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citations

Publié le 24/11/2012

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Citations..? «Je hais ta façon de me parler. Et la couleur de tes cheveux. Je hais ta façon de conduire. Et de me regarder dans les yeux. Je hais tes stupides bottes d'armée. Et ce que tu devines en moi. Je te hais au point d'en crever. Et même te tuer parfois. Je hais ta façon d'avoir raison. Tes histoires inventées. Je hais quand tu me fais rire. Davantage quand tu me fais pleurer. Je te hais quand tu n'es pas là. Et que tu es dieu sait où. Mais je hais surtout de ne pas te haïr. Ni un seul instant. Ni une seule minute. Ni même du tout.« «L'amour n'est pas l'amour s'il fane lorsqu'il se trouve que son objet s'éloigne. Quand la vie devient dure, quand les choses changent, le véritable amour reste inchangé.« «3 words, 8 letters and I'm yours.« «Chaque personne qu'on s'autorise à aimer, est quelqu'un qu'on prend le risque de perdre.« «J'ai passé toute ma vie à attendre que le bon gars se présente et tout à coup t'es apparu. Tu ressembles en rien à l'homme que j'imaginais, tu es cynique et grincheux et impossible. Mais pour être franche, avoir à t'affronter c'est la meilleure chose qu'il me soit arrivé de ma vie, et je crois qu'il y a de fortes chances pour que je sois entrain de tomber amoureuse de toi..« «Quand on aime quelqu'un, on l'aime entièrement. C'est ça le contrat.« «On ne marche pas vers l'amour: on tombe la tête la première dedans.« «Une personne qui est imprégnée n'a pas le choix. Dès qu'elle aperçoit l'autre tout son univers change tout à coup y'a plus aucune gravité qui nous retient à la planète. C'est elle, c'est tout ce qui importe. On est prêt à tout pour elle, quitte à devenir un autre.« «A mon époque, je t'aurais fais la cour... Ensuite nous serions allés nous promener dans les jardins, je t'aurais volé un ou deux baisers avec la permission de ton père. Puis je me serai agenouillé et je t'aurais demandé ta main, je t'aurais offert une bague. Bella, veux-tu m'épouser ?« « Il me manque. C'est atroce, il me manque tellement. Ce n'est pas par vagues, c'est constant. Tout le temps, sans répits. « « La douleur peut se manifester sous différentes formes. Ça peut être un petit pincement, une légère irritation, une douleur que l'on supporte tous les jours. Et il y a le genre de douleur que l'on ne peut pas ignorer. Une douleur si grande, qu'elle bloque tout le reste. Et fait disparaître le reste du monde ! Jusqu'à ce que la seule chose qu'on pense, c'est à quel point on souffre ! La façon dont on gère notre douleur dépend de nous. La douleur... On l'anesthésie, on la surmonte, on l'étreint, on l'ignore... Et pour certains d'entre nous, la meilleure façon de gérer la douleur, c'est de foncer tête baissée. La douleur... Vous devez arriver à la surmonter. Espérer qu'elle disparaisse d'elle-même, espérer que la blessure qui la cause se referme. Il n'y a pas de solutions, pas de remèdes miracle. Vous devez respirer à fond et attendre qu'elle s'estompe. La plupart du temps, on peut gérer la douleur. Mais parfois, la douleur s'abat sur vous quand vous vous y attendez le moins. Elle vous attaque en traître et ne vous lâche pas ! La douleur... Vous devez juste continuer à vous battre parce que de toute façon vous ne pouvez pas l'éviter. Et la vie en fournit toujours plus ! « «On a pas besoin d'un conte de fée, on a juste besoin de quelqu'un avec qui on est bien.« «Le dictionnaire définit le chagrin comme une intense douleur mentale ou une détresse due à une peine ou une perte, une douleur aigüe, un douloureux regret.« «Où tu n'existes pas, je n'existe pas non plus.« «Tout le monde dit que l'amour fait mal, mais c'est faux. La solitude fait mal, se faire rejeter fait mal, perdre quelqu'un fait mal. Tout le monde confond ces petites choses avec l'amour mais en réalité, l'amour est la seule chose dans ce monde capable de faire fuir tout ce mal et te faire sentir bien à nouveau. « «Et soudain, j'éprouve le besoin de tenir sa main. Un besoin comme je n'en ai jamais connu jusque-là. De la serrer, sans me contenter de le laisser serrer la mienne.« «Ils n'étaient pas toujours d'accord, en fait ils n'étaient jamais d'accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun, ils étaient fou l'un de l'autre...« «Il me provoque comme à son habitude, avec ce petit rictus dédaigneux aux lèvres, le sourcil droit haussé de manière provocante et ce message dans ses yeux qui dit clairement : fais le, si tu oses !« «Tu parles beaucoup de lui, et à chaque fois que tu prononces son nom, ta voix est nostalgique, ça laisse un peu de place au doute. Je crois que tu aimes cet homme et ça te fiche une peur bleue.« «Mon coeur se remplit comme un ballon, prêt à exploser. Et là, je comprends qu'il faut que je lâche prise, que j'arrête d'essayer sans cesse de m'y raccrocher. Et ça glisse sur moi comme de la pluie. Et je ne peux plus rien éprouver d'autre que de la gratitude pour chaque instant de mon insignifiante petite vie. Vous ne comprenez pas ce que je suis entrain de vous dire, n'est ce pas ? Ne vous en faite pas, un jour, vous comprendrez.« «L'empreinte qu'on laisse sur les gens ne s'efface pas avec le temps.« «Tu n'es peut-être pas son premier, son dernier, ou son seul amour. Elle aimait avant mais elle peut encore aimer. Mais si elle t'aime vraiment, qu'est ce qui importe ? Elle n'est pas parfaite, tu ne l'es pas non plus. Et vous ne pourrez jamais être parfait ensemble. Mais si elle peut te faire rire, te faire réfléchir, et admettre vos erreurs, retiens-la et donne lui tout ce que tu peux. Elle ne peut pas penser à toi chaque seconde par jour, mais elle te donnera une partie d'elle qu'elle sait que tu peux briser : son coeur. Donc, ne lui fais pas de mal. Ne la changes pas, ne la juges pas et ne t'attends pas à plus de ce qu'elle peut te donner. Souris quand elle te rend heureux, dis lui quand elle te rend fou et rappelle-lui combien elle te manque quand elle n'est pas là.« «Tu es ma drogue, je me pique dans tes caresses, je me shoote dans tes paroles, je délire en pensant à toi. Tu me tues. Tu me fais du bien.« «Ses larmes glacés ont rebondi sur le sol telles les perles d'un collier cassé.« «Un jour, y'a comme ça des gens qui passent, des regards qu'on garde en soi, des rires qu'on n'oublie pas.« «L'amour n'est pas seulement un miracle, né d'une rencontre. Il est jour après jour ce que l'on veut qu'il soit. Il commence lorsqu'on préfère l'autre-soi même. Lorsqu'on l'accepte tel qu'il est et qu'on l'aime dans sa totalité. Aimer c'est partager des mots, des regards, des espoirs et des craintes. C'est vouloir que l'autre s'épanouisse. Vivre d'abord fidèle à lui-même. L'amour n'est pas un acquis. Il se construit chaque jour pour permettre le bonheur de l'autre, le bonheur des autres. « «Elle pleure parce que son coeur s'est remis à battre aujourd'hui alors qu'elle n'y croyait plus depuis longtemps. C'est toute sa vie qui lui revient à la figure. Alors, pour se protéger un peu, elle se dit qu'elle pleure pour le plaisir de pleurer et c'est tout.« «Un regard, ce n'est presque rien. Sans signification particulière, sans conséquence. Et c'est ce qui continue à me stupéfier, encore aujourd'hui: que l'existence d'un être puisse être bouleversée par quelque chose d'aussi éphémère, d'aussi périssable. Chaque jour, nous croisons des centaines de regards, dans la rue, dans le métro, au supermarché, c'est une réaction instinctive: vous remarquez quelqu'un en face de vous sur le trottoir, vos yeux se rencontrent une seconde et vous continuez votre chemin l'un et l'autre et c'est terminé. Pourquoi ce regard là aurait-il dû tant compter ? Il n'y avait aucune raison et cependant... il a tout changé, irrévocablement.« «Quand je te vois, j'ai mal au bide comme devant dix mille personnes, s'il te plaît, arrête ça et prends moi dans tes bras.« «Et soudain, il n'y a plus rien au monde que ces deux-là qui se précipitent l'un vers l'autre. Ils se télescopent, s'enlacent, perdent l'équilibre et s'écrase contre un mur, où ils ne bougent plus. Irrémédiablement accrochés l'un à l'autre. Indissociables.« «You are my one in 6 billion.« «Souris, même si tu es triste. On ne sait jamais qui pourrait tomber amoureux de ton sourire.« «Moi je sais que parfois, il vaut mieux rester comme ça, à l'intérieur de soi, refermé. Car il suffit d'un regard pour vaciller, il suffit que quelqu'un tende sa main pour qu'on sente soudain combien on est fragile, vulnérable, et que tout s'écroule, comme une pyramide d'allumettes.« «J'avais peur. Peur que ça recommence, cette douleur. Cette douleur d'attendre. D'attendre et d'attendre encore. Peur. Peur d'aimer à nouveau. Peur d'aimer un homme qui me laisse sur le quai et s'éloigne sur un bateau... Je veux un homme aux mains solides, aux jambes piliers, accrochés dans le sol, un homme aux mots simples et clairs, au rire franc et sonore.