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candide

Publié le 05/12/2015

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Candide, de Voltaire, analyse. par Superpontonnier 10 déc. 2013 841 Mots ?Voltaire (1694-1778)Biographie :Voltaire (à l'origine François-Marie Arouet) fut le plus célèbre des philosophes du XVIII ème siècle. Il est l'inventeur du conte philosophique qui consisteà éviter la censure et à motiver les personnes peu attirées par la littérature. Voltaire est maître dans l'ironie satirique. Il fait partie du courant des ''lumières''. C'est une des raisons pourlaquelle il critique la société et la religion. Celui-ci est un militant actif ayant une personnalité dominante, étant un auteur productif dont les œuvres manifestent une grande diversité.Issu de labourgeoisie, le jeune Arouet se distingue d’abord chez les Jésuites. Ses critiques contre le régent l’envoient en 1717 à la Bastille. Son refus pour la hiérarchie lui fait faire un séjour de 2 ans(1726-1728) en Angleterre. Il retourne ensuite en 1778 à Paris et meurt quelques semaines plus tard au faîte de sa gloire.Candide (1759)C'est le premier conte philosophique inventé par Voltaire.Cette œuvre critique la société et la religion. Il critique la philosophie de Leibniz (''Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles''). Il cherche à dénoncer la société (fonctionnantselon un régime monarchique) qui manipule les gens et ceux qui se laissent manipuler. Son but consiste à amener la population à se révolter face à la monarchie absolue.Chapitre 1I. Candide1. La signification de son nom2. Le château du Baron Thunder-ten-tronckhII. Le précepteur de Candide1. La philosophie 2. L’exclusion de Candide du châteauChapitre 19I. Laponctuation1. Le traitement des esclaves2. L’effet donné au lecteur II. Les personnes à la cause de l’esclavagisme1. La religion, dans l’esclavagisme2. C’est à ce prix que vous mangez dusucre en Europe« Comment Candide fut élevé dans un beau château , et comment il fut chassé de celui-ci »Chapitre 1Nous nous trouvons au début de l'oeuvre : présentation des personnages... ECTURE ANALYTIQUE & COMMENTAIRE   CANDIDE, VOLTAIRE – CHAPITRE 19 : LE NÈGRE DE SURINAM.   Cet extrait efface par sa brièveté, a pour but de faire prendre conscience de l'inhumanité de l'esclavage de par la cruauté qui lui est propre. Voltaire dénonce une pratique qui met en péril la dignité de l'être humain, et réjouit en cela un courant de son époque. En même temps, il apporte une nouvelle preuve pour étayer son argumentation contre les doctrinaires de l'optimisme.

« Chapitre 1 Nous nous trouvons au début de l'oeuvre : présentation des personnages...

ECTURE ANALYTIQUE & COMMENTAIRE CANDIDE, VOLTAIRE – CHAPITRE 19 : LE NÈGRE DE SURINAM. Cet extrait efface par sa brièveté, a pour but de faire prendre conscience de l'inhumanité de l'esclavage de par la cruauté qui lui est propre.

Voltaire dénonce une pratique qui met en péril la dignité de l'être humain, et réjouit en cela un courant de son époque.

En même temps, il apporte une nouvelle preuve pour étayer son argumentation contre les doctrinaires de l'optimisme. I : Un dénonciation de l'esclavage et de sa cruauté . 1 : Une description explicite de l'horreur. 2 : Un témoignage édifiant : le langage prêté à l'esclave. 3 : Une simplification de réel pour mieux l'émouvoir. II : Une nouvelle dénonciation de la philosophie optimiste . 1 : Voltaire derrière son personnage. 2 : Les progrès de Candide. I – 1 : Le ton employé est dépouillé et le « nègre » est évoqué dans sa prostration « un nègre étendu par terre », comme condamné à végéter à même le sol.

Puis son état physique est énoncé avec neutralité comme un constat : « il manquait ce pauvre homme … droite ».

Aucun adjectif qui ne manifeste la pitié, mais la brutalité même du fait . 2 : La relation Maître / Esclave est pleinement affirmée : le rapport de soumission est fortement marqué dans « j'attends mon maître ».

De plus, le nom-portrait « Vanderdendur » = « vendeur-dent-dure » accentue l'effet d'une autorité revendiquée et appliquée.

Dans le langage prêté à l'esclave, le choix d'un style dépouillé fait particulièrement ressortir la brutalité des faits : « Quand nous travaillons … la jambe ».

Les propositions sont courtes, comme les coups.

Les verbes concrets ont une charge de violence ( « coupe » 2 fois, usage du présent indiquant une action habituelle, impersonnalité du « on » = relation déshumanisée, anonymat d'un tortionnaire dans visage ).

L'absence d'adjectif souligne la simplicité, l'objectivité d'un constat.

On trouve même une. »

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