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Bel ami de maupassant

Publié le 30/10/2012

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Partie 1 Chapitre 1 Georges Duroy, ancien militaire envoyé en Afrique, avait belle allure. Il était revenu à Paris dans le but de faire fortune, mais pour le moment il avait peu d'économies, car il travaillait aux bureaux du chemin de fer du Nord, qui le rémunéraient peu. A la recherche d'une femme en cette soirée de juin, il flânait dans Paris, tout en faisant attention au peu d'argent qu'il lui restait. La chaleur de l'été, l'assoiffait, et lorsqu'il s'apprêta à entrer au Café Américain, il reconnut un ancien camarade de combat : Forestier. Ce dernier, lui raconta alors qu'il était devenu journaliste, et qu'il était malade depuis son retour en France. Il l'invita à le suivre au journal : la Vie Française. Puis autour d'un verre et après réflexion, Forestier lui proposa de devenir journaliste pour lui. Il l'invita alors, à diner chez lui le lendemain, avec son patron. Ils continuèrent leur promenade jusqu'aux Folies-Bergères puis dans un jardin public où Georges se fit séduire par deux filles de joie. Forestier fit remarquer à Georges qu'il avait du succès, et qu'il devrait s'en servir pour faire une place. Puis il prit congé et Georges rejoignit une des deux femmes (Rachel). Chapitre 2 Le lendemain, Georges se rendit au dîner, habillé du mieux qu'il put, si bien qu'il ne se reconnut pas dans la glace. Quand il arriva chez Forestier, il perdit confiance, tant ce monde lui était inconnu. Mme Forestier l'accueillit chaleureusement, puis arriva Clotilde de Marelle et sa fille Laurine ; M. Walter et sa femme, Jacques Rival, Norbert de Varenne et enfin Forestier. Intimidé, Georges resta silencieux durant le repas, tout en appréciant la compagnie de Mme de Marelle qui lui paraissait belle, originale et fine d'esprit. Après quelques verres, il se sentit prêt à prendre part aux discussions journalistiques. Il engagea une discussion sur l'Algérie et montra qu'il savait de quoi il parlait. Encouragé par les convives, Forestier proposa les services de Georges à M. Walter. Celui-ci lui donna rendez-vous le lendemain et lui demanda un article sur l'Algérie au plus vite. Georges sentit que la roue tournait et qu'il faisait sa place dans le monde du journalisme. Plus assuré, il engagea la conversation avec Clotilde puis se rapprocha de Mme Walter, encouragé par Mme Forestier. Heureux de cette nouvelle vie, il rentra chez lui. Chapitre 3 Lorsqu'il se mit à écrire, son inspiration de la journée s'était éclipsée et rien ne sortait. Découragé, il se mit à réfléchir à sa situation d'infortuné, et au taudis qu'il occupait. Mais rien ne venait. Il se remémora ses parents, l'Afrique, il rêvassa puis se coucha. Emplit d'espérances, il se leva tôt le lendemain mais resta à nouveau sur une page blanche. Il se décida alors à aller demander de l'aide à Forestier. Celui-ci le dirigea vers sa femme. Elle le reçut en peignoir dans son bureau, le fit asseoir, le questionna sur son sujet puis lui dicta son article. A la fin de cette dictée surprenante, elle lui ordonna de la signer. Puis elle engagea la conversation sur Mme de Marelle et l'informa qu'elle était mariée. Il commençait à apprécier la compagnie de Mme Forestier, quand le Comte de Vaudrec les interrompit. Georges, intimidé, prit congé. Il gagna la Vie Française pour son rendez-vous. Voyant la fille d'attente, il demanda à voir Forestier. Celui-ci l'introduisit dans le bureau de M. Walter qui était en pleine partie de cartes. Rapidement, il l'embaucha et accepta son article. Forestier ramena Georges dans son bureau et lui expliqua ses fonctions et les ficelles du métier. Chapitre 4 Le lendemain, Georges se leva tôt, impatient de voir la publication de son article dans la Vie Française. Fier de son nouveau statut, il démissionna des chemins de fer du Nord et empocha sa dernière paie. Heureux de cette publication, il se faisait un plaisir de montrer qui il était. Il se rendit ensuite à la Vie Française où Charles Forestier les envoya (lui et St Potin) glaner des informations pour un article sur la colonisation anglaise. St Potin lui parla de tous les acteurs du journal en n'oubliant pas de les critiquer. Puis il expliqua à Georges que Madeleine était la maîtresse de Vaudrec. Georges échauffé, mit fin à la conversation.Lorsqu'il rentra écrire son second article, rien ne vint. Il se décida alors à retourner voir Madeleine, le lendemain. Mais lorsqu'il se présenta chez les Forestier, il ne put avoir son aide, dévouée à Charles. Contrarié par cet imprévu et par la réaction méchante de Charles, Georges rentra chez lui et écrivit rapidement son article...
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« par les convives, Forestier proposa les services de Georges à M. Walter. Celui­ci lui   donna rendez­vous le lendemain et lui demanda un article sur l'Alg érie au plus vite.

  Georges sentit que la roue tournait et qu'il faisait sa place dans le monde du journalisme.

  Plus assur é, il engagea la conversation avec Clotilde puis se rapprocha de Mme Walter,   encourag é par Mme Forestier. Heureux de cette nouvelle vie, il rentra chez lui.   Chapitre 3 Lorsqu'il se mit  à écrire, son inspiration de la journ ée s' était  éclips ée et rien ne sortait.

  D écourag é, il se mit  à réfléchir  à sa situation d'infortun é, et au taudis qu'il occupait. Mais   rien ne venait. Il se rem émora ses parents, l'Afrique, il r êvassa puis se coucha. Emplit   d'esp érances, il se leva t ôt le lendemain mais resta  à nouveau sur une page blanche. Il se   d écida alors  à aller demander de l'aide  à Forestier. Celui­ci le dirigea vers sa femme. Elle   le re çut en peignoir dans son bureau, le fit asseoir, le questionna sur son sujet puis lui   dicta son article. A la fin de cette dict ée surprenante, elle lui ordonna de la signer. Puis elle engagea la conversation sur Mme de Marelle et l'informa qu'elle  était mari ée. Il   commen çait  à appr écier la compagnie de Mme Forestier, quand le Comte de Vaudrec les   interrompit. Georges, intimid é, prit cong é. Il gagna la Vie Fran çaise pour son rendez­vous.

  Voyant la fille d'attente, il demanda  à voir Forestier. Celui­ci l'introduisit dans le bureau de   M. Walter qui  était en pleine partie de cartes. Rapidement, il l'embaucha et accepta son   article. Forestier ramena Georges dans son bureau et lui expliqua ses fonctions et les   ficelles du m étier. Chapitre 4  Le lendemain, Georges se leva t ôt, impatient de voir la publication de son article dans la   Vie Fran çaise. Fier de son nouveau statut, il d émissionna des chemins de fer du Nord et   empocha sa derni ère paie. Heureux de cette publication, il se faisait un plaisir de montrer   qui il  était. Il se rendit ensuite  à la Vie Fran çaise o ù Charles Forestier les envoya (lui et St   Potin) glaner des informations pour un article sur la colonisation anglaise. St Potin lui parla   de tous les acteurs du journal en n'oubliant pas de les critiquer. Puis il expliqua  à Georges   que Madeleine  était la ma îtresse de Vaudrec. Georges  échauff é, mit fin  à la   conversation.Lorsqu'il rentra  écrire son second article, rien ne vint. Il se d écida alors  à  . »

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