« «Pour qu'un baiser soit bon, il faut qu'il signifie quelque chose, il faut qu'il vienne de quelqu'un qu'on peut se sortir de la tête, et de cette façon lorsque les lèvres se touchent, on le ressent partout. Un baiser si torride et si fort qu'on voudrait ne jamais reprendre sa respiration. On ne doit pas rater son premier baiser. Croyez-moi, vous le regretteriez.« «Fuir toujours, et courir sans relâche. Et puis, un jour s'arrêter pour dire à quelqu'un, en le regardant droit dans les yeux: c'est toi dont j'ai besoin, vraiment.« «Un amour commence à exister quand chacun offre à l'autre le fond de ses pensées, ses secrets les plus verrouillés.« «Son rire en cascade est mon médicament, je devrais l'enregistrer pour me le diffuser en boucle les soirs de déprime. S'il fallait définir la joie de vivre, le bonheur d'exister, ce serait cet éclat de rire, une apothéose, ma récompense bénie, un baume descendu du ciel.« «On dit que les pensées de deux personnes qui s'aiment finissent toujours pas se rencontrer, alors je me demandais souvent en m'endormant le soir s'il t'arrivait de penser à moi quand je pensais à toi.« «J'adore que tu aies froid quand il fait 20°C dehors. J'adore qu'il te faille 1h30 pour commander un sandwich. J'adore cette petite ride au-dessus de ton nez quand tu me regardes comme si j'étais folle. J'adore pouvoir sentir ton odeur sur mes vêtements après avoir passé une journée avec toi. Et j'adore le fait que tu sois la dernière personne à qui je veux parler avant de m'endormir.(...) Je suis venue ici ce soir parce que quand on se rend compte que l'on veut passer le reste de sa vie avec quelqu'un, on veut que le reste de sa vie commence plus tôt possible. « «Je commence. Je t'aime depuis la première fois que je t'ai vu, ça m'a pris du temps pour ouvrir les yeux. Et j'avais si peur de ce que je ressentais, tu sais, que j'ai appris à devenir une salope sarcastique, juste pour me sentir normale. Quand on s'est mis ensemble, ça m'a terrorisée, parce que... tu es devenue la seule personne qui aurait pu détruire ma vie. Je t'ai repoussé et je t'ai fait croire que c'était de ta faute, mais en réalité j'étais juste torturée de douleur. Et je suis une putain de lâche parce que... je ne voulais pas être une esclave de mes sentiments pour toi. C'est si horrible, vraiment, je mourrai pour toi. Je t'aime tellement, ça me détruit.« «Au fur et à mesure que grandissent les filles, elles se font enseigner un tas de choses : Si un garçon vous donne un coup de poing c'est qu'il vous aime; N'essayez jamais de vous couper vous-même votre frange ; un jour vous rencontrerez un gars merveilleux et vous vivrez alors votre propre conte de fée. Tous les films que nous voyons, toutes les histoires qu'on nous raconte nous implorent d'attendre que ça nous arrive. Le coup de théâtre du 3e acte... la déclaration d'amour inattendu, l'exception qui confirme la règle. Mais nous sommes parfois si pressées de vivre notre conte de fée que nous n'apprenons pas à interpréter les signes. "Comment faire la différence entre ceux qui sont intéressés par nous et ceux qui ne le sont pas ? Ceux qui resteront avec nous et ceux qui ne resteront pas ?" Il se peut que parfois le gars merveilleux ne fasse pas partie du conte de fée, il se peut que ce soit... vous...toute seule... qui vous reconstruisiez et vous repartirez à zéro, vous vous rendrez ainsi disponible pour un meilleur avenir. Peut-être que le conte de fée c'est tout simplement... tourner la page. Ou peut-être que le conte de fée c'est le fait que en dépit de tous les appels retournés, les coeurs brisés... en dépit de toutes les gaffes et les signes mal interprétés... en dépit de tous les chagrins et les humiliations... vous n'ayez jamais perdu espoir.« «Si tu veux savoir, t'es peut être l'une des trois personnes sur terre qui se régale en mangeant des chips goût pizzas, t'es la seule personne que j'ai vue qui passe, par exemple plus de temps sur le toit de sa maison qu'à l'intérieur. Et qu'est ce que tu fais... tu lis, des livres pas des magazines de mode ou de beauté, non... toi tu lis des livres sérieux. Et puis aussi tu fais ce truc, t'as un genre de toc mais je sais que ça n'en est pas un : quand tu sors de ta chambre tu tournes la poignée de ta porte prête a partir mais tu recules d'un pas tu fais demi tour et puis t'es face au miroir et tu te regardes. Mais c'est pas un regard du genre :«wahh, j'suis trop sexy« non non, c'est plus un...«qui est ce que je suis vraiment ?« et j'trouve que le fait de se demander ça c'est... j'trouve ça cool. Toi aussi tu regardes par la fenêtre comme moi sauf que toi tu regardes le monde, toi tu cherches, t'essaye de décortiquer le monde et t'essayes de savoir pourquoi rien n'est en ordre, comme dans tes bouquins. Moi je me contente de te regarder.« «- A partir de quand on est en couple? -Quand on pense à l'autre tous les jours, quand on a besoin d'entendre sa voix. Quand on s'inquiète de savoir si il ou elle va bien. Quand on est capable d'aimer l'autre tel qu'il est, quand on est seul à voir ce qu'il peut devenir, quand on a envie de partager l'essentiel. Quand cela devient plus important que tout le reste« « Le désir, c'est quand on est amoureux de quelqu'un, qu'on a très envie de l'embrasser mais qu'on attend, qu'on attend, et toute cette attente... C'est le désir. C'est quand on ne l'a pas encore embrassé, qu'on en rêve en s'endormant, c'est quand on imagine, qu'on tremble en imaginant et c'est si bon tout ce temps là où on se dit que peut-être, peut-être on va l'embrasser mais on n'est pas sure. Le coeur se remplit de cette attente, et le jour où il t'embrasse... Alors là c'est un grand feu d'artifice dans ton coeur, dans toute ta tête, tu as envie de chanter, de danser et tu deviens amoureuse.« «Je me mets à la patience alors que ce n'est pas dans ma nature. Il est vraiment la première personne avec laquelle je suis d'une patience telle qu'elle en devient stupide. Avec toujours l'espoir qu'il s'anime, qu'il me rejoigne, que l'histoire d'amour tourne au réel, ailleurs que dans mes rêves. Avec de la frustration, aussi. Je voudrais savoir s'il m'aime ou non. Certains jours je pense "Oui il m'aime." D'autres jours, en un éclair "Il se fout de ma gueule.« «Tu es belle quand tu souris, tu es belle tout le temps. Tu es belle même quand tu ris et qu'on voit tes dents. Tu es belle quand tu rougis, tu es belle en toutes circonstances, tu es belle même quand tu fais une blague pourrie en plein dans un silence. Tu es belle quand tu te trompes, tu es belle quand tu t'entêtes, tu es belle, je m'en rends compte, même quand tu as l'air bête. Tu es belle quand tu t'énerves, tu es belle, sans te mentir, tu es belle même si quand tu t'énerves c'est pas le moment de le dire. Tu es belle quand tu bois, tu es belle quand tu es bourrée, tu es belle quand tu marches pas droit et que tu sais plus parler. Tu es belle quand tu dors, tu es belle quand tu ronfles, tu es belle, c'est ça qui est fort, même quand tu me gonfles. Tu es belle mal réveillée, tu es belle et je te jure que tu es belle même quand tu as été coiffée par tes couvertures. Tu es belle quand tu me reproches de pas être honnête avec toi, tu es belle même quand tu te trouves moche alors je le garde pour moi.« «Avoir confiance en soi c'est manger du chocolat sans craindre les calories. C'est rester sous la pluie sans penser à ses cheveux, chanter sans avoir peur de paraître ridicule. C'est imposer son style sans tenir compte des critiques, c'est prendre des tonnes de photos et danser devant tout le monde. Avoir confiance en soi, c'est montrer qu'on est heureux même si on a le coeur brisé. Mais avoir confiance en soi, c'est avant tout se sentir bien. On devient quelqu'un de fort quand on a confiance en soi.« «Le coeur de la femme est un labyrinthe de subtilités qui défie l'esprit grossier du mâle à l'affût. Si vous voulez vraiment posséder une femme, il faut d'abord penser comme elle et la première chose à faire est de conquérir son âme. « «Je l'aime. Je ne sais plus comment je l'aime, ni pourquoi je l'aime, ni combien je l'aime. Mais je l'aime. J'existe. Je me sens bien. Je me sens mal. Je me crois bonne ou je me crois mauvaise, mais j'existe.« «C'est le premier vrai baiser que nous échangeons. Aucun de nous deux n'est abruti par la maladie, la douleur, ou simplement assoupi. Nos lèvres ne sont ni brûlantes de fièvre ni glacées. C'est le premier baiser qui déclenche un fourmillement dans ma poitrine. Chaud et curieux. Le premier baiser qui me donne envie d'en avoir un autre.« «Pourtant, elle ne voulait pas lui avouer qu'elle était encore méfiante envers tous ces gens qui semblaient vouloir prendre soin d'elle. Il touchait sa joue, délicatement, la caressant. Son coeur battait si fort qu'il pouvait certainement l'entendre. Il coiffait ses cheveux vers l'arrière, le contact de ses doigts créait des vagues de sensation dans tout son corps. Il allait l'embrasser. C'est ce qu'elle voulait, n'est ce pas? Alors pourquoi avait-elle la sensation d'être au bord d'un précipice, prête à basculer à tout instant? Ses lèvres trouvèrent les siennes et elle arrêta de penser, ne ressentant que la tendresse de son baiser, la force de ses bras autour d'elle, le battement régulier de son coeur alors qu'elle était dans ses bras. Il y a un précipice et elle était en train de tomber. Éperdument. Tombant amoureuse de lui. « «Ceux qui ne rangent jamais s'exposent à de dangereuses rencontres quand ils se décident enfin à faire de l'ordre. Un vieux pull, un flacon de parfum éventé, une lettre froissée et le passé revient frapper comme un esprit malin.