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carmen

Publié le 05/12/2013

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Carmen           I- Présentation     Parue en 1845 dans « La Revue des Deux Mondes » et éditée en 1846 en livre à Paris par l'éditeur Michel Lévy frères, « Carmen » est une nouvelle de Prosper Mérimée qui a été énormément adaptée au théâtre et au cinéma (avec 21 films). Elle raconte l’histoire de Don José, brigadier dans un régiment de dragons à Séville, qui tombe amoureux de la bohémienne Carmen. Pour elle, il deviendra non seulement un voleur, mais aussi un meurtrier. L’histoire tragique, la déchéance, la passion fatale et la mort, la couleur locale, les rebondissements, le style froid et distant, etc. ont fait le succès de cette histoire.       II- Prosper Mérimée     Prosper Mérimée est né 28 septembre 1803 à Paris et est mort le 23 septembre 1870 à Cannes, historien et écrivain français il est aussi passionné d’archéologie et par les langues il a été traducteur pendant une période. Il fait partie des auteurs à avoir vécu et participé au passage du romantisme vers l...

« écrivain français il est aussi passionné d'archéologie et par les langues il a été traducteur pendant une période. Il fait partie des auteurs à avoir vécu et participé au passage du romantisme vers le réalisme.

Il vient d'un milieu bourgeois et artiste, Prosper Mérimée fait des études de droit avant de s'intéresser à la littérature et de publier dès 1825 des textes, en particulier des nouvelles les plus connus sont : « Mateo Falcone » (1829), « La Vénus d'Ille » (1837) et « Carmen » (1845).

En tout Prosper Mérimée a écrit 32 nouvelles, 7 pièces de théâtres dramatiques (Les Espagnols au Danemark (1825)), 5 récits de voyages, 11 essais et études historiques, et a traduit 7 oeuvres étrangères.

Il a occupé le fauteuil 25 à l'Académie Française de 1844 à 1870.             III- Résumé     Le narrateur archéologue (que l'on peut comparer avec Mérimée) par en voyage en Espagne afin de faire des recherche sur la Bataille de Munda, où César a triomphé de Pompée, sur son chemin il rencontra près d'une source un homme affamé, armés et peut bavard.

Le guide du narrateur Antonio adopte un comportement plutôt étrange avec cette étranger l'on sent qu'il s'en méfie.

Malgré de multiple signe de son guide le narrateur décide de laisser l'étranger faire route avec eux.

Peu a peu le narrateur se rend compte qu'il ne s'agit n'y plus ni moins de Don José le plus grand bandit d'Espagne, mais ne dit rien ! Ces soupçons se confirment lorsqu'il arrive à l'auberge où la vieille hôte s'exclame effectivement : « Ah ! Seigneur don José ! » (p.16).

Pendant le nuit Antonio fuit prévenir la police, mais le narrateur refuse de dénoncer Don José et le préviens aussitôt qu'Antonio est partie afin qu'il s'enfuie. Le narrateur reste quelques jours à Cordoue pour étudier un manuscrit à la bibliothèque.

Un soir, sur le quai du. »

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