Comment les personnages sont ils transformé par leur passions?

« Essai littéraire : Comment les personnages littéraires sont transformés par leurs passions ? La passion se défini comme une émotion exacerbée qu’une personne peut ressentir pour une autre ou pour un objet.

Cette émotion occupe alors toutes ses pensées et il semble impossible de s’en détacher, créant quelque fois une forme de dépendance.

Ainsi, du fait de la nature parfois incontrôlable des passions, je m’interrogerai sur la question suivante : Comment les personnages littéraires sont transformés par leurs passions ? Pour se faire, d’abord je m’intéresserai aux passions en tant qu’élément perturbateur de la vie des personnages littéraires, afin de mettre en lumière leurs aspects négatifs.

Ensuite, j’aborderai une vision plus positive des passions et leurs avantages sur les personnages littéraires. La passion à travers sa puissance et la sensibilité des personnages littéraires peut être néfaste. Premièrement, les passions se révèleraient négatives, lorsqu’elles sont à la base de sentiments non maitrisés, d’une dépendance.

Par exemple, dans le cas de Goethe qui semble souffrir d’une folie amoureuse.

En effet, sa passion pour « Charlotte » serait selon lui capable de le pousser à « s’envoyer une balle dans la tête ».

De ce fait, la passion l’empêche de voir d’autres formes de bonheur que celui procuré par la présence de Charlotte, c’est ainsi qu’une forme de dépendance nait.

Ensuite, le texte d’Erich, m’amène à la question du rapport entre intellect et passion, étant donner que le reflet des sensations de la mère après le départ de « Herman » est incompris par la narratrice.

En effet, la passion amoureuse semble obstruer la capacité de raisonnement de la mère, qui néglige l’aide de sa fille d’une « tape ».

La mère se montre de ce fait accaparer par l’amour, au point d’en négliger son environnement, ses habitudes, voir son rôle de mère. Enfin, dans certains cas, l’intensité de la passion peut contribuer à créer une distance entre les personnages et leurs proches, distance certainement dû au changement du personnage.

En effet, à travers l’œuvre « Amant » de Marguerite Duras, le portrait d’une passionnée d’écriture est dressée.

Celle-ci, donne une place importante à l’écriture dans sa vie d’adolescente, ce qui conduisit à une distance entre elle et sa mère.

Cette distance est représentée à travers l’emploi des substantifs « Madame la directrice » et « la mère », afin de faire référence à sa mère, au lieu de la nommer « ma mère ». Il m’est donc légitime de dire que la passion contribue d’une certaine façon à retourner les personnages contre leurs proches, car Duras à commencer à nommer sa mère « la mère" lorsque celle-ci s’est.... »