« «Tout m'est revenu d'un seul coup. Je me suis souvenue comme j'aimais être blottie tout contre lui, et comme je me sentais en sécurité chaque fois qu'il me prenait dans ses bras. J'ai presque du me faire violence pour m'écarter et pour cesser de m'enivrer de son odeur. Je ne l'avais pas sentie depuis si longtemps. Puis il m'a sourit, et là, ce n'était plus une sensation de vertige que j'éprouvais: c'était une certitude. Tout ce qui attache, déchire.« «Ce rire est désormais ma récompense et je fais presque n'importe quoi pour l'entendre. C'est comme un de ces appareils qu'ils ont dans les fêtes foraines pour mesurer la force. On doit frapper avec un gros marteau sur une pointe et ça fait grimper le curseur sur une échelle graduée. Quand on est vraiment fort et qu'on enfonce la pointe jusqu'au bout, il y a une cloche qui sonne. Son rire, c'est cette cloche-là.« «Je l'aime éperdument! Pourquoi aime-t-on? Est-ce bizarre de ne plus voir dans le monde qu'un être, de n'avoir plus dans l'esprit qu'une pensée, dans le coeur qu'un désir, et dans la bouche qu'un nom: un nom qui monte incessamment, qui monte, comme l'eau d'une source, des profondeurs de l'âme, qui monte aux lèvres, et qu'on dit, qu'on re-dit, qu'on murmure sans cesse, partout, ainsi qu'une prière.« «Tu as un peu la nausée, tu as du mou dans les genoux, un truc qui chatouille vers le nombril, un agacement au niveau des épaules, tu as envie de tout casser, de courir, de sauter, et, en même temps, tu es épuisée, ton coeur bat très vite et pourtant tu as l'impression de manquer d'air. Si tu entends une musique sentimentale, tu as l'impression que ton corps s'allonge. Tu manges trop ou tu ne manges pas. La nuit, dans ton lit, tu te tournes, tu te retournes, et tu as envie de rire et que quelqu'un te voie.« «Je l'aime, plus que du chocolat, plus qu'un milshake, une chanson. Je l'aime plus qu'un jean et bien plus que les soldes. Je l'aime saoul et vantard. Je l'aime absent, je l'aime indifférent. Je l'aime constamment, sans répits et sans savoir m'arrêter. Parfois je l'aime tellement fort que je sens mon coeur prêt à exploser.« «Cette rencontre n'est pas le fruit du hasard! Tu es en danger et tu ne le sais même pas! Il est déjà dans tes veines, il ira jusqu'à ton coeur. Il y récoltera les émotions que tu y as cultivées avec tant de précautions. Puis il te nourrira d'espoirs. Chaque jour, chaque nuit tu te rassureras de tes résistances, de tes manières, de tes esquives, mais l'envie de sa présence sera bien plus forte qu'une drogue. Alors ne sois pas dupe de toi même, c'est tout ce que je te demande. Il envahira ta tête et rien ne pourra plus te délivrer du manque. Ni ta raison, ni même le temps qui sera devenu ton pire ennemi. Seule l'idée de le retrouver, tel que tu l'imagines, te feras vaincre la plus terrible des peurs : l'abandon...de lui, de toi même. C'est le plus délicat des choix que la vie nous impose. Bon ne fais pas cette tête-là, il paraît que de temps en temps les histoires d'amour finissent bien !« «Tu sais, là je réalise à quel point je t'aime . Pas juste toi, mais tout. Ton odeur, tes mains, ton torse, ton rire.. J'aime même tes ongles, la racine de tes cheveux. Tout ce qui te constitue, et même ce qui t'entoure je l'aime. J'aime ta chaussure de foot pleine de terre, et même ton jean déchiré quand tu es tombé de scooter. Ce que tu aimes, je l'aime aussi. C'est peut-être trop, trop d'amour; mais j'aime ça aussi. J'en suis même à ne m'aimer que par toi.« «Je pense à toi tout le temps. Je pense à toi le matin, en marchant dans le froid. Je fais exprès de marcher lentement pour pouvoir penser à toi plus longtemps. Je pense à toi le soir, quand tu me manques au milieu des fêtes, où je me saoule pour penser à autre chose qu'à toi, avec l'effet contraire. Je pense à toi quand je te vois et aussi quand je ne te vois pas. J'aimerais tant faire autre chose que penser à toi mais je n'y arrive pas. Si tu connais un truc pour t'oublier, fais le moi savoir. Jamais personne ne m'a manqué comme ça. Sans toi, ma vie est une salle d'attente. Qu'y a-t-il de plus affreux qu'une salle d'attente d'hôpital, avec son éclairage au néon et le linoléum par terre? Est-ce humain de me faire ça? En plus, dans ma salle d'attente, je suis seul, il n'y a pas d'autres blessés graves avec du sang qui coule pour me rassurer, ni de magasines sur une table basse pour me distraire, ni de distributeurs de tickets numérotés pour espérer que mon attente prendra fin. J'ai très mal au ventre et personne ne me soigne. Être amoureux c'est cela: un mal de ventre dont le seul remède, c'est toi. J'ignorais que ton prénom prendrait tant de place dans ma vie..« «Et à chaque coeur qu'il m'envoyait, c'en était un de trop pour me rendre dingue, c'était un battement de coeur en trop. Il n'était pas comme les autres lui, il était amoureux de moi, il rougissait après m'avoir embrassée. Il était timide et tendre, il ne trouvait pas toujours les mots, il m'appelait mon coeur. C'était le mec, c'était le bon. C'était lui. C'était le gars qui te disait je t'aime toute les dix minutes, qui ne sait pas quoi dire d'autre, c'était le mien et il m'aimait. Vraiment, comme personne ne m'a jamais aimée. Il ne savait pas comment me le prouver, mais il y arrivait toujours. Il avait sa manière à lui de m'embrasser en mettant ses bras autour de ma taille, et puis de partir. C'était lui ça. Il avait vraiment ce truc pas comme les autres. Peut-être parce qu'il qu'il ressentait quelque chose lui, qu'il avait des sentiments pour moi.« «Il arrive que deux âmes se rencontrent pour n'en former plus qu'une. Elles dépendent alors à jamais l'une de l'autre. Elles sont indissociables et n'auront de cesse de se retrouver, de vie en vie. Si au cours d'une de ces existences terrestres une moitié venait à se dissocier de l'autre, à rompre le serment qui les lie, les deux âmes s'éteindraient aussitôt. L'une ne peut continuer son voyage sans l'autre.« «Je ne pourrai plus jamais regarder innocemment le petit bandeau "Un mois plus tard..." qui apparaît parfois sur les écrans de cinéma. Je n'avais jamais prêté attention à l'émotion discrète, cachée derrière les trois petits points que seuls comprennent ceux qui savent combien l'attente peut engendrer de solitude. Qu'elles sont longues ces minutes qui se résument entre deux guillemets ...« «J'aimerais te dire à quel point tu m'es essentiel, à quel point ta présence est devenue mon addiction personnelle et à quel point je suis folle. Folle de tout mais tellement de toi... La nuit est belle, l'humeur est sombre et son manteau d'hiver si froid, aussi froid que ma peau glacée que tu étreins avec conviction et peu d'innocence. Les mots seuls ne suffiraient pas à te dire à quel point je tiens à toi. Les mots seuls ne suffiraient pas à te dire combien tu m'es précieux. C'était si loin mais si proche à la fois.« «L'amour ! Qu'est-ce que l'amour? Un caprice, une fantaisie, une surprise du coeur, peut-être des sens, un charme qui se répand sur les yeux, qui les fascine, qui s'attache aux traits, aux formes, aux vêtements même d'un être que le hasard seul nous fait rencontrer. Ne le rencontrons-nous pas ? Rien ne nous en avertit, ne nous trouble... Nous continuons de vivre, d'exister, de chercher des plaisirs, d'en trouver, de poursuivre notre carrière comme si rien ne nous manquait! L'amour n'est donc pas une condition inévitable de la vie, il n'en est qu'une circonstance, un désordre, une époque... Que dis-je ? Un malheur ! Une crise! Une crise terrible... Elle passe et voilà tout.« «Si je levais les yeux, il allait m'embrasser, j'en étais certaine. Et soudain, je me suis rendu compte que j'avais une envie folle qu'il m'embrasse. J'avais imaginé si souvent ce baiser que je connaissais par coeur la forme de ses lèvres. Combien de fois avais-je rêvé de caresser la fossette qu'il avait sur le menton? J'ai levé les yeux. C'est ainsi que tout a commencé.« «Je l'ai aimée dés la première minute, pour un tout, pour un rien: Un sourire mélancolique, un regard cristallin, une façon particulière de chasser ses cheveux derrière l'oreille, en tournant la tête comme dans un ralenti. Puis j'ai aimé chacune des inflexions de sa voix, son intelligence, son humour, le recul apparent qu'il avait sur son physique. Par la suite, je l'ai aimé pour chacune de ses failles secrètes, pour son mal de vivre, pour ses blessures sous sa côte de maille. Pendant quelques mois, nous connûmes un bonheur insolent qui nous projeta jusqu'aux plus hautes sphères : celle des moments suspendus, de l'excès d'oxygène et des vertiges.