commentaire composé
Publié le 24/11/2013
Extrait du document
«
(l.14), Cosette est au milieu de tous ça, elle est au milieu d'animaux sauvages lui
voulant du mal.
Les termes « proies » (l.15), « s'enfuir »(l.17), « chassés » (l.16)
renvoient au champ lexical de l'épouvante, du meurtre.
La forêt devient un scène
de crime.
Les « bruyères sèches » (l.16) sont personnifié, elles sont comparé à
des hommes, elles « avaient l'air de s'enfuir » (l.17) .
Les bois deviennent un lieu
cauchemardesque, épouvantable, où la mort peut faire face à tous moments, «
des tous les cotés il y avait des étendues lugubres » (l.18) .
La description de cette
endroit se rapproche a un roman policier ou d'épouvante.
La nature elle même se rapproche aux enfers, elle est terrorisante.
Une peur
incontrôlable de la forêt peut vite arriver pour les personnes qui s'y rende.
Le mécanisme de la peur est dite tel une vérité générale.
« L'obscurité » (l.19) et
en opposition avec « la clarté » (l.19), c'est une antithèse.
Le champ lexical du
jour, indissociable de celui de la nuit, sont omniprésent dans le paragraphe,
puisque que des expressions tel que « dans le nuit » (l.21), « le contraire du
jour » (l.20), « grand vide noir » (l.29), « la clarté » (l.19) sont présentes.
Victor
Hugo à recourt à des phrases juxtaposés pour accentuer l'accumulation d'éléments
sur ceux-ci.
Des comparaisons sont présentes, du fait qu'il y a « une réalité
chimérique » (l.24) et « une netteté spectrale » (l.26) .
L'auteur interpelle le
lecteur grâce aux pronoms « vous » (l.25) et « on » (l.26) pour que toutes
personnes lisant le texte se sentent concernés.
Une énumération apparaît ensuite,
commentant la naissance jusqu'à la mort, comme si la vie était une longue
traversée dans la foret, on commence par « les choses devenues hagardes »
(l.30), puis par « des profils taciturnes qui se dissipent quand on avance « l.31), et
on finit par « l’immensité sépulcrale du silence » (l.33).
La phrase « on éprouve
quelque chose de hideux comme si l'âme s 'amalgamait à l'ombre » (l.37/38)
semble dire que, lorsqu'on entre dans la forêt, à cause de la peur atroce, notre âme
se mélange à l'ombre, c'est comme lors de l’extrême respiration, lors du passage
de la vie à la mort, notre âme s'en va.
Les forêts dominent tout et sont puissantes, elles « sont des apocalypses ».
Quiconque ose pénétrer dans celle-ci paraît voué à y rester pour toujours,
comme le montre l'euphémisme : «le battement d'ailes d'une petite âme fait un
bruit d'agonie sous [sa] voûte monstrueuse » (l.40-41).
Cosette sens la peur
monter petit à petit, elle « se sentait saisir par cette énormité noir de la nature.
»
(l.43) , elle « frissonnait » (l.45) , un frisson « la glaçait jusqu'au fond du cœur.
»
(l.46), elle panique, « ne [comprend] pas » (l.50), elle « sentit le froid » (l.53),
« elle se leva » (l54) et « s'[enfuit] » (l..55) finalement.
La jeune fille est
terrorisée, mais à peur d'avoir été envoûté par la foret de façon a ce qu'
« elle croyait sentir qu 'elle ne pourrait peut être pas s’empêcher de revenir là à la
même heure le lendemain.
« (l.48) .
« L'apocalypse » (l.40) prend tous son sens
ici.
Cosette « se mit à compter à haute voix » (l.50) pour garder la raison, et une.
»
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