, José Arcadio, a fondé le village.

Une bande de gitans visite fré­ quemment Macondo.

Leur chef, Melquiades, pro­ fesse qu'une malédiction va s'abattre sur la famil­ le Bu en dia, qui est "condamnée à cent ans de solitude)) .

L'intrigue du roman conte le déroulement de la prédiction.

Celle-ci ne sera découverte que lorsque le siècle sera terminé, et que la boucle sera bouclée.

À l'image d'une tragédie grecque, l'histoire réunit tous les protagonistes par la mort.

L'œ uvre est un brillant exemple de réalisme magique, une technique consistant à mêler des événements réels à d'autres complètement fan­ tastiques, de manière à ce que l'ensemble ait l'air complètement rationnel.

À travers cette fresque parfois tragique, mais où la dimension comique est produite par l'exagéra­ tion des événements et des descriptions, perce, avant tout, la prodigieuse imagination poétique de Garcia Marquez.

La preuve en est que, tiré à 8 000 exemplaires lors de sa première édition, Cent ans de solitude a été écoulé en un seul ......

La ville de Bogota, où Garcia Marquez entra à l'université pour y étudier le droit, avant de lui préférer la carrière }oumallstique.

weekend .

Selon les estimations, le livre se serait vendu à plus de 10 millions d'exemplaires dans les pays hispanophones.

Un fabuleux monde de fiction Bien que Cent ans de solitude soit sans aucun doute l'œuvre la plus aboutie et la plus ambitieu­ se de Gabriel Garcia Marquez, ses autres créa­ tions ne sont pas à négliger pour autant: L'amour au temps du choléra (1985) raconte une intrigue étalée sur plus d'un demi-siècle.

Ce livre lui a valu la réputation d'être l'un des plus grands créateurs de romans d'amour de notre siècle.

Sa verve inégalable se retrouve également dans L'automne du patriarche (1975), où un despote est dépeint de façon baroque et lucide: détenir le pouvoir absolu conduit à une solitude irrémé­ diable.

Une autre grande figure inspire Le général dans son labyrinthe (1989), roman �istorique sur la vie de Simon Bolivar.

Homme d'Etat vénézué­ lien, ce dernier a dirigé la révolte des diverses colonies d'Amérique du Sud contre l'autorité espagnole.

Dans Chronique d'une mort annoncée (1991), il décrit l'univers étouffant d'un village où une rumeur conduit à un meurtre.

En 1997, dans Jour­ nal d'un enlèvement, il narre le déroulement d'une prise d'otages en Colombie, mêlant étude psychologique et suspense digne d'un thriller.

Récits épiques, style lyrique et univers à la fois enchanteurs et horribles sont la marque d'un imaginaire sans limites.

Tel, autrefois, un conteur de village, mais avec un sens de la démesure encore plus poussé, Garcia Marquez nous entraîne dans ses romans à la suite de destins allégoriques et de personnages inoubliables (L'aven-ture de Miguel Littfn, dandes­ tin au Chili publié en France en 1986).

L'en­ semble de son œuvre lui a valu le prix Nobel de littérature en 1982.

' Chronique d'une mort annoncée est l'un des rares romans de Garcia Marquez qui fut adapté au cinéma.

Il est effectivement difficile de traduire exactement l'atmosphère à la fols réelle et onirique qui imprègne l'ensemble de son œuvre.. »

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