« «I love you. Oh God. Oh, my God, that just came flying out of my face! I love you. I did it again...! I love you, I do. I love you, and I have been trying not to say it. I've been trying so hard to just mash it down, and ignore it, and not say it. And Jackson is a great guy. He is. He's gorgeous and he's younger than you, and he doesn't have any grandkids or babies with his lesbian BFFs, and he's an Avery, and he liked me, you know. He really liked me! But it was never going to work out, because I love you. I am so in love with you, and you're in me: it's like you're a disease, and it's like I'm infected by Mark Sloan and I can't think about anything or anybody. And I can't sleep, I can't breathe, I can't eat... and I love you. I love you all the time. It's every minute of every day. I love you.« «Je ne te repousse pas Lucas, au contraire je m'accroche de toutes mes forces! Seulement je ne tiendrais pas si toi tu ne m'aides pas! Et pourquoi est-ce que tu ne m'ouvres pas totalement ton coeur?« «Avant lui, j'ignorais qu'un sentiment pouvait s'insinuer. Je croyais que c'était là, un jour, posé devant soi, comme une évidence indiscutable. Avec lui, c'est venu lentement, sans que je m'en rende compte. Je le croisais chaque jour, je le regardais à peine, rien ne me portait vers lui. Et, un matin, j'ai compris. Compris que sa présence était devenue un baume, que son absence était une brûlure. Un matin, à force de l'avoir à mes côtés, j'ai pris conscience que je ne serais plus capable de me passer de lui. « «Je sais que je ne suis pas une fille plus exceptionnelle qu'une autre, que si tu cherches bien tu trouveras tellement mieux ailleurs, moi, je ne suis qu'une fille normale comme on en trouve partout. Je ne suis pas une de ces filles invitées chez les gens les plus en vogue de la ville, je ne voyage pas des tonnes et je ne suis pas non plus la petite fifille riche à papa. Non, moi je n'ai rien de tout ça. Je suis une de ces filles capable de faire les pires bourdes entourée de monde, je suis une stressée de la vie qui au moindre truc qui ne va pas droit panique. De celles qui pleurent à la fin de Titanic et qui lisent trois bouquins à la semaine. Je ne suis pas le top model que tu peux voir sur les affiches de parfum, non. Je suis une fille qui va te déclarer son amour en face comme maintenant, mais qui va le regretter amèrement après. Je veux juste que tu me remarque, que tu vois que je peux peut-être servir à autre chose qu'au décor et qu'à l'instant présent je me raccroche à toi comme à une bouée de sauvetage, que sans toi je sombre. Je suis vraiment capable de t'aimer, je pourrais aller contre vent et marée pour toi, mais pour ça, il faudrait que tu m'acceptes au détriment des top-models des pubs et des quarante filles qui te tournent autour constamment. Alors maintenant c'est à toi de voir, de choisir, est-ce que j'en vaux la peine ?« «En ce temps-là, on ne parlait pas encore d'Internet, d'email, de Skype ou de messagerie instantanée. En ce temps-là, les lettres d'amour parties de France mettaient dix jours pour arriver en Californie. En ce temps-là, lorsque vous écriviez «je t'aime«, il fallait attendre trois semaines pour avoir la réponse. Et attendre un «je t'aime« pendant trois semaines, c'est pas vraiment humain lorsqu'on a vingt ans.« «Tomber amoureux est la chose la plus élémentaire qui soit. C'est un sentiment puissant qui donne l'impression d'être sur un nuage, c'est pour ça que les ruptures sont aussi douloureuses. Être amoureux, ce n'est que du bonheur, c'est une sensation intense qui n'a aucun équivalent. Il est facile de tomber amoureux mais le rester toute sa vie, cela tient du miracle, entretenir une relation n'est pas toujours simple, on ne fait jamais une relation en un jour. On veut tous être aimé et être heureux, alors pourquoi ne l'es t-on pas ? Parce-qu'on est devenu des experts dans les sabotages de notre bonheur. On se pose en victime, alors que ce sont les choix que l'on fait qui nous empêche d'être heureux. Nos mauvaises habitudes, nos vices cachés, notre capacité à montrer nos sentiments c'est ça qui nous tire sans arrêt vers le bas. Aucun de nous n'est une victime. Nous sommes des assassins quand il s'agit de bonheur et d'amour. « «Si j'avais le coeur dur comme de la pierre j'embrasserais tous les garçons de la Terre. Mais moi j'ai le coeur comme du chewing-gum, tu me goûtes et je te colle.« «Pour que les gens tombent amoureux de vous, il n'y a pas trente-six méthodes: il faut faire semblant de s'en foutre complètement. Stratagème infaillible. Les hommes et les femmes sont pareils : ils deviennent fous de ceux qui s'en foutent. L'amour c'est cela : faire croire à la personne qu'on désire le plus au monde qu'elle nous laisse de marbre. L'amour consiste à jouer la comédie de l'indifférence, à cacher ses battements de coeur, à dire l'inverse de ce qu'on ressent. Fondamentalement, l'amour est une escroquerie.« «Juste échanger un regard avec quelqu'un et penser : C'est toi dont j'ai besoin. C'est toi dont j'ai besoin pour sourire, pour rire, pour marcher, pour respirer. Comment est-ce arrivé ? Il y a peu j'étais encore une personne à part entière, et aujourd'hui, un geste de lui, une parole, et ma vie est fichue. Je déteste la fille que je suis devenue, je suis le genre de fille que j'ai toujours méprisé... Mais en même temps, c'est tellement bon, tellement bon de sentir son coeur prêt à se briser tout en sachant que quelqu'un est en train de tenir tous les morceaux ensemble, tant bien que mal.« «Si tu pries l'étoile du soir, ton voeu devient réalité un jour. Donc oui, fais un voeu et rêve, rêve de tout ton coeur. Mais n'oublie jamais une chose: ta bonne étoile ne te fera faire qu'une partie du chemin. Il faudra que tu travailles très dur et que tu fasses beaucoup d'efforts et là, tu réussira tout ce que tu entreprendra. Mais tu dois me promettre une chose... Promets moi de ne jamais, jamais perdre de vue ce qui est vraiment important.« «Quand tu passes un moment unique avec quelqu'un, ou simplement un moment où tu te sens bien, au bon endroit avec les bonnes personnes, un souvenir se créé. Et un souvenir... C'est le plus précieux des cadeaux. C'est comme une image qui reste dans un petit coin de ta tête, qui te rappelle le chemin parcouru, qui te remonte le moral et te fais réaliser ta chance quand tu es triste. Un souvenir c'est comme une tablette de chocolat que tu caches dans ta poche et que tu peux mordre à chaque coup de blues sans prendre une calorie. Un souvenir, c'est comme le chapitre d'un roman qu'un écrivain qui ne connait pas encore la fin de son livre, vient d'écrire. C'est pour ça que tu ne peux pas en vouloir aux gens que tu aimes d'être parti, d'avoir grandi, d'avoir changé. Tu ne peux pas leur en vouloir car même si ils t'ont déçu, ils t'ont offert des souvenirs, des souvenirs heureux. Tout le monde n'a pas la chance de recevoir des souvenirs de joie.« «Il y avait cet émerveillement réel entre eux, celui du plaisir physique. Quelque chose qui était le merveilleux des contes, des instants volés à la perfection. Des minutes que l'on grave dans sa mémoire au moment même où on les vit. Des secondes qui sont notre future nostalgie.« «Ce soir-là, tu étais amoureux, sans équivoque possible. Les femmes sentent cela, il me semble. Elles sont régulièrement percluses de doutes, rongées par des inquiétudes, soucieuses de se barder de certitudes, mais il est des moments, des occasions où elles savent intuitivement et absolument que le doute n'est pas permis: l'homme en face d'elles ne ment pas, ne triche pas, il est à leur merci. Elles ont cette assurance, tout à coup, qui les rend encore plus belles. Oui, ce soir-là, je me suis trouvée belle et j'ai oublié mon anxiété. Tu étais amoureux.« «Je me rappelle ce qui m'a charmé chez toi : ta façon de rire. Je te tournais le dos, tu as ris, et je te jure, c'était presque mélodieux. Tu as rigolé et pendant ces quelques secondes je me suis sentie submergée de bien-être, j'ai souris bêtement sans savoir pourquoi. Et j'ai sentie, sans même voir à quoi tu ressemblais et en ne connaissant rien de toi, que tu allais compter dans ma vie. Parce que j'avais envie que tu me trouves drôle, et de te faire rigoler, je voulais l'entendre des millions de fois ce rire-là. Et encore aujourd'hui je me dis que tu es magique. Avec ton rire on peut peut-être changer le monde. C'est vrai, on peut aider les gens malheureux, ceux qui pense que la vie ne vaut pas la peine d'être vécue, on peut redonner un peu d'espoir à ceux qui ont été laissés pour compte, abandonnés, ceux qui se noient dans leur tristesse et qui vivent chaque journée comme la pire des punitions. Ou alors, peut-être que ton rire ne fait cet effet que sur moi, et que l'on était donc destinés à se rencontrer et à être heureux ensemble.« «SHE'S BROKEN.« «C'est comme ça qu'est notre histoire. On se dispute pour mieux se retrouver, on se cherche pour finir loin l'un de l'autre. On ne pose pas de mots, on ne le montre pas. C'est seulement quelque 'tu sais bien que je t'aime' qui échappent,quelques mots réconfortants, quelques regards, quelques gestes. Peut-être que ça ne suffit plus, peut-être que j'en veux plus. Je suis à bout de ce trop peu, j'ai besoin de trop plein, j'ai besoin de toi. Et c'est fou à quel point tu me rends dingue, c'est fou à quel point je suis totalement folle de toi.