Chapitre 12 partie II Emma Bovary analyse

« ressemble, il transpose son propre couple sur sa fille, un garçon qui rendrais sa fille heureuse alors que sa femme n’est asp heureuse a cause de lui.

On reveins a la narration omnisciente, quand il parle d’emma qui fait semblant de dormir, couple caractérisé sur e mensonge, simulation d’emma -> montre eloigenement décalge entre les deux conjoint.

« tandis que » montre l’opposition.

Au moment ou charles s’endore, emma se reveille, chacun reve de son coté, aucune cohexistance simultané dans cette realité.

« se reveillais en d’autre reves » le reveille n’est pas sencé la ramener a la réalité, au contraire chez emma il l’engage vers des reverie, des reves conscient.

Cette tendance au reve marque les symptomatique de l’insatisfaction d’emma, c’est un moyen de s’echapper de sa réalité monotone.

Tendance a se voir autre qu’on est (tendance bovarique) Contrairement au reverie de charles qui sont limité dans l’espace de la chambre, les reveire d’emma s’ouvre vers des espace immense, sans limite.

Imaginaire qui ne considère aucune limite, si materielle, ni dans l’espace.

Progression d’ordre spatial (contrairement a charle -> chronologique) Refus totale de sa réaliité.

Contrairement a charles qui inclus sa famille, emma exclus sa propre famille et n’admet que son amant, elle exclus l’enfant et le père.

Refus de toute logique chez emma contrairement a son mari qui s emontre soucieux de tt details dont les details materialiste, le silence d’emma montre son refus de reflexion au profit d’une consécration total de la passion.

Reverie caractère aérien, hors de la réalité, echappatoire qui lui permet de transcander sa réalité ; image de l’envol.

Prolongement des ces univers romanesque qu’elle a decouvert au travers de ses multiples lecture.

Evocation des sens -> passion>mental.

Univers peuplé de stéréotype, clichés, nourris dans son imaginaire par ses lectures de jeunesses.

Déploiment spatial chez emma dans sa reverie, different espaces.

Tout les reliefs sont présents, montagnes, golf, mer, etc..

.panoplie de sons guitare, eau, fontaine..

Cette générosité d’Emma dans son imaginaire -> quincofonie des sons, caractère chamarré au niveau des couleurs (pas multicolore, puique positif, mais couleur qui ne s’assemble pas).

Posture d’élévation ne veux aps etre terre a terre comme son mari.

Vapeur -> aspect aérien encore une fois, mais aussi adj vaporeux, ironie de flaubert, projet vaporeux, qui ne se réaliserons pas.

Univers de luxe, richesse, contraste avec les calcul mesquin de son mari, sacrifice pour sa famile, contraste avec egocentrisme de la femme qu ne se soucis pas des contraintes materille, reve d’une vie facile on l’on ne travaille aps mais on jouie de tt les plaisire et tte les richesses du monde.

»cependant » seul articulateur qui parait réel, met un terme a cette reverie et la ramene a la realité de sa monotonnie.

« Mais » ramène aussi emma a la realité, brutal et decevant.

Les bruits désagréable la ramène a la réalité, s’oppose aux sons harmonieux qui meublais son univers rêvé.

Flaubert montre cette contradiction a travers le plan syntaxique : difference forme et volume de phrase pour chaque perso chrales : phrases courtes, emma : phrases embrouiléées et longue.

Le discrours interieur de charle : juxtaposition des phrases : association de ses idées, reflexion organisé dans un ordre chronologique.

Présente egalement ensemble de mots singulier contrairent a sa femme, marque d’avarice alors que le pluriel marque la generosité.

Le discours interieur d’emma est compact, long, pas fraglenté, fait de phrases complexe, avec un maximum de détails, les pharses rajoute des détails suppléemtnaires qui se multiplie au fil de cette promenade géographique, progression spatial.

Le discours de charle corrspond a une reflexion fragmenté, rythme binaire ou trenaire, rythme correspond a sa progression, reflexion organisé en fonction des details d’ordre mental, intellectuel.

La profusion articulateur logique qui se font rare dans le discours de sa femme.

Acculuation enumération chez emma,phrases régie par la parataxe (abscence de lien logique et implicite) .

Opposition, contraste affectif : amour parental et intellectuelll (calcul) chez charles et emotions plutôt visuel et sentationnelle d’emma (profusion couleur et son) Ainisi dans ce passage flaubert montre le décalage entre ces deux personnages, leur mesentente, il existe quand mm des points commun : illusion respective, tendance a revasser : apparait dimension. »