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Cadide ou l'optimisme incipit, chapitre 1

Publié le 19/04/2014

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Candide Chapitre 1 Intro : Au XVIIIème siècle apparaît un nouveau mouvement littéraire : les Lumières. Ce mouvement a pour but de faire respecter la Raison, la Nature et la Liberté pour contrer les inégalités et l'intolérance. Ce mouvement rassemble de nombreux philosophes, notamment autour d'une oeuvre commune, L'Encyclopédie. Parmis les philosophes qui participèrent à sa création, on peut citer Diderot, D'Alembert, Rousseau ou encore Voltaire. Ce dernier est l'un des philosophes les plus connus de son époque car il écrivit de nombreuses oeuvres dans des genres différents, toujours dans le but de critiquer les moeurs de son époque. On peut par exemple citer OEdipe, une tragédie de 1717, Lettres Philosophiques, un essai écrit en 1734, ou encore Zadig, un conte philosophique de 1748. Mais son conte philosophique le plus connu est sans doute Candide ou l'Optimisme, écrit en 1759. Ce conte met en scène un personnage qui voyage et qui va d'aventures en aventures. Candide dénonce notamment la philosophie optimiste du philosophe allemand Leibniz en faisant voyager un jeune homme naïf qui découvrira toutes les formes du mal à travers le monde. L'extrait que nous allons étudier se situe dans le premier chapitre du conte, il s'agit donc de l'incipit. Dans ce chapitre, le narrateur nous présente les personnages et situe l'intrigue. I/Présentation du cadre spatio-temporel A/Cadre temporel Cadre temporel flou et peu présent : -présence d'un « baron » appelé monseigneurMoyen-Age -Nom des personnage : « Candide » « Cunégonde »Moyen-Age -professions M-A : &l...

« -Descr ip t ion de Cand ide clos la p résen ta t ion des perso -I nsistance su r sta t u t social : bata rd  « f i ls de la sœur » et non pas neveu -F i ls d’un « bon et honnête gent i l homme »  i nd igne de la noblesse. -Descr ip t ion m i t igée : « mœurs les plus douces », ambigu  mœu rs légères.

« Le j ugemen t assez » te r me « assez » amoind r i t le compl imen t.

« Esp r i t le plus » hyperbole peu t aussi avoi r 2 sens (qqun de simp le ou stup ide).

« Bonne foi de son âge » coté posi t i f amoind r i t par « de son âge » C n’est qu’un enfan t.  Prédisposi t ion a l’évolu t ion B/ La fam i l le t h u nder-ten-t ronckh -Le ba ron : -H yperbole « un des plus pu issan ts » m ise en valeu r -A t taque r ichesse du baron, château amoind r i t -Ses domest iques ont des plusieu rs fonct ions di f féren tes  pauv reté du l ieu appuyée pa r para l lél isme de const r uct ion. -« I l r ia ien t »  on peu t croi re que ses domest iques se moquen t de l u i  baron tou r né en dér ision -La baronne : -Caracté r isée pa r son poids énorme : exagéra t ion ce qui l u i at t i ra i t une « t rès g rande considéra t ion » (insistance ac « t rès ») ce qui est r i d icu le. -« encore plus respectable »  exagéra t ion qui ajou te du r i d icu le a la descr ip t ion car fa i re les honneu r= recevoi r pol imen t  chose banale -Le f i l : -un iquemen t évoqué a t ravers son père  i l est peu impo r tan t -« D igne de son père »  peu élogieux -Cunégonde : -accumu la t ion d’adj plus ou moins mél iora t i f « hau te en couleu r » « appét issan te » « grasse » encore une fois ambiguï té. -Aucun t ra i t mora l n’est donné-  -Appa raî t comme perso assez imp t pu isqu’elle plai t au perso p r i ncipal -Paraî t i ngenue, p rend ce qu’elle voi t de Pangloss pou r une lecon de physique -Grande pa r t ie du t x t l u i est accordée ; C/Pang loss -nom venan t du grec= tou te langue, on peu t comprend re ne fai t que par le r -« metaphysico-t heologo-n igologie » te r mes complexes et scien t i f ique (seulemen t apparence) l iée a une science qui n’existe pas : n igologie rappel le te rme n igaud  décrédib i l ise Pangloss - « p rouvais »=logique qui cont raste avec la subject iv i té des argumen ts parg raphe 5  na issance du r i d icule -Qual i f ié « d’oracle de la ma ison »= tou t le monde l’écoute aveuglemen t  imp ression de char la tan -I n t roduct ion de la ph i losoph ie opt im is te parag raphe 3, paragraphe suivan t elle est clai remen t énoncée mais i l l ust rée pa r des exemples qui n’on t pas de sens (ra isonnemen t a l’envers)  pe r te de crédib i l i té de cet te ph i losophie -Parag raphe 7, nouvel le facet te de Pangloss : homme a femme  p r is pendan t ses ebats avec une servan te (un iquemen t qual i f de servan te=peu t et re pas la p remière)dans un ja rd i n, même pas un l ieu p r i vé.

Appa raî t comme prof i tan t de son sta tu t « d’oracle ». »

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