« «Et tout se raccroche à un signe de ta part. Un message, un sourire, un appel. Le monde ne tourne plus, je suis totalement en manque. J'en ai pas eu assez, j'en veux encore, toujours. Comme est-ce qu'on peut toujours en sachant ce qui suit ? Comment peut-on être aussi accro à quelqu'un qui nous fait autant de peine ? Est-ce qu'on sort un jour ou cela reste-t-il un cercle vicieux ? Parce que ma journée ne tourne qu'autour de lui, mon humeur, mes rires, tout changent quand il est là ou quand il me parle. Je me perd, je ne sais plus si je dois me réjouir ou au contraire, arrêter de m'enfoncer encore plus.« «Il est déjà dans tes veines. Il ira jusqu'à ton coeur. Il récoltera les émotions que tu y as cultivées avec tant de précautions.« «J'aime le sol qu'il foule, l'air qu'il respire, et tout ce qu'il touche, et tout ce qu'il dit. J'aime tous ses regards, et tous ses gestes, je l'aime entièrement et complètement.« «Symptômes amoureux ; Tu as un peu la nausée, tu as du mou dans les genoux, un truc qui chatouille vers le nombril, un agacement au niveau des épaules, tu as envie de tout casser, de courir, de sauter, et, en même temps, tu es épuisée, ton coeur bat très vite et pourtant tu as l'impression de manquer d'air. Si tu entends une musique sentimentale, tu as l'impression que ton corps s'allonge. Tu manges trop ou tu ne manges pas. La nuit, dans ton lit, tu te tournes, tu te retournes, et tu as envie de rire et que quelqu'un te voie.« «Quand tu aimes quelqu'un, tu le prends en entier, avec toutes ses attaches, toutes ses obligations. Tu prends son histoire, son passé et son présent. Tu prends tout ou rien du tout.« «L'amour, au contraire, c'est quand tu ne peux plus respirer, quand c'est absurde, quand ça te manque, quand c'est beau même quand ça sonne faux, quand c'est fou..Quand rien qu'à l'idée de le voir avec une autre tu traverserais l'océan à la nage.« «Ça s'est passé il y a 84 ans, et je sens encore l'odeur de la peinture fraîche. Personne n'avait encore dormi dans les draps, la porcelaine n'avait encore jamais été utilisée. Le Titanic était surnommé... Le paquebot de rêve, et il l'était, il l'était vraiment...« «Mais un beau jour comme ça tu te lèves avec une idée à la con, fouiller les souvenirs et les rêves dans la poubelle à passion. J'ai des fissures , dans mes chaussures, c'est à coups sûr mon coeur de pierre qui me fait des tremblements de terre. Tais-toi mon coeur.« «Très Cher Valentin, ___Je ne sais pas pourquoi mais je voulais t'écrire en ce jour. Aujourd'hui nous sommes le 14 Février et comme tous les jours, nous fêtons un prénom. Aujourd'hui c'est le tien... et je dois t'avouer que je me demande pourquoi TOI. J'ai vraiment tourné et retourné la question dans ma tête, tu sais. Je me suis dit que pour définir ta fête comme la journée de l'amour international, c'est que tu devais être très aimant. Tu devais faire parti de ces princes charmants que nous avons toutes tendance à idéaliser au possible. Tu sais ceux qui offrent des fleurs tous les jours juste par envie, ceux qui t'envoient un "je t'aime" parce qu'ils le ressentent réellement et non par obligation, ou encore ceux qui te promettent de t'aimer et de te chérir jusqu'à la fin des temps et qui le font en s'impliquant toute leur vie dans cet amour. ___Sincèrement Valentin as-tu jamais existé ? J'en suis venu à détester ton prénom tu sais, ta foutue date, les slogans publicitaires et les couples qui dégoulinent d'amour comme de la glace au soleil. Je les déteste parce que tu sais Valentin, je suis jalouse de cette fille que tu as aimé assez fort pour que ta légende naisse. Car elle n'a pu naître que d'une seule chose ; lorsqu'elle a raconté à sa meilleure amie ô combien tu es parfait bien entendu ! ___Valentin, ta date est une journée qui a été un peu bafouée ces dernières années, un peu trop vendue, un peu trop détruite de son sens original, un peu trop placé sous le signe de la dépression par les coeurs brisés... Mais au fond tu n'es qu'un prénom, qu'un chiffre, qu'une date... alors que l'Amour lui est plus grand que toi, il peut s'étaler sur tous les jours de l'année. Moi je veux croire en cet Amour-là. Ne m'en veux pas trop si je n'ai jamais fêté cette journée, même lorsque j'étais avec quelqu'un.« «Parfois, c'est en croisant le regard d'une personne de notre passé qu'on se rend compte que l'on n'avait pas envie de l'oublier. On n'a simplement pas eu le choix.« «Joue contre joue, yeux dans les yeux, main dans la main... Ce qu'on est con quand on aime! Ce qu'on est niaiseux, mielleux, fleur bleue, inactif, improductif, égoïste, aveugle et sourd !« «Mais même si ça ne va pas, je sourirai pour toi. Tu veux savoir pourquoi ? Parce qu'un jour tu m'as dit que tu étais amoureux de mon sourire, et moi je suis amoureuse de toi.« «Les montagnes russes, c'est ma vie. La vie est un jeu violent et hallucinant ; la vie, c'est se jeter en parachute et prendre des risques, tomber et se relever, c'est de l'alpinisme, c'est vouloir monter au sommet de soi-même et être insatisfait et angoissé quand on n'y parvient pas.« «Tout le monde dit que le premier anniversaire d'un deuil est un moment terrible, non seulement parce que l'on réalise que toute une année s'est écoulée depuis que son univers a volé en éclats mais aussi parce que l'on se rend compte que le temps n'a pas refermé la blessure et ne la refermera jamais.« «Coeur à prendre, pas à vendre, à donner. Un peu naze, un peu d'occase, un peu cassé. Coeur en miettes, en détresse, en compote. En morceaux,en lambeaux, au fond des bottes...« «Il y a un moment où on peut plus se remettre d'une autre séparation. Et que même si cette personne vous emmerde 60% du temps, eh bah, on ne peut pas vivre sans elle. Que même si il vous réveille tout les matins en vous éternuant en pleine figure, et bien on préfère ses éternuements, à tous les baisers des autres.« «A RETENIR: Au moins 5 personnes dans ce monde t'aiment tellement qu'ils pourraient mourir pour toi - Au moins 15 personnes t'aiment d'une certaine façon, que ce soit comme ami, parce qu'ils te connaissent depuis longtemps, parce que tu fais partie de leur vie - Les gens qui ne t'aiment pas n'ont aucune importance et ne méritent pas d'être un problème dans ta vie - Tes sourires peuvent illuminer la journée de quelqu'un, même un simple passant dans la rue - Chaque soir, quelqu'un pense à toi avant de s'endormir - Tu es le monde de quelqu'un - Tu es spécial(e) et unique - Si tu n'étais pas là, quelqu'un ne verrai pas l'intérêt de vivre - Quelqu'un dont tu ne connais même pas l'existence aimerait te connaître - Même quand tu fais la pire erreur au monde, quelque chose de bon en ressort - Quand tu penses que le monde te tourne le dos, regarde un peu autour de toi... La plupart du temps, c'est toi qui tourne le dos au monde ! - Si tu penses que tu n'as aucune chance d'obtenir ce que tu veux, tu ne vas probablement en effet jamais l'obtenir. Si au contraire tu crois en toi, sûrement qu'un jour ou l'autre, tu l'obtiendra ! - Souviens toi toujours des bonnes choses qu'on dit de toi, jamais des mauvaises - Dis toujours aux gens ce que tu penses, et ce que tu ressens pour eux, tu te sentira mieux après - Quand tu te sens seul(e), regarde autour de toi et réalise à quel point tu es chanceux d'avoir des gens qui tiennent à toi à tes côtés. Même si ils sont peu. L'important n'est pas la quantité mais la qualité.« «A croire que ton visage est un endroit qui a marqué ma vie.« «Je sais pas comment aimer les gens. Je l'ai su, enfin je pensais le savoir, mais faut croire que j'ai oublié... J'ai oublié comment garder les gens auprès de moi, comment faire pour ne pas que le fossé se creuse malgré les changements. Je sais pas, je sais pas comment faire pour comprendre les gens, pour continuer à les aimer de la même façon même si ils ne sont plus comme avant, comment garder les liens intacts, au moins aussi beaux qu'avant même si ils sont différents. Je sais plus et ça me tue, j'ai juste besoin de savoir comment on fait pour garder les gens auprès de soi. Pour arrêter de les regarder s'éloigner sans savoir quoi faire.« «Certains disent qu'on reconnaît le grand amour lorsqu'on s'aperçoit que le seul être au monde qui pourrait vous consoler est justement celui qui vous a fait mal.« «Quand on est petit on a peur des méchantes sorcières, des monstres cachés dans les placards, des loups affamés, des fantômes, des chauves-souris qui se transforment en vampire. On a peur d'un tas de choses, qui en grandissant, nous effrayent moins. On apprend très vite que les monstres cachés sous le lit ne sont pas si dangereux, on apprend que c'est des gens qu'il faut avoir peur. Seuls les gens peuvent vraiment nous faire du mal.« «Je ne suis pas naïve. J'ai juste envie d'y croire.