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commentaire animaux denaturés

Publié le 02/11/2014

Extrait du document

  La définition exacte de l’être humain reste indéfini, Vercors s'interroge dessus, sur ce qui nous différencie de l'animal, et en écrit un roman. C'est un écrivain parisien du XXeme siècle, de son vrai nom Jean Bruller. Il est connu pour avoir publié Les animaux dénaturés, œuvre qui raconte l'histoire anthropologues ayant découvert une nouvelle espèce entre le singe et l'Homme, ''le chaînon manquant''. Nous étudierons un extrait su roman dans lequel, la ''tropiette'', Douglas et sa compagne Frances sont en chemin vers leur maison. Les trois personnages vivent leur premiers moments ensemble. Tout au long de l'analyse, nous nous demanderons : en quoi ce texte nous montre la difficulté à déterminer la nature de Derry ? Premièrement, nous décrirons l'animal soumis qu'est Derry. Par la suite, nous étudierons ses facettes plus proche de l'Homme.       Dés le début de l'extrait on constate chez Derry un comportement d'animal soumis, ''regard char...

« taillés et passés au rouge'', Derry a des doigts anormalement longs.

De plus, elle ne les a pas taillés soi-même, comme l'on fait les choses pour un animal.

Un peu plus loin dans le texte, ''cessa de ressembler à Miss Merrybotham'' après lui avoir enlevé le voile qu'elle avait sur la tête ''prit un visage ambigu'', l'ambiguïté de son visage rend possible l'idée qu'elle soit animal et/ou humaine.

On a juste après une comparaison à un chien ''crinière rabattue en chien'' suivit de ''front anormalement bas...oreilles veloutés pointaient trop haut'', Vercors souligne une anomalie humaine chez Derry qui fait d'elle un animal.                 Derry connaît des caractéristiques animal, mais ne laissons pas de côté son humanité.

On reconnaît quelques comportements humain tel un ''rire enfantin'', une comparaison à un enfant humain qui rend possible son humanité.

Dans le passage ''broyait puissamment son sandwich avec la noblesse morose de Miss Merrybotham'', on a une antithèse avec '' puissamment'' et ''noblesse morose'' ce qui appuie le questionnement sur sa nature, le côté animal de la phrase expliqué auparavant, suivit d'une comparaison à un humain avec une noblesse maussade, triste.

La tropiette comme n'importe quel humain, essaie de communiquer par la parole : ''émit un son entre bliss et prise'', sûrement voulant dire please, elle a des difficultés à prononcer comme un humain à ses premières années.

On distingue la langue anglaise propre à l'être humain.

Tout ceci solidifier par un champ lexical du son : ''tst tst! ; bliss et prise ; prononça ; émit un son '' qui lui même consolide l'idée d'une possible communication et donc accentue l'humanité de Derry.. »

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