« «Je me sens renaître, revivre, c'est dur d'expliquer l'effet que ça me fait, mais c'est juste magique. Jamais j'aurais imaginé ressentir ça, quelque chose de si fort. Je ne pensais pas pouvoir aimer autant, mais le plus étonnant, c'est de pouvoir être aimée comme ça en retour. Le vrai amour n'existe que s'il est réciproque, c'est maintenant que je m'en rends compte et ça me fait tellement de bien de ressentir ça. C'est grâce à lui maintenant que je sais ce que le verbe Aimer signifie vraiment.« «Je t'aime. Oui, c'est un grand mot. Oui, beaucoup de personnes le disent sans la moindre signification. Oui, je n'ai aucun doute. Aimer c'est dur mais faut savoir prendre le risque. Ce risque, je le prends avec toi. Pourquoi ? Me demande pas, je n'en sais rien. C'est comme ça, ça ne s'explique pas. C'est ça l'amour, ne pas savoir pourquoi on aime. En faite, c'est tomber amoureuse de la personne. Pas pour son physique, son intelligence, son style, non, pour elle. Aimer c'est aussi prendre le risque de se perdre. Alors, je prends ce risque, de t'aimer. ?« «Du bonheur à l'état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C'était mieux que tout, mieux que la drogue, mieux que l'héro, mieux que la dope, coke, crack, fitj, joint, shit, shoot, snif, pét', ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, péyotl, buvard, acide, LSD, extasy. Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise. Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane. Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l'intégrale des muppets-show, la fin de 2001. Mieux que le déhanché d'Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford. Mieux que la face B d'Abbey Road, les CD d'Hendrix, qu'le p'tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le Space-Mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du Dalaï-Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson. Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques. Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda. Mieux que la liberté. Mieux que la vie...« «Ce qu'ils ne comprennent pas, c'est que je m'en moque éperdument des autres garçons. C'est lui et seulement lui que je veux. Et ça même s'il m'a fait du mal, même si j'ai été déçue, même si j'en ai bavé. Je sais qu'il vaut la peine qu'on se batte un peu pour lui, car ce que les gens ont tendance à oublier, c'est que moi je le connais par coeur. Je connais son histoire, ses plus beaux souvenirs, les rares moments de sa vie où il a verser des larmes, je sais pourquoi il a une cicatrice sous le menton, je connais la signification de chacune des expressions de son visage, je sais ce qu'il aime, ce qu'il ne supporte pas, je connais ses moindres secrets... Personne ne le connais mieux que moi et je le connais comme personne. Je ne veux pas apprendre à connaitre les autres, je l'ai déjà lui, et ça me suffit amplement. Je me fiche de ce qu'ils pourraient bien m'apporter de plus, car ils ne sont pas lui. Je suis tombée amoureuse de ce qu'il est, j'aime tout chez lui, le bon comme le mauvais. On est heureux à notre manière, personne ne peut comprendre, et c'est très bien comme ça.« «Il faut prendre le risque de l'amour. Ce n'est pas garanti que tu ne souffres jamais. Non. Mais même si tu souffres un jour, ça ne sera jamais comparable aux regrets que l'on éprouve quand on a laissé passer l'amour. Et crois moi, la souffrance, vaut cent fois mieux que le regret. C'est le paradis à côté. Alors ne laisse pas passer cette chance.« «Bonjour, je suis ton pauvre coeur détraqué. Je suis celui qui bourdonne dans ta poitrine quand tu es heureuse et celui qui se serre quand tu as mal. Tu es entrain de me détruire à petit feu en l'aimant aussi fort. Tu creuses le trou un peu plus tous les jours et tu ne t'en rends pas compte. Bientôt, je ne serai plus apte à battre, je serai fatigué et je m'arrêterai. Tu te croira plus jamais capable d'aimer et je n'aurai plus de raisons de te donner des sentiments, des frissons, des sensations. Tu deviendras une coquille vide et je ne saurai plus t'aider. Mais je te promets qu'un jour un autre coeur parviendra à me faire revivre. Alors arrête de me détruire, arrête de tuer ce qu'il reste de vivant en toi. Laisse moi oublier celui qui me brise« «Dire je t'aime à un garçon, c'est comme sauter d'une falaise en ne sachant pas ce qui se trouve en-dessous. On n'a le souffle qui se coupe, le visage fouetté par l'air et on est incapable de faire un geste pour s'accrocher à quelque chose et éviter la chute. Avouer ces sentiments à un garçon qui vous réponds qu'il vous aime aussi, c'est comme atterrir dans une mer chaude et bleu, alors qu'avouer ses sentiments à un garçon qui ne vous aime pas en retour, c'est atterrir sur un sol dur et froid et se briser en millier de petits morceaux.« «What do you want for Christmas ? You. You. You. You.« «Toutes les filles recherchent un gars qu'elles pourront aller voir en pyjama, les cheveux en bataille, le maquillage dégoulinant sur le visage, les yeux rouges d'avoir trop pleuré, et que la première chose qu'il lui dira honnêtement sera : Tu es tellement belle.« «Il comprit que la fissure était en train de gagner du terrain quand il l'a vit disparaitre au coin de la rue et que son coeur se cassa la gueule dans ses chaussures.« «- Tiens, le revoilà ! - De qui tu parles ? -Le sourire débile qui reste accroché à tes lèvres quand tu prononces son nom..« «If you like her, tell her. Maybe she likes you too..« «J'aimerais écrire "tu me manques" sur une pierre, et te la lancer sur la gueule, comme ça tu comprendras à quel point ça fait mal.« «Quand je ne dis rien, c'est très bon signe : ça veut dire que je suis intimidé. Quand je suis intimidé, c'est très bon signe : ça veut dire que je suis troublé. Quand je suis troublé, c'est très bon signe : ça veut dire que je tombe amoureux.« «- Je ne sais pas ce que tu veux! J'essaie de t'aimer, pourquoi est-ce que tu m'en empêches?- Burke... Bon, Burke avait... Ce qui était à moi il me l'a pris. Il a pris des petits morceaux de moi au fil du temps... Mais si petits, que je n'ai pas fait attention. Il voulait faire de moi cette personne que je n'étais pas, et j'ai fini par devenir ce qu'il voulait. Au départ j'étais moi, Cristina Yang, et ensuite, soudainement, je mentais pour lui et puis je compromettais ma carrière et j'acceptais de me marier, de porter une bague et une belle robe blanche... J'étais là, dans cette église, sans sourcils et avec une robe de princesse, et... La vraie Cristina Yang avait disparue. Et malgré tout je l'aurais épousé. Oui, je l'aurais fait. Je n'ai pas été moi-même pendant longtemps mais, maintenant, que j'ai fini par l'être, par être à nouveau moi, je ne peux pas. Je t'aime. Je t'aime plus que j'ai aimé Burke. Je t'aime et... Ça me fait vraiment flipper parce que, quand tu m'as demandé tout à l'heure d'ignorer l'appel de Teddy.. Tu as pris un petit morceau de moi, et je t'ai laissé faire. Et... Ça n'arrivera plus jamais. Jamais, c'est certain.« «Tomber amoureux c'est comme sauter d'un très haut building. Votre cerveau vous dit que ce n'est pas une bonne idée, mais votre coeur, lui, vous crie : "Va-y envole toi, tu peux le faire !"« «On transforme sa main en la mettant dans une autre.« «I'm not usually like this, but can we just hold hands forever?« «Je veux que tu m'aimes comme si j'étais une tarte sortant du four !« «Je t'aime déraisonnablement, anormalement, follement et je n'y suis pour rien. C'est de ta faute, tu es magnifique. Serre-moi par la pensée dans tes bras et dis-toi que rien au monde ne compte en dehors de toi pour moi.« «Le bonheur c'est comme un papillon, plus vous essayer de l'attraper, plus il vous évite. Mais si vous faites mine d'être attentive à autre chose, il viendra et se déposera délicatement sur votre épaule.« T'es quoi sans moi? - Tu veux un café? - Dis-moi, t'es quoi sans moi? - Avec un sucre, ou deux? - S'il te plaît, j'ai envie de savoir? - Du lait? - Moi je suis rien, je suis perdu. - Oups, la cuillère, j'arrive, je vais t'en chercher une. - J'ai plus rien, plus de repères. C'est le néant sans toi. - Tiens ta cuillère. - Arrête de jouer l'innocente, je vois très bien la lueur dans tes yeux. - Un biscuit? - Arrête de détourner ce sujet. - Crois moi, ils sont délicieux. - Stop, on arrête de jouer! - Mais tu veux que je te dise quoi? Que je suis rien sans toi, que moi aussi je n'ai plus de repères, que quoi qu'il arrive, et je t'aime encore, et encore et que je n'arrive pas à t'oublier. Que chaque soir je ne peux m'empêcher de regarder nos souvenirs. Que tu es celui qui compte le plus pour moi, et qu'il ne m'arrive pas une heure, une minute ou une seconde sans que je ne pense à toi? A quoi bon, à quoi ça servirait.. Je t'aime et je te propose un café, du sucre, du lait, une cuillère, des biscuits, juste pour que tu arrêtes de m'interroger. Je veux plus que tu me fasses souffrir. Maintenant, bois ton café, il va refroidir. Leïla «Ce qui me prend c'est que vous me foutez tous les boules, tous autant que vous êtes ! Toi, faut toujours que t'en foutes plein la vue à tout le monde, même à tes amis... Surtout à tes amis ! Pour leur prouver que toi t'as bien réussi, mais ça te sert à quoi Max ?T'en profites même pas. T'as le plus gros bateau, la plus grosse maison, la carte bleue la plus bleue...Et ton coeur Max, il est comme les autres, il a que deux ventricules, tu ne vas pas t'en payer un troisième !« «Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup. Il enrichit celui qui le reçoit, sans appauvrir celui qui le donne. Il ne dure qu'un instant, mais son souvenir est parfois éternel. Il est le signe sensible de l'amitié. Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler ; car c'est une chose qui n'a de valeur qu'à partir du moment où il se donne. Et si toutefois, vous rencontrez quelqu'un qui ne sait plus sourire, soyez généreux, donnez-lui le vôtre. Car nul n'a autant besoin d'un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres.« «C'est ta tête, je sais pas elle a quelque chose, un truc quoi. Ça me fait rire. Mais non je me fous pas de toi, c'est juste que j'aime bien. Ouais voila c'est ça, elle me rend bien ta tête, elle me rend le sourire.« Promets-moi de ne jamais lui faire de mal. De ne pas lui briser le coeur, parce qu'elle aura du mal à reprendre le dessus. Tu sais, c'est pas facile quand on a un coeur d'artichaut. Et puis l'amour qu'elle a pour toi, c'est un truc spécial, un truc qu'il ne faudrait jamais briser. Parce que oui, pour elle, c'est du sérieux. C'est pas un jeu. On ne joue pas avec ça. Ne lui arrache pas le coeur. Ne lui prends pas de morceaux d'elle qu'elle aura du mal à récupérer. Aime la, comme il se doit. Parce qu'une défaite de plus, une rupture de plus et elle tombe, elle s'enfonce très loin. Plus loin encore.. et pour remonter face à ça, il en faut du courage. Tu sais, ce n'est pas le genre de filles à faire voir à tous le monde à quelle point elle est triste. Elle sait très bien faire semblant de sourire, et d'aller bien. Mais quand vient le soir, et que l'obscurité la plus totale s'installe. Qu'il n'y a personne, et bien, elle peut enfin se lâcher, et libérer toute sa peine et cette haine immense. Alors ne la laisse pas, transporte la. Garde la le plus longtemps possible avec toi histoire qu'elle découvre un peu ce qu'est le bonheur. Regarde la, et sourie encore, tu ne peux que lui faire du bien. Protège là comme tu le peux. Elle ne plaisante pas, donc ne plaisante pas non plus. Elle veut juste être aimer dans sa totalité. Ne la déçois pas, s'il te plaît. Même si personne n'est parfait, essaye de l'être un minimum. Si tu arrives à la faire sourire, à lui donner les yeux qui pétillent, à la faire rire comme jamais personne n'avait réussi à le faire, tu recevras beaucoup de choses de sa part. A l'inverse, si rien de tout ça ne se produit, pose toi les bonnes questions, et arrête de la faire souffrir plus longtemps. Elle est tellement fragile. C'est comme un vase, il suffit d'une secousse pour qu'il se casse en mille morceaux. Et impossible de les recoller. Rappelle toi que c'est une explosion de sentiments qu'elle a dans sa tête. Fais de sa vie un petit conte de fées dont elle se souviendra. N'oublie pas de lui rappeler les choses essentielles. Et n'arrête jamais de la faire sourire. Car ce sourire, c'est elle. C'est sa personnalité complète. Ne l'enlève jamais. Ce si beau sourire, sur ses si belles lèvres. Parce que, oui, je suis sûre que tu es tombé amoureux de son sourire. Ce si beau sourire, qui t'ensorcèle.. Leïla «Tu mérites comme amis des gens qui te rendent heureux. Des gens qui t'acceptent exactement comme tu es. Des gens qui ne doutent pas de ton amitié, même après une longue période passée sans se voir, sans se parler. Des gens qui répondent au téléphone à quatre heure du matin quand tu es tellement triste que tu as juste envie de t'arracher le coeur de ta poitrine avec tes propres mains. Des gens qui ne sont pas parfaits, qui sont pleins de failles mais qui te font sourire, qui t'offrent quelques minutes, heures, journées, de bonheur. Tu mérites d'être ami avec des gens qui te rendent heureux, pas avec des gens que tu dois impressionner. Des gens avec qui tu peux être toi-même, pour de vrai.« «Peu importe, les sentiments, c'est comme le chocolat, c'est bon. Même quand il n'y en a plus, il reste toujours le goût, ce délicieux goût, celui qui fait qu'on se dit "Putain, c'était vachement bon, vraiment délicieux, l'extase ! Mes papilles ont vécu le moment le plus magnifique de leur vie...". Oui, c'est ça, tu sais... La solution c'est aimer, aimer, aimer, souffrir, toucher, se serrer, s'enlacer, s'embrasser, rire, pleurer, parler, avoir confiance, avoir mal, verser des larmes de joie, de tristesse, mourir de nostalgie ou mourir de bonheur, s'attacher à des gens inaccessibles, blesser, réconforter, trahir, être loyal, être mélancolique, être souriant, être aventureux, être extraverti, être timide, rougir, avoir les cheveux en bataille, boire trop, sortir trop, aimer trop, aimer trop, aimer trop... Et oui, je sais que ça tue, ça assassine, les sentiments, les émotions. Mais tu sais quoi ? Si tu ne veux pas vivre tout ça, autant être mort.« «Oui je sais ce que c'est d'avoir la sensation de ne pas exister jusqu'à ce qu'il te regarde, qu'il te touche la main..« «Je sens des boums et des bangs agiter mon coeur blessé.L'amour comme un boomerang me revient des jours passés.A pleurer les larmes dingues d'un corps que je t'avais donné.« «Ils sortirent de la cohue des rues piétonnes et se réunirent définitivement. A mesure qu'ils marchaient, l'espace qui les séparait se réduisait, et le haut de leurs bras finit par s'effleurer. Il sentait le parfum d'été qu'elle portait, une senteur vanillée. Il s'était sciemment rapproché. Une force le poussait vers la jeune femme. Quelle réaction aurait-elle? Il n'aurait pas su le prédire. Il ne la connaissait pas assez. Mais elle était venue... Elle n'était donc pas si farouche.« «J'ai encore, encore besoin d'elle. Encore une flamme, encore une lame. Enlacer nos corps jusqu'à ce que passe la fièvre. Au delà de l'âme, encore une larme.« «Mais vous savez, on peut trouver du bonheur, même dans les endroits les plus sombres. Il suffit de se souvenir d'allumer la lumière.« «Il y a des chansons qui nous donnent envie de danser, d'autres qui nous donnent envie de chanter à tue-tête. Mais les meilleures chansons sont celles qui nous ramènent à l'instant précis ou on les a entendu pour la première fois et qui, à nouveau, nous brise le coeur.« «C'est ainsi que l'histoire commença. J'ai rencontré quelqu'un par accident qui me coupa le souffle.« «L'amour, c'est comme les montagnes russes, ça monte et ça descend, ça change tout le temps. Un coup, je suis sûre qu'il m'aime et je danse de joie, un coup, je ne sais plus et j'ai envie de m'asseoir par terre et de mourir.« «Je m'aime bien quand je suis avec toi. Quand tu me regardes, j'ai l'impression d'être la plus belle fille de l'univers. Ouais, je t'aime bien quand tu es avec moi.« «Un goût de larmes amères et la gorge serrée, je pense à lui.« «Quand les deux avions ont frappé les tours Jumelles, à ma connaissance aucun des appels téléphoniques de ces gens qui allaient mourir ne contenaient de message de haine ou de vengeance. C'étaient tous des messages d'amour. Si vous cherchez bien, j'ai la désagréable impression que vous constaterez qu'en définitive, nous sommes cernés par l'amour.« «Il y a des coups de foudre qui font des bleus au coeur.« «Et mes rêves s'accrochent à tes phalanges, je t'aime trop fort, ça te dérange. Et mes rêves se brisent sur tes phalanges, je t'aime trop fort. Mon ange, mon ange.« «Il est possible de s'habituer à l'absence des gens qu'on aime à la seule condition que d'autres viennent prendre leur place. Mais il se trouve que parfois, une personne très particulière est étrangement irremplaçable.« «He already ruined your mascara, don't let him ruin your life.« «Et puis ce jour là tu m'as regardé différemment. En fait, tu m'as juste regardé, mais vraiment regardé. Tu as plongé en moi. Tu regardais ma bouche bouger, s'agiter, débitant un flot incalculable de mots mais sans doute ne m'écoutais-tu pas. Et d'un coup tu as réalisé. Ce n'était plus la peine de chercher plus loin, toutes les recherches que tu avais faite et toutes celles que tu ferais seraient vaines parce-que c'était moi c'était évident. Tu as compris que j'avais assez de force pour nous deux, que je pourrais te soutenir quand ta force faiblirait, tu savais que je saurais te remettre sur pied et par dessus tout tu savais que je ne te ferais jamais de mal. C'était moi bien sûr, tout devenait plus clair. Tout se tenait, ses étreintes amicales interminables, mon visage parcourant ton esprit à longueur de journée. C'était moi. Tu t'es arrêté, et tu m'as finalement écouté. Par dessus tout, ce jour là tu m'as souris parce-que tu avais compris.« «Je t'aime. Je t'aime comme on aime une personne qui apporte quotidiennement le bonheur dans votre vie. J'aime ta façon de me regarder, j'aime ta façon de te toucher les cheveux et j'aime quand tu es déphasé. J'aime tes sourires, quand tu chantes faux et que tu en rajoutes, quand tu me montres tout ton talent, quand tu parles de nous. J'aime quand tu ris, j'aime quand tu dors, quand tu fais le koala, ta petite tête de bébé. J'aime ta fa&cc...

« « Tout le monde dit que l’amour fait mal, mais c’est faux .

La solitude fait mal, se faire rejeter fait mal, perdre quelqu’un fait mal .

Tout le monde confond ces petites choses avec l’amour mais en réalité, l’amour est la seule chose dans ce monde capable de faire fuir tout ce mal et te faire sentir bien à nouveau .

» « Et soudain, j’éprouve le besoin de tenir sa main.

Un besoin comme je n’en ai jamais connu jusque-là .

De la serrer, sans me contenter de le laisser serrer la mienne .» « Ils n’étaient pas toujours d’accord , en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun, ils étaient fou l’un de l’autre… » « Il me provoque comme à son habitude , avec ce petit rictus dédaigneux aux lèvres , le sourcil droit haussé de manière provocante et ce message dans ses yeux qui dit clairement : fais le, si tu oses ! » « Tu parles beaucoup de lui , et à chaque fois que tu prononces son nom, ta voix est nostalgique , ça laisse un peu de place au doute.

Je crois que tu aimes cet homme et ça te fiche une peur bleue.

» «Mon cœur se remplit comme un ballon , prêt à exploser .

Et là, je comprends qu’il faut que je lâche prise, que j’arrête d’essayer sans cesse de m’y raccrocher.

Et ça glisse sur moi comme de la pluie .

Et je ne peux plus rien éprouver d’autre que de la gratitude pour chaque instant de mon insignifiante petite vie.

Vous ne comprenez pas ce que je suis entrain de vous dire, n’est ce pas ? Ne vous en faite pas, un jour, vous comprendrez.

» « L’empreinte qu’on laisse sur les gens ne s’efface pas avec le temps.

» « Tu n’es peut-être pas son premier, son dernier, ou son seul amour .

Elle aimait avant mais elle peut encore aimer.

Mais si elle t’aime vraiment, qu’est ce qui importe ? Elle n’est pas parfaite, tu ne l’es pas non plus.

Et vous ne pourrez jamais être parfait ensemble.

Mais si elle peut te faire rire, te faire réfléchir, et admettre vos erreurs, retiens-la et donne lui tout ce que tu peux .

Elle ne peut pas penser à toi chaque seconde par jour, mais elle te donnera une partie d’elle qu’elle sait que tu peux briser : son cœur .

Donc, ne lui fais pas de mal.

Ne la changes pas, ne la juges pas et ne t’attends pas à plus de ce qu’elle peut te donner .

Souris quand elle te rend heureux, dis lui quand elle te rend fou et rappelle-lui combien elle te manque quand elle n’est pas là.

» « Tu es ma drogue , je me pique dans tes caresses, je me shoote dans tes paroles, je délire en pensant à toi .

Tu me tues .

Tu me fais du bien.

» « Ses larmes glacés ont rebondi sur le sol telles les perles d’un collier cassé.

» « Un jour, y’a comme ça des gens qui passent , d es regards qu’on garde en soi, des rires qu’on n’oublie pas.

» « L’amour n’est pas seulement un miracle, né d’une rencontre.

Il est jour après jour ce que l’on veut qu’il soit.

Il commence lorsqu’on préfère l’autre-soi même.

Lorsqu’on l’accepte tel qu’il est et qu’on l’aime dans sa totalité .

Aimer c’est partager des mots, des regards, des espoirs et des craintes.

C’est vouloir que l’autre s’épanouisse.

Vivre d’abord fidèle à lui-même.

L’amour n’est pas un acquis .

Il se construit chaque jour pour permettre le bonheur de l’autre, le bonheur des autres .

» « Elle pleure parce que son cœur s’est remis à battre aujourd’hui alors qu’elle n’y croyait plus depuis longtemps.

C’est toute sa vie qui lui revient à la figure .

Alors, pour se protéger un peu, elle se dit qu’elle pleure pour le plaisir de pleurer et c’est tout.

» « Un regard, ce n’est presque rien .

Sans signification particulière, sans conséquence.

Et c’est ce qui continue à me stupéfier, encore aujourd’hui: que l’existence d’un être puisse être bouleversée par quelque chose d’aussi éphémère, d’aussi périssable .

Chaque jour, nous croisons des centaines de regards, dans la rue, dans le métro, au supermarché, c’est une réaction instinctive : vous remarquez quelqu’un en face de vous sur le trottoir, vos yeux se rencontrent une seconde et vous continuez votre chemin l’un et l’autre et c’est terminé.

Pourquoi ce regard là aurait-il dû tant compter ? Il n’y avait aucune raison et cependant… il a tout changé, irrévocablement .» « Quand je te vois, j’ai mal au bide comme devant dix mille personnes , s’il te plaît, arrête ça et prends moi dans tes bras.

». »

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